Parigramme 2001 22x20x1cm. 2001. Reliure editeur+jaquette. 91 pages. Très Bon Etat
Reference : 157678
ISBN : 2840962020
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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Paris, Garnier Frères/A la revue parisienne/Imprimerie Schneider, 1840, 150x95mm, demi-bradel rouge, couvertures conservées avec petit manque angulaire sur le premier plat, 395p. Edition originale.
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1886 1886 Paris Revue La Vie Parisienne 1886 1 Grand In-4 Reliure demi basane dos à nerfs coins cuir 366[pp] Revue hebdomadaire la Vie Parisienne, deuxième semestre 1886.
Lexpression « vie parisienne » entre dans lusage courant avec la Restauration puis connaît un franc succès quand Balzac publie, dès 1834, un recueil de romans intitulé Scènes de la vie parisienne, et qui composera tout un pan de ses histoires de murs regroupées sous le titre générique de La Comédie humaine. Mais cest sous le Second Empire que Paris devient une référence en matière de vie culturelle, notamment pour tout ce qui concerne la mode et les soirées.Profitant dune très relative liberté dexpression qui se fait sentir au milieu du Second Empire, Marcelin envisage de lancer à la fin de lannée 1862, à Paris, un magazine intitulé La Vie parisienne, sous-titré « Murs élégantes, Choses du jour, Fantaisies, Voyages, Théâtres, Musique, Modes » : il sagit dun hebdomadaire illustré qui propose dès janvier 1863 de montrer les joies et les plaisirs mondains de la capitale et, notamment, sa vie théâtrale. Amoureux dune comédienne, costumier à ses heures, Marcelin dessine dans un premier temps la plupart des images, puis accueille des écrivains et des illustrateurs, non sans essuyer quelques critiques outragées face aux potins rapportés et son audace grivoise qui consiste parfois à esquisser les jambes dune actrice ou à évoquer les demi-mondaines. Dans sa critique théâtrale, la revue convoque un style imagé et sans ambages. Le public visé est bien le couple bourgeois en quête de soirées, de loisirs, de divertissements, amateur de la scène, des bals, des chansonniers et de la dernière mode, sans doute lassé des comptes rendus corsetés et que les caricatures amusent3. Notons que la Vie parisienne participe à la fois dune libéralisation et dune diversification de la presse, ainsi, la même année, sort également Le Petit Journal, un quotidien du soir qui va rapidement sopposer à une presse jugée trop sérieuse. Bon état de conservation , exemplaire agréable. coins cuirs abîmés Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
ADELS. 1970. In-8. Broché. Etat d'usage, Coins frottés, Dos satisfaisant, Papier jauni. 98 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire: La population de la région parisienne - Les institutions de la région parisienne - Cadre et conditions de vie en région parisienne - Les problèmes majeurs - Que devient le schéma directeur de la région parisienne - Pour un pari(s) démocratique. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Première édition parisienne extrêmement rare de ce livre protestant, illustrée de 97 vignettes sur bois attribuées à Jean Cousin, conservée dans sa séduisante reliure parisienne de l’époque. Paris, Galliot du Pré, 1544. [Relié avec]: -IGNACE D'ANTIOCHE (Saint). Sancti Martyris Ignatii, Antiochiae Archiepiscopi, Epistolae. Paris, Guillaume Morel, 1558. Soit 2 ouvrages en 1 volume in-8 de [4]ff., 160 ff. ; [2] ff.bl., [4], 80 pp.Relié en veau havane de l’époque, double jeu de filets d’encadrement à froid sur les plats avec fleurons dorés au centre et aux angles, dos à nerfs orné de filets à froid et de fleurettes dorées. Quelques taches sur la reliure. Reliure du type des reliures réalisées pour Marcus Fugger. 155 x 101 mm.
