‎Brereton Greenhous‎
‎Dieppe, Dieppe‎

‎ Art global 1994 Canada , Art Global , 1992 - In4 ( 32x24cm) - reliure pleine toile avec sa jaquette - 155 pages - très nombreuses illustrations - Signé par le Major général Boyle des Forces canadiennes en 1994 - Parfait état ‎

Reference : RES30L252


‎Très bon Très bon ‎

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L'Encrivore
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‎Greenhous, Brereton‎

Reference : 19249

(1992)

‎Dieppe, Dieppe‎

‎Art Global In-4 Jaquette en très bon état Couverture rigide toile Montréal 1992 ‎


‎Très bon 155 pages. Album publié à l'occasion du 50e anniversaire du débarquement de Dieppe (Normandie).‎

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(ALAC, )

Phone number : 514-522-8848

CAD20.00 (€13.10 )

‎GREENHOUS, Brereton.‎

Reference : 8750

(1992)

‎ Dieppe, Dieppe.‎

‎ 1992 ( Montréal ), Art global, 1992 ; in-4, pleine toile fauve de l'éditeur , titre argenté au 1er plat et dos, jaquette beige illustré d'une vignette or et argent au 1et plat, titre argenté; 155pp.; frontispice en couleurs sur fond noir, très nombreuses illustrations photographiques et cartes à pleine page et 1 grande carte dépliante hors texte en couleur .‎


‎ Bel ouvrage parfaitement illustré en très bon état. ( GrDD2) Je suis absente du 14 au 19 juillet. Vos commande seront enregistrées, mais nous ne pourrons pas y répondre avant le 20. Merci de votre compréhension et de votre patience.‎

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Phone number : 33 (0)2 54 49 05 62

EUR35.00 (€35.00 )

Reference : 42903

(1836)

‎[Dieppe. Manuscrit]. Mémoires pour servir à l'histoire de la ville de Dieppe, suivies de notices sur les Églises, Chapelles, Couvents, Hôpitaux et Maladeries, sur quelques hommes célèbres et sur diverses pratiques religieuses et cérémonies particulières à cette ville. Transcrits et mis en ordre par C. L. R.‎

‎Sans lieu, , 1836. In-4 manuscrit (190 x 305 mm) de (2)-VI-329 pp. à 33 lignes par page, demi-veau blond, dos orné à nerfs, chiffre doré doré au dos (reliure de l'époque). ‎


