Morancé collection sans date d'édition. 15x21. Sans date. agrafé. 32 pages. Très bon état
Reference : 100091583
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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Hamon-Jugnet (Marie) - Oudin-Doglioni (Catherine)
Reference : 11221
(1995)
ISBN : 2866450817
éditions du Félin 1995 In-4 24,5 x 24,5. Reliure de l’éditeur cartonnée et illustrée sous jaquette illustrée en couleurs, 160 pp., Illustrations en couleurs et en noir. Exemplaire en très bon état. Poids sans emballage : 1200 grammes. Une visite au Quai d’Orsay. Un style. Une époque.
Une visite au Quai d’Orsay. Un style. Une époque. Très bon état d’occasion
Plon, 1955, in-8°, iv-271 pp, broché, jaquette, bon état
"La publication posthume de ce journal présente un grand intérêt historique, car Maurice Paléologue était chargé au Quai d'Orsay de suivre l'affaire Dreyfus et il était en constants rapports avec les officiers du Service de renseignements. II se déclare certain que de 1886 à 1896 plusieurs officiers français ont alimenté l'ambassade d'Allemagne en documents confidentiels et il met en cause en termes voilés (pp. 156-159) un « officier d'un très haut grade » qui aurait occupé « durant plusieurs années des fonctions importantes au ministère de la Guerre ». Ces révélations tardives seraient évidemment plus probantes si elles étaient plus précises et surtout si les convictions intimes de M. P. l'avaient parfois amené à se départir de la réserve diplomatique qui constitue la règle constante de son attitude. Le journal de Maurice Paléologue est le journal d'un parfait fonctionnaire ; il constitue un excellent – et parfois bien involontairement cruel – tableau du Quai d'Orsay à la fin du siècle dernier. Ce n'est pas le moindre intérêt de ce livre." (Revue française de science politique, 1956) — "Grand commis au Ministère des Affaires étrangères, Maurice Paléologue a connu, pendant sa carrière, beaucoup de secrets d'Etat. Il a vécu au plus près les péripéties shakespeariennes de l'Affaire Dreyfus et en a tenu un journal quotidien, que les Editions Plon nous font connaître. Les contemporains de cette « affaire », dont certains aspects demeurent encore troubles, liront avec passion ces pages, qui sont celles d'un grand mémorialiste. Les autres n'auront pas à superposer leurs propres souvenirs aux faits racontés par Paléologue, mais ils y ramasseront une ample moisson de faits dramatiques. Là, l'histoire est un roman quotidien avec, pour fond de décor, les coulisses des Affaires étrangères, de l'Etat-Major et du 2e Bureau." (Bernard Simiot, Hommes et mondes, 1956) — "Maurice Paléologue avait tenu un journal. Pendant les seules années dramatiques de l'affaire Dreyfus ? On ne sait. Toujours est-il que le récit qu'il en a tiré et qu'on vient de publier ne se rapporte qu'à elle. Ultérieurement, il détruisit les annales que le récit résume ; et on le regrette, car, on va le voir, il est au moins probable qu'elles comporteraient bien davantage. Paléologue reconnaît qu'il n'aimait pas les Juifs et l'aspect physique, l'attitude de Dreyfus lui furent antipathiques ; il crut à la culpabilité comme presque tout le monde. Mais, diplomate et mondain, il apprit beaucoup ; le doute s'insinua, puis la conviction s'affirma d'une erreur judiciaire ; finalement, il conclut que Dreyfus avait été victime d'une criminelle machination destinée à couvrir trois traîtres : Esterhazy ; un second officier, Maurice Weil ; et un troisième, « de très haut grade », dont la carrière n'aurait souffert aucun dommage, mais qu'il ne nomme pas. Henry, ami et débiteur d'Esterhazy, Lauth, préoccupé de sauver l'anonyme pour des motifs privés, ourdirent la trame qui perdit Dreyfus. On ne peut douter que le journal rapportait les renseignements qui appuyaient le bref exposé qu'on lit aux pages 156-157. Telle quelle, la publication rouvre le problème de l'affaire et on peut s'attendre à en voir d'autres, un jour ou l'autre, la compléter ou la contredire." (G. Lefebvre, Annales ESC, 1957)
Imprimerie Nationale. 1995. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 199 pages. Nombreuses illustratoins et cartes en couleurs et en noir et blanc dans et/ou hors texte. Jaquette et sous-emboîtage en très bon état.. Avec Jaquette. Sous Emboitage. . Classification Dewey : 940-Histoire générale de l'Europe
Avant-propos de Hélène Carrère d'Encausse - Classification Dewey : 940-Histoire générale de l'Europe
Editions Sophie de Sivry & L'Iconoclaste. 2001. Album in-4°, reliure pleine toile de l'éditeur. Jaquette illustrée. 332 pages. Très nombreuses illustrations issues des Archives du ministère des Affaires étrangères.
Très bon état.
Julliard, 1956, fort in-8°, 590 pp, préface de François Mauriac, broché, bon état
"Diplomate de carrière, J. D. fut nommé à la Libération chef du Protocole. Son journal, dans lequel il notait aussi bien les cérémonies officielles que les bons mots entendus aux dîners mondains, constitue un précieux document sur les premières années de la IVe République – et plus encore peut-être sur l'état d'esprit d'un diplomate français." (Revue française de science politique, 1956) — "Jacques Dumaine, fils de diplomate, diplomate lui-même, après avoir été en poste à Rome, à Londres, à Washington, reçut à la Libération la lourde charge du Protocole. Chaque jour, de 1945 à 1951, années pendant lesquelles il remplit cette fonction, il tint un « journal » où il put noter en témoin fidèle et malicieux, impartial et indulgent, les événements de la grande et de la petite histoire. De son admirable poste d'observation, un sourire très « Quai » sur les lèvres, il voyait s'avancer « à pas mesurés sur les tapis rouges et entre les plantes vertes des gares », l'Histoire, celle du général de Gaulle, de Winston Churchill, de la princesse Elizabeth d'Angleterre jeune mariée, de la reine de Grèce dont la conversation le « réconcilie avec ses fonctions », du roi du Cambodge « coqempâté », de Vichinsky « au teint clair ». Pendant que Louis Jouvet, Fernand Léger, Paul Claudel, Jean-Louis Barrault, Roland Petit, Christian Dior et bien d'autres faisaient eux aussi l'histoire de Paris et de la France. C'est un très précieux document." (Hommes et mondes, juillet 1956) — Dans ses carnets personnels, Jacques Dumaine, chargé du protocole au Quai d'Orsay, constate que Vincent Auriol, premier Président de la IVe République, élu par le Parlement le 16 janvier 1947 au premier tour de scrutin, loin de se contenter « d’inaugurer les chrysanthèmes », construisit une fonction présidentielle qui n’avait jamais existé auparavant. Il note comment Robert Schuman a longtemps conservé secret son plan de mise en commun du charbon et de l'acier français et allemand, et rappelle comment les autorités du Royaume-Uni ont, dès le début, manifesté une grande méfiance à l'égard du plan Schuman.