Première édition parisienne, extrêmement rare, de ce livre protestant. Brunet, IV, 248 ; Cat. des livres précieux de la bibliothèque Firmin-Didot, 481 ; Brun, p.262 ; Yemeniz 182. André Osiander (1498-1552), théologien protestant disciple de Luther, se distingue par ses opinions nouvelles sur la question théologique de la justification. Il fut l'un des premiers à embrasser la Réforme protestante, soutenant Martin Luther à la diète d'Augsbourg. La grande rareté de cet ouvrage s’explique par le fait que la possession et la vente de livres protestants à Paris à l’époque de la Réforme étaient devenues très dangereuses. En effet, depuis la parution des écrits de Luther et de Calvin, et suite à l’affaire des placards (octobre 1534), François Ier avait entrepris une véritable chasse aux hérétiques et les persécutions à l’encontre des protestants s’étaient multipliées. C’est d’ailleurs dans ce contexte violent que l’humaniste Etienne Dolet fut brûlé vif sur la place Maubert le 3 août 1546. Cet ouvrage est donc beaucoup plus rare que les autres livres parisiens illustrés de la même époque. Le présent texte avait déjà été publié en 1537 à Bâle, au format in-folio, puis en 1540 à Anvers, mais il s’agit ici de la première édition publiée en France. L’illustration superbe se compose de 96 vignettes finement gravées et d’une figure plus grande au dernier feuillet. L’ensemble de l’illustration est attribuée à Jean Cousin. « Volume curieux qui contient un grand nombre de figures sur bois très finement gravées, dont le dessin est attribué à Jean Cousin. C’est un des plus charmants livres à figures sortis des presses parisiennes » (Yemeniz). « Ce volume des ‘Harmonies évangéliques’, d’une extrême rareté, présente 97 gravures sur bois dignes d’une attention toute particulière. Elles sont parfaitement gravées, et bien tirées typographiquement. Leur dessin est supérieur à celui de Bernard Salomon, dont Papillon fait un élève de J. Cousin, et qui n’a commencé à produire quelques œuvres de gravure importantes que vers 1553, c’est-à-dire neuf ans plus tard. La gravure sur bois prend ici un beau et grand caractère, que je n’hésite pas à attribuer à Jean Cousin » (Cat. Firmin-Didot, 481). « Suite de 96 vignettes (32 x 53) habilement gravées, représentant des scènes de la vie du Christ. Au verso du dernier f., une figure plus grande de la Pentecôte (78 x 55). Ces gravures, délicatement ombrées, où les personnages ont une élégance et un élancement très caractéristiques, sont les meilleures productions de l’atelier de gravure de D. Jansot. Elles s’inspirent des figures de Levinus de Witte, publiées à Anvers en 1540. On les retrouve dans ‘La Tapisserie de l’église chrestienne’ » (Brun, p.262). « La pureté de son dessin le plaça au-dessus de tous ses rivaux […]. Cousin est un des artistes dont la France du seizième siècle a le droit de citer le nom avec le plus de fierté » (Nouvelle Biographie générale, XII, 251-252). Le texte en latin relié avec l’ouvrage d’Osiander présente la seconde édition des lettres de Saint Ignace, édition qu’Hoffman (II, 391) considère comme meilleure que la rare originale publiée l’année précédente, en 1557. Très bel exemplaire de ce livre rare préservé dans sa séduisante reliure parisienne de l’époque du type des reliures réalisées pour Marcus Fugger. Seuls deux exemplaires sont répertoriés dans les grandes collections publiques : celui de la Bibliothèque municipale de Châlons-en-Champagne et celui de la NYPL.
1925 1 Encre de Chine, (1925), 28 x 20 cm.
George BARBIER (Nantes 1882-1932), peintre et illustrateur, a beaucoup travaillé pour la mode et le théâtre, composant des dessins de costumes et des décors. L'artiste a également illustré de nombreux ouvrages. Il a exposé régulièrement au Salon des Artistes Décorateurs de 1912 jusqu'à sa mort. En 1920 il participait à l'exposition du Musée des Arts Décoratifs à Paris: "La mode au XXème siècle vue par les peintres", représentant ce qu'on a nommé par la suite "l'Art Déco". On montre encore ses dessins aujourd'hui lors d'expositions sur cette époque, ce fut le cas en 1971 à Minéapolis aux U.S.A., et à Paris en 1973 (Bénézit, I, p.432). Une grande rétrospective salua son oeuvre au Palais Fortuny de Venise en 2008-2009 accompagné d'un livre "George Barbier-La nascita del déco". Encre de Chine préparatoire pour "La Vie Parisienne". George BARBIER représente cinq études de femmes aux robes de mousseline, en cols et manteaux de fourrure, dont une étude de tête de profil, coiffée à la garçonne d'un chapeau court. Petites marques.