Solar 1990 1990. Broché. Très bon état
Reference : 100109413
ISBN : 2866763017
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
04 90 26 49 32
Conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Les prix sont nets auxquels il faut ajouter les frais de port. Nous acceptons la carte bancaire. LE PORT EST UNIQUE : 10.00 € PAR COMMANDE ( SUIVI )POUR LA FRANCE 15€ (livres et brochures) POUR L'ETRANGER , L' ENVOI EST RAPIDE , PAIEMENT : CB , CHEQUE , PAYPAL
Paris, Centre de Recherches de l'Institut d'Etudes Hispaniques, 1966. 590 g In-8 broché, xxxix-344 pp., [2] ff.. Bartolomé de Las Casas est un prêtre dominicain du XVIe siècle, historien de la découverte des Amériques, qui dénonça les pratiques des colons espagnols, et qui est resté très célèbre pour avoir défendu les droits des Amérindiens. Exemplaire partiellement coupé. Petites salissures sur la couverture. . (Catégories : Histoire, Amérique latine, )
P., L'Esprit Nouveau, 1964, gr. in-8°, xi-610 pp, index, broché, couv. à rabats, bon état, envoi a.s.
La Collaboration vue par un des adjoints de Doriot à la tête du PPF, Maurice Yvan Sicard (1910-2000), le futur écrivain Saint-Paulien, originaire de l’extrême gauche antifasciste sans être passé par le Parti communiste. Violemment hostile aux « morveux de l’Action française », aux « cafards des Jeunesses patriotes », méfiant à l’égard de tout rapprochement avec la bourgeoisie. Sicard bascule en 1936 lorsqu’il prône le rapprochement franco-allemand et attaque les Juifs qui poussent à la guerre. Il rejoint le Parti Populaire Français de Jacques Doriot, dirige les jeunesses doriotistes, devient rédacteur en chef de « L’Emancipation nationale », l’organe du parti. Ses éditoriaux pendant la guerre sont hostiles aux Juifs. Dans son “Histoire de la Collaboration” parue en 1964, une histoire de la collaboration vue du PPF qui accorde une place importante à ses propres souvenirs, Saint-Paulien évoquera sans la renier sa jeunesse internationaliste et pacifiste. — "L'auteur fut un des plus fidèles lieutenants de Jacques Dorîot. La version qu'il donne de la collaboration est une version doriotiste : c'est à travers le chef du P.P.F., ses prises de position, ses inimitiés et ses amitiés que Saint-Paulien nous raconte l'histoire de ces quatre années. Un livre engagé, violent, parfois hagiographique, mais qui, en raison même de son engagement, est d'un réel intérêt." (Revue française de science politique, 1965)
P., L'Esprit Nouveau, 1964, gr. in-8°, xi-610 pp, index, broché, couv. à rabats, tranche inf. lég. salie, bon état
La Collaboration vue par un des adjoints de Doriot à la tête du PPF, Maurice Yvan Sicard (1910-2000), le futur écrivain Saint-Paulien, originaire de l’extrême gauche antifasciste sans être passé par le Parti communiste. Violemment hostile aux « morveux de l’Action française », aux « cafards des Jeunesses patriotes », méfiant à l’égard de tout rapprochement avec la bourgeoisie. Sicard bascule en 1936 lorsqu’il prône le rapprochement franco-allemand et attaque les Juifs qui poussent à la guerre. Il rejoint le Parti Populaire Français de Jacques Doriot, dirige les jeunesses doriotistes, devient rédacteur en chef de « L’Emancipation nationale », l’organe du parti. Ses éditoriaux pendant la guerre sont hostiles aux Juifs. Dans son “Histoire de la Collaboration” parue en 1964, une histoire de la collaboration vue du PPF qui accorde une place importante à ses propres souvenirs, Saint-Paulien évoquera sans la renier sa jeunesse internationaliste et pacifiste. — "L'auteur fut un des plus fidèles lieutenants de Jacques Dorîot. La version qu'il donne de la collaboration est une version doriotiste : c'est à travers le chef du P.P.F., ses prises de position, ses inimitiés et ses amitiés que S.-P. nous raconte l'histoire de ces quatre années. Un livre engagé, violent, parfois hagiographique, mais qui, en raison même de son engagement, est d'un réel intérêt." (Revue française de science politique, 1965)
