Paris éditions de la revue moderne 1974 in8 broché 63pp petites rousseurs sur tranche, en haut de coiffe et au milieu du dos, sans gravité
Reference : Fc7
Très bon Signé par l'auteur
L'Encrivore
Dominique Delecroix - Isabelle Vasseur
7 rue Marie de Luxembourg
41100 Vendôme
France
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Paris, Audin, 1834. 455 g In-12, pleine basane, dos lisse orné, [3] ff., 692 pp.. Illustré de 5 planches hors-texte à l'aquatinte et de deux cartes lithographiées dépliantes de la vallée de Chamouni et de Thoune à Meirhingue. . (Catégories : Suisse, Voyages, )
Paris, J. Ferenczi & fils, Editeurs, 1928. 278 g In-12 broché, 258 pp., [2] ff.. Un des 70 exemplaires numérotés, sur papier pur fil Lafuma. Exemplaire en partie non coupé. Légers défauts sur la couverture. . (Catégories : Littérature, Pôles, )
Lille, Lefort, 1838. 50 g In-16 broché, couvertures imprimées, 108 pp., frontispice lithographié de Félix Robaut, de Douai.. Petit ouvrage peu courant. . (Catégories : Religion, )
Claude Sidoine Michel. Mis au Jour et Dirigé par Le Sr Desnos Ingénieur Géographe
Reference : 81119
(1765)
Paris, Rue Saint-Jacques à L'Enseigne du Globe, 1765, in-4 (21x27,5cm), reliure tardive (19e s.) en demi-chagrin bleu nuit à dos long, titre et filets à l'or, plats papier marbré oeil de chat, Contient 19 cartes montées sur onglets, certaines dépliantes : une Carte Générale de France, IIe Feuille: Route de Paris à Rennes. IIIe F. Route de Paris à Bordeaux et Toulouse. IVe F. Route de la Diligence de Lion. Ve F. Le Carosse de Strasbourg. VIe F. Routes de Champagne, Lorraine, Franche-Comté, partie de la Bourgogne et de l'Alsace. VIIe F. Troisième Route de Paris à Strasbourg. VIIIe F. 3e Route de Paris à Strasbourg. IXe F. Grande Route des Prov. de Picardie, de Thiérache, d'Artois, de Hainaut, de la Flandre et des Pays-Bas. Xe F. Route des Provinces de Normandie, Boulonois, partie de la Flandres et Picardie, et Route de Paris à Londres. XIe F. Détail de la première Route d'Amsterdam à Marseille. XIIe F. suite Route Amst. à Mars. XIIIe F. Grande Route de Strasbourg à Wienne. XIVe F. Carte de Bretagne. XVe F. Routes et Chemins des Communications, compris entre les 4 grandes routes de Paris à Nantes et Rennes. XVIe F. Carte de Gacogne. XVIIe F. Qui donne les Routes et Chemins, tant Royaux que Particuliers, compris entre les deux grandes Routes de Paris à Toulouse. XVIIIe F. Qui donne les continuations des Routes Orientales et Méridionales des Grandes Routes de Paris à Marseille. Suit : un Prospectus du Guide des Voyageurs (1ff), un Catalogue Alphabétique des Routes Royales et Particulières (3ff), un Catalogue alphabétique du Supplément des 1380 Villes et Routes de France (4ff). MANQUE la Première Feuille, représentant Paris et les villages de la Banlieue.
Toutes les routes, villes, les fleuves et les côtes ont été réhaussés à la main à l'aquarelle rouge, verte et bleue. Perforation de la 6e carte à la fin de l'ouvrage, n'altérant aucunement la lecture. Légère mouillure dans le Cat. Alphab. du Supplément. Cartes en bel état de fraîcheur. Rare édition originale de cet atlas. Cet Indicateur fidèle ou Guide du voyageur, véritable succès de librairie, offre un regard attrayant sur la France du XVIIIe siècle. Ses routes sont organisées ; le pays est administré. Les grands travaux de construction d’un réseau routier moderne, lancés par Denis-Charles Trudaine (1703-1769) qui créa le corps des Ponts et Chaussées en 1747, ont ici porté leur fruit.Ce livre pouvait se vivre selon de multiples usages énoncés dans le Prospectus relié à la fin de l’ouvrage. Cinq prix différents sont énoncés. Le plus cher, “15 livres” (somme importante pour l’époque) concerne les exemplaires “Grand in-4° ; relié en veau”. On rencontre d’ailleurs très rarement ces Indicateurs reliés en maroquin. Les moins chers se trouvent en feuilles ou “broché d’une manière commode & portative, pour être mis dans la poche”. Le démembrement du livre était possible dès sa commande. Le voyageur pouvait acheter cet atlas “en feuilles” pour “aisément en enfermer une dans un Porte-feuille, & la consulter au besoin”.
