‎Clark Carol Higgins‎
‎Sur la corde‎

‎La corde d'alpinisme (corde de montagne) - Edelrid‎

‎Edelrid Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 2000 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée noir, illustrée d'une corde petit In-8 oblong 1 vol. - 96 pages‎

‎nombreuses figures dans le texte en noir et blanc 3eme édition, sine data, estimée à 2000 Contents, Chapitres : Introduction - Historique de la corde de montagne - Lexique - Technologie de la corde de montagne - Données techniques - Pourquoi Edelrid ? - Quelle longueur, quelle couleur ? - L'utilisation de la corde - Assurances modernes - Conseils pratiques petit fascicule de la société Edelrid qui devait être fourni par le fabricant de cordes avec les cordes, bon état général, un trou au coin supérieur gauche du volume qui devait servir à fixer le fascicule, il est en bon état, infime déchirure au bas du dos, intérieur frais et propre - format de poche‎

‎Traité des parafoudres et des paragrêles en corde de paille, précédé d'une météorologie électrique, présentée sous un nouveau jour, et terminé par l'analyse de la bouteille de Leyde.‎

‎Amiens, de l'imprimerie de Caron-Vitet, 1820. In-8 de (4)-V-(2)-320 pp. (2) ff., errata et explication des planches, 1 planche repliée hors texte et 1 tableau replié dans le texte (page 212), maroquin vert à grain long, dos lisse orné, filet et frise dorés d'encadrement sur les plats, gardes de soie vertes, tranches dorées (reliure de l'époque). ‎

‎Édition originale de l'ouvrage sur la foudre et la grêle d'Alexandre Lapostolle (1749-1831) pharmacien, professeur de physique et de chimie à l'École centrale, au Jardin du roi et à l'École préparatoire de médecine d'Amiens.« Ce maître-apothicaire est une figure importante du monde scientifique à Amiens – et son Traité des parafoudres et paragrêles en cordes de paille est publié plusieurs fois (1820,1826) après une conférence sur les paragrêles présentée à l’Institut en 1817. Lapostolle étudie à Maubeuge, sa ville natale, et à Paris, avant de se fixer à Amiens (1773) où il devient « apothicaire du Roy » (1786). Il se passionne pour la chimie et donne à partir de 1777 des conférences de vulgarisation à la Société Industrielle et à la Société d’horticulture de la ville, soutenu par les représentants du pouvoir royal. Parmi ses collaborateurs et auditeurs : Dejean, Roland De La Platière alors Inspecteur des manufactures, et Mme Roland. Il fait venir Parmentier pour donner des cours. Il est appelé à exercer de nombreuses responsabilités : vice-consul d’Espagne pour les affaires commerciales ; agent inspecteur dans les départements de la Somme, de la Seine inférieure, de l’Oise et du Pas-de-Calais pour perfectionner la fabrication du salpêtre ; membre de la commission des poids et mesures, etc. Avec Salleron et Deneux, il enseigne à l’Ecole de médecine d’Amiens (1809). » (Danièle Poublan EHESS «Lapostolle, Alexandre Ferdinand Léonce (1749-1831)», correspondance familiale, Compléments historiographiques, Biographies).Critiqué et rejeté par les physiciens Biot et Gay-Lussac, le travail de Lapostolle eut l'avantage d'obliger l'Institut à s'occuper du problème des paragrêles et ces appareils eurent un grand succès en Italie dès 1823, puis en Allemagne et aux États-Unis.L'édition est illustrée d'une grande planche dépliante représentant une « Vue d'une Plaine armée de Paragrêles, et d'un Village armé de Parafoudres » ; un tableau dépliant (page 212) donne le « Parallèle des expériences Qui constatent les divers degrés de conductibilité des substances métaliques, et de la paille, dans les phénomènes électriques ». Envoi autographe signé de l'auteur « à Madame Colignon, l'épouse de l'ami qu'il a le plus aimé dans sa vie Lapostolle ».Très bel exemplaire en maroquin du temps. L'exemplaire est bien complet de la signature autographe de l'auteur au verso du titre. Poggendorff, I, col. 1378 ; Wheeler Gift, n°771. ‎

‎La Corde au cou. Comédie en un acte, en vers. Représentée pour la première fois, le 3 juin 1876 à Paris, sur le Théâtre national de l'Odéon.‎

‎Paris, Marpon et Flammarion, 1876. In-12 broché de 53 pp., trace de mouillure et réparation sur l'eau-forte, couverture rempliée imprimée. ‎

‎Édition originale illustrée d'une eau-forte par André Gill.Exemplaire non coupé, portant sur le feuillet de garde un envoi autographe signé de l'auteur en forme de sonnet :Au Caissier qu'entre tous j'admire,En guise d'encens et de myrrhe,J'offre ce fruit de mon délire.Quoique aimable, il faut bien le dire,Ce grand caissier qui me va lireA tous coups ne m'a pas fait rire.Le pauvre diable qui soupireAprès un sou d'avance expireAvant d'avoir séduit LemirreUn caissier qu'entre tous j'admire ! ‎

‎r v karanoff la corde pour les traitres gerfaut‎

‎ 1975 1975. R.V. Karanoff: la corde pour les traitres/ Gerfaut 1975 . R.V. Karanoff: la corde pour les traitres/ Gerfaut 1975‎

‎Etat correct‎

‎Fragment de CORDE DE PENDU avec laquelle sest pendu S. LECOMTE, jardinier au château de Mouton, le 16 mai 1892.‎

‎S.N. Mouton 1896 Fragment de CORDE DE PENDU avec laquelle sest pendu S. LECOMTE, jardinier au château de Mouton, le 16 mai 1892. 2 cordes fixées par des cachets cire rouge aux armes sur un feuillet in-4 de papier timbré, cachet encre Mairie de Pauillac Gironde. Au verso "fac-similé de la corde dans son entier" ( nud coulant exécuté avec de la ficelle ). La signature de R. De FERRAND est attesté par Florent FATIN maire de Pauillac en 2017 qui autorise la cession de ce document et donc le déclassement des archives municipales.‎