‎Archives Nationales Exposition 1986‎
‎Les Huguenots‎

‎La Documentation Française / Archives nationales 1985 21x24. 1985. Broché. 223 pages. Bon Etat intérieur propre couverture brunie‎

Reference : 100071523


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M. Philippe Arnaiz

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‎MAGDELAINE (Michelle).‎

Reference : 123485

(1979)

‎Ensemble de 15 études sur l'exode des huguenots à la fin du XVIIe siècle et Sainte-Marie-aux-Mines.‎

‎ 1979-2014, 13 fascicules in-8° et 2 in-4°, 15 tirés à part brochés, bon état‎


‎L’exode des huguenots français vers les pays protestants afin d’échapper aux persécutions est un événement capital de l’histoire européenne. De 1560 à 1760, cette diaspora concerne plus de deux cent mille huguenots qui prennent le chemin de l’exil par fidélité à leur foi. — Michelle Magdelaine (1933-2021), historienne du protestantisme français au XVIIe siècle, a été à l’origine de la Base de données sur le Refuge huguenot créée à l’Institut d’Histoire Moderne et Contemporaine (IHMC-CNRS). C’est elle qui en a en grande partie collecté, codé et enregistré électroniquement les données à partir de 1978. Ce travail pionnier avait pour objet d’enregistrer les traces de tous les fugitifs protestants passés, après la Révocation de l’édit de Nantes en 1685, par Francfort-sur-le-Main où ils furent assistés par l’Église française. Ses recherches ont porté également sur les protestants parisiens au XVIIe siècle et la répression qu’ils subirent, sur Sainte-Marie-aux-Mines, petite cité alsacienne pluri-confessionnelle, sur les protestants du Dauphiné, ainsi que plus généralement sur le protestantisme en France et en Allemagne au XVIIe siècle. — Détail : 1. Mémoires de deux voyages et séjours en Alsace, 1674-76 et 1681. (1979, 9 pp) – 2. Le Refuge : le rôle de Francfort-sur-le-Main. (Dublin colloquium on the Huguenot refuge in Ireland 1685-1985, 9-12 avril 1985, 10 pp) – 3. Les huguenots sur le chemin de l'exil. (L'Histoire n° 77, 1985, 6 pp) – 4. La Famille à Sainte-Marie-aux-Mines au XVIIe siècle d'après les contrats de mariage. (Société d'histoire du Val de Lièpvre, 1986, 7 pp) – 5. Le Refuge à Francfort-sur-le-Main. Les Dauphinois du Valcluson, de l'Embrunais et du Gapençais à Francfort en 1686-1687 (Bulletin de la Société d'Études des Hautes-Alpes, 1987, 7 pp) – 6. La gestion financière d’une communauté réformée au XVIIe siècle : Sainte-Marie-aux-Mines (Haute-Alsace), de 1635 à la fin du siècle. (L’hostie et le denier, Genève, Labor et Fides, 1991, 12 pp) – 7. Défense et promotion de l'identité religieuse : le Refuge huguenot. (Clermont-Ferrand, 1993, 9 pp) – 8. L'Irlande huguenote : utopie ou réalité. (De l'Humanisme aux Lumières, Bayle et le protestantisme, 1996, 15 pp) – 9. Le temple réformé de Sainte-Marie-aux-Mines du XVIIe au XXe siècle. (B.S.H.F, 1997, 23 pp) – 10. Exil et voyage. Le Refuge huguenot et l'errance. (Revue Suisse d'Histoire, 1999, 10 pp) – 11. L'Exode des huguenots à la fin du XVIIe siècle. (Colloque de Montbrison, 28-30 septembre 2000, 7 pp) – 12. Francfort-sur-le-Main et les réfugiés huguenots. (Münich, 2007, 15 pp) – 13. Le registre du consistoire de Francfort-sur-le-Main. (B.S.H.F, 2007, 11 pp) – 14. Le Refuge huguenot, exil et accueil. (Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, 2014, 13 pp) – 15. Prosopographie et Refuge. (Informatique et prosopographie, 1984, 7 pp). ‎

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Phone number : 01 43 54 43 61

EUR60.00 (€60.00 )

‎AUGERON (Mickaël), Didier Poton, Bertrand Van Ruymbeke (dir.).‎

Reference : 115911

(2012)

ISBN : 9782846542425

‎Les Huguenots et l'Atlantique. Volume II : Fidélités, racines et mémoires.‎

‎ Les Indes savantes, 2012, in-4°, 515 pp, préface de Jean-Pierre Poussou, nombreuses illustrations en noir et en couleurs, biblio, index, reliure cartonnée illustrée de l'éditeur, un mors très lég. abîmé, bon état‎