P., L'Esprit Nouveau, 1964, gr. in-8°, xi-610 pp, index, broché, couv. à rabats, dos passé, état correct
La Collaboration vue par un des adjoints de Doriot à la tête du PPF, Maurice Yvan Sicard (1910-2000), le futur écrivain Saint-Paulien, originaire de l’extrême gauche antifasciste sans être passé par le Parti communiste. Violemment hostile aux « morveux de l’Action française », aux « cafards des Jeunesses patriotes », méfiant à l’égard de tout rapprochement avec la bourgeoisie. Sicard bascule en 1936 lorsqu’il prône le rapprochement franco-allemand et attaque les Juifs qui poussent à la guerre. Il rejoint le Parti Populaire Français de Jacques Doriot, dirige les jeunesses doriotistes, devient rédacteur en chef de « L’Emancipation nationale », l’organe du parti. Ses éditoriaux pendant la guerre sont hostiles aux Juifs. Dans son “Histoire de la Collaboration” parue en 1964, une histoire de la collaboration vue du PPF qui accorde une place importante à ses propres souvenirs, Saint-Paulien évoquera sans la renier sa jeunesse internationaliste et pacifiste. — "L'auteur fut un des plus fidèles lieutenants de Jacques Dorîot. La version qu'il donne de la collaboration est une version doriotiste : c'est à travers le chef du P.P.F., ses prises de position, ses inimitiés et ses amitiés que Saint-Paulien nous raconte l'histoire de ces quatre années. Un livre engagé, violent, parfois hagiographique, mais qui, en raison même de son engagement, est d'un réel intérêt." (Revue française de science politique, 1965)
Anne T. Woollett, Nils B ttner, Elizabeth McGrath, Alexandra N. Bauer
Reference : 66626
, Brepols - Harvey Miller, 2025 hardcover, dusjacket, 290 pages, Size:175 x 260 mm, Illustrations:65 b/w, 42 col., Language(s):English. *New. ISBN 9781915487582.
Summary Peter Paul Rubens already had assistants working for him in his studio when he first gained admission to the Antwerp Guild of St Luke in 1598. At this period too he began to co-operate with other masters, such as Jan Brueghel the Elder; a separate volume, dedicated to that collaboration, was published in 2016 (Corpus Rubenianum Ludwig Burchard, XXVII (1): Jan Brueghel I & II). On his return from Italy in 1609, not only did Rubens?s studio assistants increase in number, so too did the co-operative projects that the artist undertook. Rubens continued to work with Jan Brueghel the Elder until 1621. When Brueghel died in 1625, his son Jan continued the partnership with Rubens until the latter?s death in 1640. Similarly productive was the collaboration between Rubens and the still life and animal painter Frans Snijders. It began shortly after Rubens's return to Antwerp and is reflected in various large-format works for the courts of Brussels and Madrid [?], but also in smaller ?cabinet? paintings, some of which were executed by members of the respective workshops of the two masters. The collaboration soon extended to the studio of the animal painter Paul de Vos, whose sister Margriete had married Snijders in 1611. One such joint painting was still in Rubens?s possession at the time of his death and was listed in the 1640 catalogue of the works for sale from the artist?s estate. This document also reveals that, among the paintings by other masters that he owned, Rubens possessed a surprisingly large quantity by the Dutch landscape and genre painter Cornelis Saftleven. Rubens had worked with Saftleven during his stay in Antwerp at the beginning of the 1630s, and evidently appreciated his talent, even if this collaboration can be represented only by a single painting. The present is devoted to Rubens?s fruitful partnership with Frans Snijders, as well as to his collaborations with Paul de Vos and Cornelis Saftleven. It thus contributes not only to the documentation of Rubens?s oeuvre, but also to the understanding of workshop practices and the lives and social networks of painters in the city of Antwerp. -- Catalogue Raisonn Rubens and Snijders: An Enduring Alliance Rubens and Paul de Vos Rubens and Cornelis Saftleven