‎Histoire inédite de Dieppe depuis sa fondation en 912 à 1756 quand éclata une nouvelle guerre avec l'Angleterre, établie par l'historien de la Normandie Charles Renard qui signe la préface, éditeur de travaux régionalistes sous le pseudonyme « bibliophile normand ». L'auteur explique préalablement avoir remis en ordre un manuscrit de sa bibliothèque daté 1754, « Mémoire pour servir à la description de la ville de Dieppe écrite par Louis Clémence Écolier des Frères des Écoles Chrétiennes en la grande classe de Saint Remy » compilation de textes des XVIIe et XVIIIe siècle consacrés à Dieppe. Le texte est suivi de notices sur « quelques hommes célèbres, les églises, chapelles, couvents, hôpitaux et maladeries » dont la Chapelle de St Nicolas de Cote-Cote, la Maladerie de Janval, l’Hôtel-Dieu, l’abbaye de Ste Catherine, l’église paroissiale de St. Jacques, de l’église paroissiale de Saint-Remy, le couvent des Minimes, le couvent des RR.PP. Carmes déchaussés, le couvent des RR. PP. Capucins, le couvent de l’Oratoire, le couvent des Carmélites, Résidence des RR.PP. Jésuites, le couvent des Vésulines, la description de l’hôpital général, l’École des Frères de la doctrine chrétienne, les Quatre charités, les Processions, les stations et serments d’Avent et de Carême, les Saluts, de l’Église titulaire ou succursale des grèves.L'érudit local Charles Renard historien de la Normandie révolutionnaire, publia les Oeuvres politiques de Charlotte de Corday (1863), Dumouriez et les marguilliers de Cherbourg lettres inédites et autographes publiées par M. Ch. Renard, de Caen (1842) ; Rapports de Henri Grégoire faits à la Convention du 22 germinal an II au 24 frimaire an III, réédités par un bibliophile normand (1867).Provenances : l’abbé Julien Loth, curé de Saint-Maclou à Rouen avec son ex-libris gravé par Jules Adeline en 1896, à la devise Quidquid latet apparebit ; prélat du diocèse de Rouen, il fut membre de la Société des antiquaires de Normandie et de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen. Robert Thoumyre (cachet ex-libris) né le 16 février 1883 à Dieppe, député de la Seine-Inférieure de 1919 à 1932, ministre des Pensions (1930), sénateur de la Seine-Inférieure de 1932 à 1940 et président du conseil général de la Seine-Inférieure de 1937 à 1943 (†1947). Ex-libris moderne « J.M. » non identifié.Très beau manuscrit au chiffre « CR » de l'auteur sur le dos de la reliure, soigneusement rédigé à l'encre brune avec un titre calligraphié orné d'une vignette et d'un bandeau aux armes royales ; lettrine illustrée et historiée. Les pages 313 à 320 sont paginées mais laissées vierges avec un simple encadrement au crayon.Frère, I, 363 (Dieppe), II, 455 (Charles Renard). ‎

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EUR1,500.00 (€1,500.00 )

Reference : 16377

(1700)

‎[Dieppe]. Recueil général des Édits, Déclarations, Lettres patentes et Arrests du Conseil d'État donnez en faveur des habitans de la ville de Dieppe, concernans les privilèges, franchises et exemptions de lad. Ville.‎

‎Dieppe, Pierre Pillon, 1700. In-4 à pagination multiple, lettrines et bandeaux gravés sur bois, tables, demi-veau fauve, dos orné à nerfs, pièce de titre noire, chiffre GR frappées en pied de dos (reliure du XIXe siècle). ‎


‎Recueil de pièces sorti des presses de Pierre Pillon, imprimeur dieppois, concernant les privilèges de la ville de Dieppe, du 17 octobre 1197 au 12 mai 1705, dont la plupart portent l'adresse de Guillaume Viret, 1696.« Le siècle n'était pas encore révolu, que Pierre Pillon donnait à la ville le plus grand labeur qui fut sorti des presses dieppoises, et l'un des plus importants sous le rapport historique. En 1700 seul imprimeur de la ville et du collège, Pillon mettait au jour son Recueil général des édits. C'est après le Cueilloir, le monument le plus curieux à consulter pour l'histoire locale. Plus le temps avance, plus ce livre devient précieux. Véritable phénix sorti des cendres de la ville (le bombardement de Dieppe en 1694 détruisit une grande partie de la ville), espérons que le fer et le feu ne pourront jamais l'atteindre » (Cochet).Quelques rousseurs et pâles mouillures, petit accroc à la coiffe de tête. Frère II, 443 ; Jean Benoît Désiré Cochet, Histoire de l'imprimerie à Dieppe, 1848, p. 12. ‎

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EUR800.00 (€800.00 )

‎JUCHEREAU DE LA FERTE, dite de Saint-Ignace, Jeanne-Françoise.‎

Reference : LCS-18112

‎Histoire de l’Hôtel-Dieu de Québec. Edition originale de ces annales retraçant le récit de la création à Québec du premier hôpital par les Hospitalières de Dieppe sous les auspices de la duchesse d’Aiguillon, nièce du cardinal de Richelieu.‎