‎Fruit d'une collaboration internationale, cet ouvrage, en deux volumes, offre pour la première fois une vaste synthèse sur les relations que les protestants français entretiennent avec le monde atlantique, depuis le XVIe siècle. De l'Europe au Brésil, de l'Amérique du Nord à l'Afrique du Sud, les huguenots ont marqué de leur empreinte bien des territoires, laissant des traces patrimoniales durables, tant dans les paysages que dans les mémoires. Monuments historiques, sites touristiques, collections archivistiques ou muséographiques, plaques commémoratives, patronymes, recettes culinaires, noms d'écoles, de localités ou de rues, contribuent à rappeler, d'un rivage à l'autre, cette histoire commune; une histoire qui transcende les cadres nationaux. Les centaines de documents iconographiques, ici réunis, en témoignent et permettent d'appréhender cette présence huguenote dans toute son étendue spatiale et temporelle. –Ce second volume aborde la question du "Refuge", tant en Afrique du Sud que dans les colonies anglaises et néerlandaises d'Amérique. Dès la fin du XVIIe siècle, ce sont des dizaines de milliers de personnes, nobles, soldats, pasteurs, négociants ou petites gens qui quittent le royaume de France, pour des raisons religieuses ou dans l'espoir, tout simplement, d'une vie meilleure. Certains parviennent à bâtir de formidables fortunes dans les colonies étrangères, tandis que d'autres se contentent d'y diffuser idéaux, nouvelles techniques ou pratiques cultuelles, contribuant à modeler les sociétés d'accueil sur le plan culturel. Sait-on par exemple qu'il existe encore à New York une église de langue française, héritière directe de l'installation de colons huguenots dans l'île de Manhattan (New York) au XVIIe siècle ? que les villes de New Rochelle, dans l'État de New York, et de New Bordeaux, en Caroline du Sud, ont été fondées par des réfugiés français ? que ces mêmes huguenots ont contribué au développement de la viticulture en Afrique du Sud, à partir de la région de Franschhoek, le "coin des Français" ? Que leur périple a été exploité tant par les démocrates américains que par les idéologues du Ku Klux Klan, les tenants de l'Apartheid ou les presbytériens du Brésil ? Mythifiée par les uns, méconnue par les autres, cette "histoire du Refuge" n'en constitue pas moins un puissant ferment identitaire pour les descendants de huguenots ou les communautés réformées actuelles. Ces héritages partagés, qui dépassent les frontières nationales, sont source d'une mémoire commune qui contribue depuis la fin du XVIIIe siècle à rapprocher les deux rives de l'Atlantique autour de projets fédérateurs et d'échanges croissants. ‎

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EUR40.00 (€40.00 )

Reference : est39t3

‎Massacre des Huguenots‎

‎DImension extérieur : 43 x 58,5 cm et cuvette 35,5 x 48,5 cm. 18 ème siècle . Massacre des Huguenots fait à Paris le 24 août 1572 jour de la Saint Barthelemy au moins dix-mille d’entre eux, entre autres de Gaspar de Coligny amiral de France et de plus de 500 seigneurs et gentils-hommes. Eau-forte en très bon état, nettoyé par un professionnel. On peut seulement constater une trace de scotch au verso ainsi que quelques marques de crayon et tâches.‎


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Phone number : +33 5 59 03 69 40

EUR250.00 (€250.00 )

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR750.00 (€750.00 )

Reference : AFF12M

(1909)

‎THEATRE MUNICIPAL DE SAIGON. Mardi 19 Janvier 1909. SOIREE DE GALA pour les représentations de Mlle DOLNAY et Mlle Magda VASSILIEF. Pour la première fois à Saigon LES HUGUENOTS. SAMSON et DALILA grande reprise de la Saison. LA FEMME NUE // MUNICIPAL THEATER OF SAIGON. Tuesday, January 19th, 1909. GALA EVENING for the representations of Miss DOLNAY and Miss Magda VASSILIEF. For the first time in Saigon THE HUGUENOTS. SAMSON AND DELILAH big resumption of the Season. THE NAKED WOMAN // Nhà hát Thành phố Sài Gòn. Thứ 3 Tháng một 19, 1909. GALA buổi tối cho màn trình diễn DOLNAY Hoa hậu và Hoa hậu Magda VASSILIEF. Đây là lần đầu tiên ở Sài Gòn Huguenots. SAMSON và Dalila phục hồi cao của mùa giải. Người phụ nữ NAKED‎

‎Affiche au format : 125 x 85,5 cm. Imp. Nouvelle COUDURIER & MONTEGOUT. NOUS Y JOIGNONS le Programme saison 1908-1909 du Grand théâtre Municipal de Saïgon. Tableau de la troupe, répertoire de la saison, Créations à Saigon + Une Photo au format 19,5 x 14 cm. // Poster in the format: 125 x 85,5 cm. Imp. New COUDURIER & MONTEGOUT. WE JOIN THE PROGRAM 1908-1909 season of the Great Municipal Theater of Saigon. Table of the troupe, repertory of the season, Creations in Saigon + A Photo in format 19,5 x 14 cm. // Hiển thị định dạng: 125 x 85,5 cm. Imp. New COUDURIER & Montegout. CHÚNG TÔI SẼ tham gia mùa giải 1908-1909 chương trình của Nhà hát Lớn Sài Gòn thành phố. Bảng của đoàn kịch, tiết mục của Creations mùa ở định dạng Sài Gòn + A Hình 19.5 x 14 cm.‎


‎Affiche en bon état, toilée et restaurée, sur papier de riz. // Poster in good condition, canvas and restored, on rice paper. // Hiển thị trong tình trạng tốt, quấn và phục hồi trên giấy gạo.‎

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