Albert morancé collection sans date d'édition. in12. Sans date. agrafé. Très bon état
Reference : 100092079
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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Conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Les prix sont nets auxquels il faut ajouter les frais de port. <br />Nous acceptons la carte bancaire. <br />
Paris, Lemiere, [circa 1840]. 445 x 450 mm.
Superbe et grande vue à vol d'oiseau du Palais Royal et de ses jardins, dessinée d'après nature par Chapuy et lithographiée en couleurs par Champin. Construit en 1632 par Richelieu, ministre de Louis XIII, le Palais-Cardinal devient la propriété des Orléans, branche cadette du royaume de France, en février 1692, quand Louis XIV l’offre à Monsieur, son frère. Il sera alors nommé Palais-Royal. En 1792, le duc d'Orléans fait du Palais-Royal un lieu d’exception, une ville dans la ville, protégée par des règles que seul le statut de son propriétaire peut permettre. Ainsi, la police n’a pas le droit d’y pénétrer. Les marchands de mode, cafés, boutiques d'estampes et gravures, libraires, etc., se partagent les 88boutiques, tandis que les arcades abritent une foule disparate de prostituées, joueurs ou flâneurs. En 1814, le palais et son jardin reviennent au futur roi Louis-Philippe. En 1829, il fait remplacer les galeries de bois par la galerie d’Orléans, en pierre. Le Palais-Royal devient la propriété des Orléans, branche cadette du royaume de France, en février 1692, quand Louis XIV l’offre à Monsieur, son frère. Le jardin du palais est alors ouvert sur la ville. Bel exemplaire finement colorié à l'époque.
PCV éditions. 1979. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 31 pages agrafées - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Paris de 1 à 20 - atlantes et cariatides de Paris - la ballade des fortifs - le palais-royal d'hier et d'aujourd'hui - les arcades du Palais-Royal - les cafés du Palais-Royal - paris aux cent livres - paris aux cent sourires - urbanisme, transport - arts, spectacles - photo insolite - en bref - crimes et criminel célèbres du Paris d'autrefois. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
VIZZAVONA, 65 Rue du Lac, VIIe Paris. vers 1910 ou 1920. In-4. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Coiffe en pied abîmée, Quelques rousseurs. 80 pages de planches photos sépia + 7 pages d'appendice. Illustrations sur le 1er plat par Legueult R. Agrafes rouillées. 4 photos disponibles.. . . A l'italienne. Classification Dewey : 908.4434-Régionalisme : Ile-de-France
François Antoine Vizzavona : editeur et photographe - SOMMAIRE: la cite, palais du louvre, pont neuf, place du carrousel, palais de justice et le pont au change, saint germain l'auxerrois, palais royal, theatre de la comedie francaise, jardin des tuileries, rue castiglione, rue de la paix un jour de sainte catherine, place vendome, opera, place de l'opera, rue halevy, les grands boulevards, les halles centrales, palais de la bourse, musee carnavalet, palais des archives nationales, place de la bastille et la colonne de juillet, le 14 juillet au faubourg saint denis, hotel de ville, notre dame, porte des celestins et le pont marie, saint etienne du mont et le lycee henri IV, la place du pantheon et la faculte de droit, rue soufflot, pantheon, jardin et palais du luxembourg, fontaine medicis, fontaine carpeaux, place saint sulpice, saint germain des pres, ecole des beaux arts, institut, pont royal, hotel des invalides, hotel du marechal foch, tombeau de napoleon 1er, champ de mars et tour eiffel, pont alexandre III, palais bourbon, place de la concorde, les champs elysees, grand palais, petit palais, palais de l'elysee et ses jardins, marche aux fleurs de la madeleine et la rue royale, trocadero, lacs du bois de boulogne, avenue du bois de boulogne, tombeau du soldat inconnu, place de l'etoile, parc monceau, saint vincent de paul, basilique du sacre coeur, porte saint denis, rue lepic... Classification Dewey : 908.4434-Régionalisme : Ile-de-France
René Julliard Cahiers de la Compagnie Broché 1958 In-8 (14 x 19.5 cm), broché, 125 pages, illustrations en noir hors-texte + fascicule 'Palais Royal' (13.5 x 18 cm), dos agrafé, non paginé, n°24 des Cahiers de la Compagnie dirigés par Madeleine Renaud et Jean-Louis Barrault, illustrations en noir in et hors-texte avec la couverture illustrée ; manques aux coiffes de la couverture illustrée, des marques d'usage aux plats de l'ouvrage légèrement jaunie, par ailleurs intérieur frais, assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
<p>Les jardins du Palais-Royal ont accueilli les œuvres d’Arnaldo Pomodoro qui a toujours souhaité, selon ses propres termes, que l’intensité dramatique de ses œuvres soit tout à la fois «tempérée et révélée par la lumière naturelle«.</p><p>Arnaldo Pomodoro a été profondément marqué, dans son enfance, par les paysages italiens de sa région de naissance, autour de Montefeltro. Dans les années 60, l’artiste s’est davantage intéressé à la sculpture dans l’espace urbain. Ses formes à trois dimensions ont commencé à émerger.</p><p>Ces sculptures sont révélatrices de tensions divergentes entre l’opposition des concepts et des émotions. On ressent les oppositions entre l’ancien et le contemporain, le mécanique et l’organique, ou même le métaphysique. L’agrandissement de la taille et de l’échelle de ses sculptures est allée de pair avec la complexification de son travail.</p><p>L’artiste dit lui-même : « J’ai parfois l’impression que les gens trouvent ma sculpture mystique, mais je ne pense pas que ce soit le cas, moi, je vois les ruptures, les parties érodées, le potentiel de destruction qui vient de notre époque de violence et de désenchantement ».</p><p>Ses thèmes dominants restent les mêmes. Ses sculptures concilient respect du passé et admiration pour la technologie, tempérés par les angoisses des dures réalités de notre époque post-industrielle. Néanmoins, son œuvre reste profondément optimiste. L’artiste dit que « par dessus tout, il ne veut pas que son œuvre soit lue de manière pessimiste. »Son goût pour la sculpture monumentale s’explique selon ses propres mots :« A travers mon expression artistique, je veux développer des émotions fortes mais constructives.</p> Milan, 2002 Skira 152 p., broché. 24 x 30
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