J'ai lu 1999 poche. 1999. Broché. 183 pages. envois en suivi pour la france et l'etranger Bon Etat intérieur propre
Reference : 177018
ISBN : 229001429X
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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, Brepols - Harvey Miller, 2018 Paperback, Languages: French, German, 241 p., 14 b/w ill., 156 x 234 mm. ISBN 9782503574943.
Cet ouvrage se propose de reflechir a la construction historique de la condition de victime, en relation avec les evenements traumatiques dans l'Europe medievale et moderne. Dans le contexte contemporain, le discours et la gestion des situations de catastrophe ou de mort de masse s'organisent en priorite autour de la place des victimes dans la fabrique evenementielle. Cette attitude de la societe contemporaine face a la devastation, qualifiee tantot de ? compassionnelle ? , tantot ? d'humanitaire ? , ou bien encore de ? tragique ? , reflete une forme de sensibilite qui definit en premier lieu la realite catastrophique comme un drame. Une telle approche de la souffrance possede-t-elle cependant une histoire ou constitue-t-elle une constante anthropologique de la societe occidentale ? Quel regard les societes medievales et modernes ont-elles pose sur cet aspect autant ethique que social du reel ? Les essais reunis dans ce volume proposent d'offrir quelques pistes de reflexion. A la lecture ambigue de la victime au Moyen Age, entre souffrance et responsabilite, la Renaissance semble commencer a proposer une vision plus ? tragique ? des individus souffrants. Les victimes peuvent des lors entrer progressivement dans une politique des emotions qui triomphe au XVIIIe siecle. Thomas Labbe est chercheur associe a l?UMR CNRS 6298 ARTeHIS, Universite de Bourgogne. Gerrit J. Schenk est professeur d'histoire medievale a l'universite de Darmstadt. Table of Contents Thomas Labbe, Introduction I Penser la souffrance au Moyen Age : concept et dimension sociale des victimes Jutta Eming, Exzellenz des Opfers in Hartmanns von Aue Der arme Heinrich. Mit Uberlegungen zur Funktion von gelieben und weiteren Emotionswortern Thomas Labbe, Emotions et raison face a l?evenement calamiteux au XIVe siecle : le De remediis utriusque fortunae de Petrarque Philine Helas, ?? und sie bekundeten ihm ihre Teilnahme und trosteten ihn wegen all des Unglucks ?" Die Hiobsgeschichte in der italienischen Malerei des 14. und 15. Jahrhunderts Genevieve Dumas, Montpellier face aux mortalites a la fin du Moyen Age: discours, prise en charge et materialite des victimes II La violence des autres : perception et signification des victimes de guerre (XIVe-XVIIe siecle) Guilhem Ferrand, Victimes, psychopathologies et traumatismes de guerre en Rouergue (Aveyron, France, XIVe-XVe siecles) David El Kenz, Les victimes des massacres des protestants dans les guerres de Religion (v. 1550-v. 1600) : du ? tas de mort ? a la ? mort collective ? Oury Goldman, L'age des victimes universelles ? Loys Le Roy et la vision globale de la catastrophe au XVIe siecle Andreas Bahr, Commiseratione tactus: Vom ?Mitleiden? mit den Opfern des Dreissigjahrigen Krieges III Une politique premoderne des victimes ? L?usage des emotions comme levier social du XVIe au XVIIIe siecle Mauricio Onetto Pavez, Catastrophes aux antipodes de l'Europe. Representations, imaginaires et sensibilites d'un vieux monde au Nouveau Monde. Le cas du Chili aux XVIe et XVIIe siecles Domenico Cecere, Chiara Di Caprio, Strategies de communication et plans de reconstruction apres le tremblement de terre de 1783 en Calabre
P., Archives nationales, 1992, gr. in-8°, lxx-598 pp, avant-propos par Jean Favier, reliure simili-cuir vert de l'éditeur, titres dorés au 1er plat et au dos, bon état
