Aubanel 1975 in4. 1975. broché. 180 pages. Très bon état
Reference : 100109393
ISBN : 2700600649
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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Stéphane Halgan - Olivier de Gourcuff - Stéphane Halgan, le Comte de Saint-Jean - Olivier Pierre Charles comte de Gourcuff - René Pocard du Cosquer de Kerviler
Reference : 46549
(1884)
1884 Nantes, Société des bibliophiles bretons et de l'histoire de Bretagne, 1884 - Reliure 12 basane cerise - Dos à nerfs - Grand In-4, grandes marges, sur Vergé - EDITION ORIGINALE numérotée, tirage à 350 exemplaires, celui-ci N° 137 au nom de René de Saint-Pern - Couverture conservée (petite tache) - Frontispice , portrait de René Le Pays - Bandeau, Lettrines et Culs-de-lampe - XVI-283 pages + Table - Bel exemplaire
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La Crèche, Geste éditions, 2003, gr. in-8°, 300 pp, 16 photos, un fac-similé, 3 cartes, notes, index, broché, couv. illustrée, bon état
Fin juillet 1914, alors qu'il est en permission dans son village des Deux-Sèvres, Olivier Guilleux, jeune instituteur, se réjouit d'aller à la balade où l'attendent amis, stands de tir, berlingots... Un télégramme arrive et lui enjoint de partir à la guerre. Saint-Pardoux, Mamers : il rejoint sa section du 115e et se met en marche pour Charny. Dès lors, il va tout consigner : notes, photos et croquis. Après maintes péripéties, il est fait prisonnier à Magdeburg. D'ici, s'établit un va-et-vient de lettres avec sa famille, ce qui constituera pour lui un lien très fort de résistance, comme une chanson de survie. De camp en camp, pendant toutes ces années, une idée qui ne le quitte pas : s'évader... Olivier Guilleux a rédigé le texte de son évasion sur les routes allemandes quelques années avant de mourir. — "La Grande Guerre d'Olivier Guilleux se présente d'entrée comme un document rare qui combine trois grands types d'écriture de guerre : un carnet de campagne, une correspondance croisée – ce qui n'est pas des plus fréquents – et un récit rédigé a posteriori. Le premier de ces documents, le moins original, est entièrement consacré à la mobilisation et aux premières semaines du conflit où l'on découvre, avec le jeune instituteur des Deux-Sèvres, la violence du feu. Olivier Guilleux ne tarde d'ailleurs pas à être blessé, dès septembre 1914, et, abandonné sur le champ de bataille, à être fait prisonnier par l'ennemi. En effet, la guerre d'Olivier Guilleux c'est avant tout l'expérience de la captivité, et c'est l'intérêt majeur de ce livre. À la différence de l'expérience de la mobilisation que l'on connaît bien, les récits portant sur la captivité sont peu nombreux et les travaux scientifiques sur la question sont réellement embryonnaires. Les lettres échangées entre le prisonnier et sa famille, et plus encore, le récit de son évasion, dévoilent ici la vie quotidienne dans un camp d'officiers (Guilleux est lieutenant) où les Allemands se comportent humainement envers les Français qui, pour leur part, font tout ce qu'ils peuvent pour leur compliquer la tâche par une «résistance passive». Ces quatre années derrière les barbelés révèlent la résistance de l'instituteur et sa détermination: jamais il ne baisse les bras ni ne perd espoir, passant le plus clair de son temps à apprendre des langues étrangères et à s'adonner à divers sports, entretenant son corps en vue d'une évasion qu'il finira par réaliser en 1918. La tentative est malheureuse mais elle montre bien le caractère trempé du personnage qui espère rejoindre au plus tôt son régiment pour reprendre le combat. Ce dernier récit se lit comme un roman." (Jean-Yves La Naour, Histoire, économie et société, 2004)
Bruxelles, La Pierre d'Alun, 1983. In-8, en feuilles, couverture blanche à rabats, 57 pp. Planches illustrées hors-texte.
Deuxième publication de " La Pierre d'Alun ". Edition originale. Un des 50 ex. du tirage de tête destinés aux amis de La Pierre d'Alun enrichi d'une lithographie originale numérotée et signée par l'artiste. (36/50). Ex signé par l'auteur et l'artiste. Etat neuf. Photos sur demande.
Bruxelles. La Pierre d'Alun. 1983. In-8° en feuilles sous chemise imprimée. 10 planches hors texte d'Olivier O. Olivier. 57 pages. E.O. 1/520 du tirage de base sur périgord mat.
Très bon état.
Marcel Olivier (né à Nîmes le 29 novembre 1879 et mort à Paris le 3 janvier 1945) est un fonctionnaire colonial et un écrivain français. En 1932, alors que l’État reprend en charge la Compagnie générale transatlantique au bord de la faillite, Olivier est appelé à la présidence de l'entreprise. Malgré son inexpérience en termes de marine, ses contacts et sa personnalité se révèlent particulièrement utiles dans le redressement de la compagnie, avec l'aide de son directeur général, Henri Cangardel. C'est ainsi Marcel Olivier qui contribue à défendre devant l'opinion le projet du paquebot Normandie. Eugène Frot est un homme politique français né le 2 octobre 1893 à Montargis dans le Loiret et décédé le 10 avril 1983 à Neuilly-sur-Seine dans les Hauts-de-Seine. Ministre de l'Intérieur du 30 janvier au 7 février 1934 dans le gouvernement Édouard Daladier, il aura à gérer les violences de la manifestation du 6 février 1934. Il est accusé d'avoir donné l'ordre aux policiers de tirer et même d'avoir organisé des provocations. La droite et l'extrême droite l'accusent après coup d'avoir été un « ministre de l'Intérieur aux mains sanglantes ». Il s'en défend mais voit sa carrière ministérielle brisée alors qu'on lui avait fait miroiter la présidence du Conseil. Lettre autographe signée Marcel Olivier adressée à Eugène Frot - le 16 février 1934 - 3 pages sur un double feuillet à en-tête de la Compagnie Générale Transatlantique (format 10 x 16) - très bon état, pliure liée à l'envoi "Mon cher Ministre, J'étais en Italie pendant les évènements de ces jours derniers et depuis mon retour un accident ridicule au pied ne m'a pas permis - en m'immobilisant - d'aller jusqu'à vous comme je l'aurais cependant tant voulu. Je n'oublie pas, en effet, ni votre bienveillance à mon égard ni votre action [...] en faveur de la Transatlantique et je vous en conserve beaucoup de gratitude. Croyez bien que j'ai été profondément affecté par tout ce qui s'est produit et que d'ailleurs - connaissant votre cœur et votre intelligence je ne parviens pas à comprendre : c'est tout le contraire de vous-même ! Je suis d'ailleurs persuadé que vous pourrez dans un avenir proche faire la mise au point ! et en attendant, je vous demande de bien croire, plus particulièrement, en ces heures douloureuses, à une grande et sincère et dévouée sympathie. M. Olivier"