‎« Ces annales sont un des documents historiques les plus précieux que l’on possède. » Montauban, chez Jerosme Legier, et se vend à Paris, chez Claide-Jean-Baptiste Herissant, s.d. [1752]. In-12 de (8) ff., 556 pp., (1) f. Veau brun, filet à froid autour des plats, dos à nerfs orné de fleurons dorés, coupes décorées, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 162 x 91 mm.‎


‎Édition originale de ces annales retraçant le récit de la création à Québec du premier hôpital par les Hospitalières de Dieppe sous les auspices de la duchesse d’Aiguillon, nièce du cardinal de Richelieu. Barbier, II, 686. Chassés de la Nouvelle-France après la chute de Québec aux mains des frères Kirke en 1629, les Jésuites y retournent trois ans plus tard après que le Traité de Saint-Germain-en-Laye (1632) ait rendu à la France sa colonie et, pour un temps, « l’Église canadienne sera missionnaire », avec à sa tête le père Paul Le Jeune. C’est lui qui, en 1634, exprime le besoin d’un hôpital pour soigner les autochtones et les quelques colons qui s’y trouvent. C’est en pensant surtout aux autochtones que le père Le Jeune demandait la venue à Québec de religieuses hospitalières. « S’il y avait ici un Hopital il y aurait tous les malades du pays, & tous les vieillards, pour les hommes nous les secourerons, selon nos forces, mais pour les femmes il ne nous est pas bien seant de les recevoir en nos maisons», écrit-il. L’institution souhaitée était en effet moins destinée aux Français qu’aux autochtones, « sujets à de grandes maladies, et qui n’avaient aucun moyen d’adoucir la misère dont ils étaient accablez surtout dans leur extreme vieillesse». « L’élan mystique qui traverse la France dans les premières décennies du XVIIe siècle coïncide avec le mouvement colonisateur » et il n’est pas étonnant que plusieurs religieuses d’ordres et monastères manifestent un vif intérêt pour le projet du jésuite. Toutefois, les conditions matérielles pour l’établissement de religieuses et l’aménagement d’un monastère-hôpital à Québec sont à toutes fins utiles inexistantes. Le père Le Jeune lance alors nouvel appel mais cette fois il s’adresse aux personnes « capables de supporter financièrement l’entreprise ». La réponse est venue de la cour de France. La duchesse d'Aiguillon, mariée à 16 ans au marquis de Combalet, selon la volonté de son oncle, le cardinal de Richelieu, devient veuve à 18 ans ; elle ne se remarie pas et emploie presque toute sa fortune à soulager les pauvres et à fonder des établissements de charité. À 31 ans seulement, elle est déjà très engagée à ces fins. Elle est notamment la principale fondatrice du grand hôpital de Paris, rappelle l’historien Henri-Raymond Casgrain. Sous la conduite spirituelle de saint Vincent de Paul, promoteur et initiateur de nombreuses œuvres de charité et marquée par sa lecture des Relations des Jésuites, notamment celle de 1635 du Père Le Jeune, la duchesse prend conscience de l’importance des missions canadiennes dans l’histoire de l’Église. En 1636 en effet, la duchesse d’Aiguillon « se résolut de fonder à ses dépens un Hôtel-Dieu ». Et, pour réaliser cet ambitieux projet, elle choisit de faire appel aux Religieuses Hospitalières de l’Ordre de Saint-Augustin, dites alors Filles de la Miséricorde, installées au monastère de Dieppe. « Le Cardinal de Richelieu, son oncle, voulut entrer dans la bonne œuvre, & jusqu’à leur mort ils eurent l’un et l’autre une affection singulière pour cette maison, ils donnerent quinze cent livres de revenu au capital de 20000 liv. à prendre sur les coches et carosses de Soissons qui leur