"Le vote de la loi sur l'amnistie pleine et entière, le 6 juillet 1880, fut, on le sait, l'œuvre personnelle de Gambetta. L'enjeu indirect visait les élections de l'été 1881 à Paris. « A la veille des élections législatives prévues pour la fin de l'été 1881 et brusquées par Jules Ferry, qui les fixe au 21 août, la loi sur les indemnités à accorder aux victimes du 2 décembre 1851 et de la loi de sûreté générale du 27 février 1858 est promulguée le 30 juillet 1881. » Denise Devos précède son inventaire d'une remarquable introduction situant, politiquement et socialement, les circonstances du vote de la loi d'amnistie, les tentatives de grâce collective ayant précédé, les rôles de Ferry, Gambetta, Waldeck-Rousseau, les modifications opérées par le Sénat, et son application. Les effets de la loi d'amnistie portèrent sur 25.209 personnes et 22.209 titres de rentes ou pensions. C'est dire l'importance de l'inventaire qui détaille, département par département, les pensions et révisions, les demandes rejetées, les demandes tardives. Comme le souligne Denise Devos, l'intérêt de ces milliers de dossiers ne réside pas tant dans des révélations inconnues sur le coup d'État de 1851 lui-même ; les récits sont peu nombreux et partiels. En revanche, le fonds présente un très grand intérêt pour son apport à l'histoire de la répression : sur ce sujet, les dossiers sont prolixes puisque c'était de ces récits que dépendait le montant des dommages. On sait donc tout sur le sort des victimes, transportées, internées et surveillées, clandestines. La loi de 1881 visait également les victimes atteintes par la loi de sûreté générale du 27 février 1858, votée après l'attentat d'Orsini, qui purent alors demander pensions et indemnités. L'inventaire concerne donc les effets sociaux, politiques et psychologiques des répressions du 2 décembre 1851 et de 1858, non seulement pendant les années 1852-1859, mais bien au-delà, jusqu'à la mort des victimes. Trois générations se trouvent en fait concernées par les documents recensés. Détail amusant : le fonds F15 3964-4223 comprend de nombreuses notes de la main de Joris Karl Huysmans qui fut fonctionnaire dans les bureaux de la Sûreté générale de février 1883 à sa retraite en 1898, expérience dont son roman “A Rebours” porte de nombreux témoignages. Le seul regret devant cet immense travail est que, n'ayant pas bénéficié d'une saisie informatique, il n'a pas d'index général. Il faut connaître le département de la victime pour retrouver son dossier. On ne trouve pas non plus d'index matières regroupant par exemple les professions, ni de recensements par départements, villes et noms de lieux. Tel qu'il est cependant, l'inventaire de Mme Devos devrait renouveler les études sur la fin de la Seconde République et le Second Empire, et sur la répression au XIXe siècle." (Odile Krakovitch, Revue d'Histoire du XIXe siècle-1848, 1993) — "Un fonds d'archives procède toujours du fonctionnement d'une institution. Il est le reflet de ses compétences et de son activité. C'est dire qu'un fonds est rarement lié à un événement précis. Et cependant, la volonté de la République de réparer les torts causés par le coup d'État du 2 décembre 1851 a fait naître l'organisme grâce auquel nous disposons des documents présentés par l'instrument de recherche que voici. Le 2 décembre était devenu et est resté un symbole. A ce titre, ces archives prennent une place prestigieuse dans notre histoire nationale. Mais elles éclairent aussi les destins individuels avec leurs engagements politiques et les conséquences de ceux-ci. Autant dire qu'un tel fonds était difficilement utilisable sans l'élaboration d'un dictionnaire, véritable prosopographie des victimes du coup d'État. Il faut savoir gré à M me Denise Devos de donner ainsi aux chercheurs l'inventaire précis de toutes les recherches sur ces républicains parfois illustres et le plus souvent obscurs. On doit aussi se réjouir des compléments, bibliographiques et autres, grâce auxquels les historiens verront s'ouvrir d'autres voies vers une documentation inévitablement éparse à travers les archives de tous les organes de l'État. C'est ainsi un Guide très complet que l'érudition de M me Devos met à la disposition des historiens du siècle passé. Je souhaite qu'il soit à l'origine de nombreux travaux." (Jean Favier, avant-propos)
S.l. [Paris], s.d. (1824) in-folio, [2] ff. de texte (Programme du monument ; Monument de Quiberon), et 6 planches lithographiées sous la direction de Fragonard, tirées sur Chine appliqué, en feuilles sous chemise imprimée et ornée d'un bel encadrement fleurdelisé sommé des armes de France et de Navarre. Chemise un peu défraîchie, mais bon exemplaire.
