‎O'brien James‎
‎Qu'etait- ce‎

‎Robert marin 1950 in12. 1950. Broché. 233 pages. Etat Correct exemplaire usagé couverture de max ernst‎

Reference : 32848


‎‎

€15.00
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Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz

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5 book(s) with the same title

‎Thomas Renée‎

Reference : rg961

‎Les Contes de Tantoune : La petite Pomme Rouge qui ne voulait pas vieillir - Nanou, la petite fille qui n'avait rien de joli à aimer - On aurait dit que c'était la nuit qui chantait‎

‎Edicta Album cartonné In-4 (21,5 x 27,5 cm), album cartonné, non paginé, illustrations en couleurs, recueil de 3 contes : La petite Pomme Rouge qui ne voulait pas vieillir - Nanou, la petite fille qui n'avait rien de joli à aimer - On aurait dit que c'était la nuit qui chantait ; traces et marques d'usure sur les plats et coupes, corps d'ouvrage désolidarisé de la couverture, en l'état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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Phone number : 33 02 99 66 78 68

EUR15.00 (€15.00 )

‎Collectif‎

Reference : yd340

(2013)

‎Coffret guerre : Le Temps de la colère. Bons baisers d'Athènes. Il était une fois la légion (coffret 3 DVD)‎

‎Twentieth Century Fox DVD 2013 "Coffret ""Guerre"" 3 DVD zone 2, comprenant les 3 films suivants : ""Le Temps de la Colère"" (1956), réalisé par Richard Fleischer, avec Terry Moore ; ""Bons baisers d'Athènes"" (1979), réalisé par George Pan Cosmato, avec Roger Moore ; ""Il était une fois la légion"" (1977), réalisé par Dick Richards, avec Catherine Deneuve, Ian Holm ; petites inscriptions au marqueur sur l'étui carton et les boîtiers plastique, disques en excellent état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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Phone number : 33 02 99 66 78 68

EUR12.00 (€12.00 )

‎Cohen Annie, Sagot Duvauroux Caroline‎

Reference : vb3162

(1999)

‎C'était le jour de l'armistice - Et que tout tienne dans l'armoire‎

‎Les Petits Classiques du Grand Pirate Leporello 1999 "In-8 (11,3 x 21 cm), leporello à 7 volets, imprimés recto verso, deux textes : ""C'était le jour de l'armistice"" par Annie Cohen, et ""Et que tout tienne dans l'armoire"" par Caroline Sagot Duvauroux ; très bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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Phone number : 33 02 99 66 78 68

EUR30.00 (€30.00 )

‎MARQUET, Marcelle ; DESNOYER, Suza‎

Reference : 424

(1952)

‎Il était une fois un alphabet.‎

‎ 1952 Couverture souple Paris, sans nom d'éditeur, sans date, publié à compte d'auteur, [imprimeur LIESA, 1952]. In-8 oblong, reliure à spirales, couverture en couleurs, petit manque en pied au premier plat, petits manques au second plat sur quelques perforations. 24 (9) pages, planches et figures en couleurs, ouvrage imprimé en lithogravure, intérieur légèrement jauni, beau rendu des couleurs cependant. Petite déchirure d'un cm page 24, sans atteindre le texte. Joint également un feuillet volant, "jeux pour les grands". "L'amitié et le monde de l'art unissaient Marcelle Marquet, écrivain et conteuse hors pair, et Souza Desnoyer, illustratrice et miniaturiste, épouses respectives des peintres Albert Marquet et François Desnoyer. Nous savons peu de chose sur la genèse de ce livre : durant l'été 1939, les Marquet invitèrent les Desnoyer à séjourner dans leur maison-atelier de la Frette, près de Paris. Le soir, ils jouaient au Diamino, sorte de jeu de Scrabble. Souza écrit : "ce jeu nous donna l'idée, à Marcelle Marquet et à moi, , de fabriquer des boîtes de Diamino pour les soldats de la ligne Maginot qui, paraît-il, s'ennuyaient terriblement dans leurs tunnels. Ensuite, cela nous incita à faire un alphabet amusant pour les enfants avec un texte de Marcelle Marquet et des images de moi". Conçu donc autour de 1939, "Il était une fois un alphabet" ne sera réalisé et imprimé qu'après la guerre. L'ouvrage raconte l'histoire de la rencontre et de l'union des peuples des Voyelles et des Consonnes. Au fil des pages, chaque lettre devient un personnage bien vivant, caractérisé par sa forme corporelle et sa psychologie. La relation au monde et à l'environnement, la richesse de sa diversité culturelle nourrissent la relation entre les lettres-personnages" (notice des éditions Chandeigne, qui réédita l'ouvrage en 2009). Bel exemplaire de cette édition originale. Rare. ‎


‎ Bon ‎

Librairie Girard-Talec - Fontenay sous Bois

Phone number : 06 87 45 60 99

EUR350.00 (€350.00 )

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

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