appartenoient, le contrat fut passé le 16 août 1637. ». Le Dr Yves Morin décrit la « jonction des quatre facteurs » qui ont amené la duchesse à exécuter son œuvre : « (…) l’esprit de charité de la duchesse, son influence à la cour par le biais de son oncle, le cardinal Richelieu, sa connaissance de la Nouvelle France grâce aux Jésuites et le rôle essentiel de l'Hôtel-Dieu de Dieppe, un des établissements prééminents en France ». En avril 1639, le roi Louis XIII accorde des lettres patentes pour l’établissement de l’hôpital et mentionne explicitement les motifs religieux de la duchesse. Il y aura aussi un second contrat en 1640 où ces mêmes motifs seront énoncés. Dans sa lettre à Marie Guenet de Saint-Ignace, première supérieure de l’Hôtel-Dieu de Québec, la veille du départ pour Québec des trois Augustines, la duchesse d’Aiguillon écrit clairement que l’Hôtel-Dieu devra être « dédié à la mort et au précieux Sang du fils de dieu répandu pour faire miséricorde à tous les hommes et pour lui demander qu'il l’applique sur l’âme de Monseigneur le Cardinal Duc de richelieu, et celle de Madame la Duchesse Daiguillon et pour tout ce pauvre peuple…». La duchesse obtient de la Compagnie des Cent-Associés une concession de sept arpents dans l’enclos où on avait commencé à bâtir Québec et un fief de soixante arpents dans la banlieue, entre Cap-Rouge et le coteau Sainte-Geneviève, ce terrain qu’on avait désigné sous le nom de Sainte-Marie. Les mères Anne Le Cointre de Saint-Bernard (28 ans), Marie Forestier de Saint-Bonaventure-de-Jésus (22 ans) et Marie Guenet de Saint-Ignace (29 ans), qui deviendra la première supérieure de l’Hôtel-Dieu de Québec, quittent familles et amis, et leur monastère de Dieppe, établi depuis 1285, le 4 mai 1639, à destination de Québec. « De 1739 à 1779, Latour publia une imposante somme de sermons, panégyriques, discours dogmatiques, mémoires liturgiques, canoniques et autres. En quittant le Canada, il avait emporté une copie manuscrite des ‘Annales de l’Hôtel-Dieu de Québec’ rédigées par Jeanne-Françoise Juchereau de La Ferté, dite de Saint-Ignace. Il fit paraître ce texte en 1752 à Montauban, sous le titre d’’Histoire de l’Hôtel-Dieu de Québec’ ». « Dans ses notes bibliographiques touchant les sources de sa propre « Histoire de l’Hôtel-Dieu de Québec », Montréal, éd. C. O. Beauchemin & Fils, tome 4, p. 11, l’historien Henri-Raymond Casgrain écrit à propos de l’« Histoire de l'Hotel-Dieu de Québec », par la mère Juchereau de Saint-Ignace : « Cette Histoire a été écrite d'après les renseignements de la mère (Marie Guenet) de Saint-Ignace et rédigée par la mère de Sainte-Hélène. Une copie de ces annales ayant été fournie à M. de La Tour, doyen du chapitre de Québec, qui retourna en France en 1731, il prit sur lui de les faire imprimer à l'insu de la communauté de Québec. Cette impression se fit sans beaucoup de soin, et il s'est glissé dans l’ouvrage un grand nombre de fautes typographiques. Heureusement qu'on possède encore à l'Hôtel-Dieu la copie originale de la main même de la mère (Marie-André Duplessis) de Sainte-Hélène, et signée par la mère (Marie-André Duplessis) de Sainte-Hélène, et signée par la mère Jeanne-Françoise Juchereau de Saint-Ignace. CES ANNALES SONT UN DES DOCUMENTS HISTORIQUES LES PLUS PRECIEUX QUE L’ON POSSEDE. » Le texte de Jeanne-Françoise Jucheron a été réédité à Québec par Dom Albert Jamet en 1939 sous le titre de « Annales de l’Hôtel-Dieu de Québec, 1636-1716 » ». Précieux exemplaire de ce rare canadiana conservé dans sa reliure de l’époque.‎

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