Rare esquisse imprimée des monuments commémoratifs projetés à Quiberon.La Restauration fut, entre autres, une époque de "mémoire" (presque au sens le plus contemporain du terme), liée à la déploration et à l'expiation : les victimes de la Révolution, présentées comme abondantes (surabondantes même par rapport à la réalité) et surtout forcément "innocentes" appelaient de la part de la Nation, de nouveau réunie autour de la "Race de saint Louis", des témoignages solennels de regrets, de pleurs, de réparation. Bien évidemment, la famille royale (les "innocentes victimes du Temple") fut la première à bénéficier de cet effort imposant, se traduisant dans les rituels (la cérémonie anniversaire du 21 janvier) et la pierre (la Chapelle expiatoire). Mais on ne put naturellement s'arrêter là, et, en province surtout, quantité de cultes mémoriels fleurirent à qui mieux mieux, généralement autour de figures d'ecclésiastiques, plus facilement annexables à la catégorie des martyrs. Les fusillés de Quiberon (1796), appartenant pourtant à une catégorie plus ambiguë (traîtres ou héros) bénéficièrent également de cette vogue : en 1824, le ministre de l'Intérieur approuva l'érection d'un mausolée et d'une chapelle commémorative à côté de l'église de la Chartreuse d'Auray. Ces édifices furent confiés à l'architecte Caristie (1783-1862), auquel la ville d'Orange venait de confier la construction d'un autre monument expiatoire en souvenir des victimes des tribunaux révolutionnaires, et ils furent inaugurés en 1829.I. Le Duc d'Angoulême priant près des restes des victimes de Quiberon. - II. Vue extérieure de la chapelle. - III. Vue de la chapelle expiatoire à élever sur le champ des martyrs. - IV. Vue intérieure de la chapelle. - V. Élévation principale du mausolée. - VI. Vue latérale du mausolée. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Thomas Fontaine, Guillaume Pepy (Préface), Collect
Reference : RO20276038
(2017)
ISBN : 2262069638
PERRIN / SNCF / RAILS ET HISTOIRE. 2017. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 1761 PAGES, papier bible - couverture rempliée - Nombreuses illustrations noir/blanc, dans le texte - 3 photos disponibles. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
"Thomas Fontaine, Guillaume Pepy (Préface), Collectif : henri zuber, bruno leroux, patrick chamaret, alain alexandra, herve barthelemy, pierre labate, caroline chalier, yves lescure, anne savoie, laurent thiery, pierre vincent, marie noelle polino, thomas pouty, georges ribeill ... /// Un partenariat exceptionnel entre la SNCF et les éditions Perrin pour un livre hors normes afin de rendre hommage à tous les cheminots morts pendant la Seconde Guerre mondiale. "" Tous les ans pour le lundi de Pâques tu chanteras ou tu joueras au violon Tristesse de Chopin "", écrit Roger Guintard à son épouse, le 14 avril 1944, avant d'être fusillé, dans une dernière lettre qu'elle ne recevra jamais. Fils de cheminot, serrurier à l'essai aux ateliers du Matériel de Saintes, il avait choisi de résister. Des mots comme celui-ci, adressés à leurs familles par des hommes et des femmes aux vies trop brèves, engagés ou non, frappés par l'iniquité et l'arbitraire de l'occupant et de ses collaborateurs, vous en lirez tout au long de ce livre. Il présente les cheminots victimes de la répression menée par les autorités nazies et le régime de Vichy entre 1940 et 1945. Leur mort ne relève pas du hasard. Ces femmes et ces hommes, plus de 2 200, en majorité des résistants et des victimes des rafles de représailles, furent assassinés, fusillés, abattus, ils disparurent en prison, en déportation. Cette recherche scientifique d'envergure, conduite par un comité composé d'historiens, d'archivistes et d'acteurs du paysage associatif et mémoriel, a été souhaitée par la SNCF pour être un mémorial, hommage des vivants aux disparus, et pour servir la connaissance historique.Ce livre s'inscrit dans le travail de mémoire, de transparence, d'histoire et d'éducation, mené depuis plus de vingt ans par l'entreprise pour mieux connaître et comprendre ces années noires. "" Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945"