Payot, 1946, in-8°, 302 pp, avec 90 dessins de l'auteur, broché, couv. illustrée, pt mque au dos, sinon bon état (Bibliothèque historique)
Les portes de la Méditerranée - La route du Cap - Les aires de navigation dans l'Antiquité - Les navires occidentaux et orientaux de la route des Indes - L'interpénétration des formes de bateaux et des techniques de construction navale. — "L'auteur, adepte de la voile, des constructions navales et de l'amiral Paris, a passé, comme magistrat dans l'une ou l'autre de nos colonies, beaucoup de temps à observer les bateaux exotiques. A ce travail de première main sur le terrain mouvant de la mer, il joint une solide connaissance des textes et des représentations figurées de l'Antiquité. Le résultat consiste en une précieuse contribution à cette science encore neuve qu'est l'ethnographie navale..." (Jean-Paul Faivre, Journal de la Société des Océanistes, 1947) — "La méthode de l'ouvrage que M. Poujade vient de publier sur la Route des Indes et ses navires est originale ; c'est, en effet, une étude d'« ethnographie navale » : pour saisir l'origine et l'évolution des navires, de leurs formes, de la technique de leur construction, de leurs gréements, M. Poujade ne se contente pas de l'étude des documents anciens, à laquelle se limitent les archéologues ; il complète et éclaire cette analyse par l'étude des types de navires actuels, dont certains, dans des pays de techniques stables, comme ceux de l'Extrême-Orient, représentent la survivance de modèles extrêmement anciens. Grâce à une connaissance directe des navires chinois et indochinois, l'auteur peut ainsi se livrer à des rapprochements ingénieux, et il est certain que ses hypothèses sur les navires de l'antiquité méritent une attention sérieuse. L'objet de la discipline pratiquée par M. Poujade est en premier lieu de déterminer des « aires ethnographiques », caractérisées par certains types de coques et de gréements. Il en distingue quatre principales : atlantico-nordique, pacifique, chinoise, et celle « de la route des Indes », longue bande s'étendant de Gibraltar au Japon et à Célébès ; il se propose dans son livre d'en démontrer l'unité et d'en indiquer les principaux caractères. (...) Ce travail d'un technicien, marin et ethnologue, ne manque donc pas d'intérêt pour l'historien." (François Crouzet, Revue Historique, 1947) — "Il est difficile de rendre compte, en une brève analyse, d’un livre aussi riche à tous égards, aussi bien du point de vue technique que du point de vue de l’histoire maritime et générale. En étudiant, au cours des siècles, la route des Indes et ses navires, c’est en effet toute l’histoire du bateau de haute mer que l’éminent membre de l’Académie de Marine et Attaché au Musée national d’histoire naturelle (Musée de l’homme) a réussi à résumer. L’étude minutieuse des techniques navales a, en effet, amené l’auteur à des observations ethnographiques d’une grande valeur archéologique. Il a pu préciser, par l’étude historique du commerce et des relations maritimes depuis l’Antiquité, exposée dans les premiers chapitres, comment les peuples des mers des Indes sont entrés en contact avec les marins de la Méditerranée, d’une part, et avec l’Extrême-Orient, de l’autre, ce qui lui a donné la faculté de préciser avec une exactitude relative quelle grande aire de navigation représente cette route maritime opposée aux autres aires de navigation qui sont celles de l’Atlantique Nord ou des Vikings, l’aire chinoise ou aire du Pacifique, enfin, l’aire arctique. De cette conclusion, fondée sur une série d’analyses souvent minutieuses, et passionnantes, il résulte que, sur la route des Indes, depuis la plus haute Antiquité jusqu’à l’époque précédent immédiatement l’actuelle, les navires de mer, qu’ils soient égéens, phéniciens, arabes ou japonais, ont un mât robuste, gros à la base, dépourvu de haubans, qui arbore une voile carrée. Celle-ci s’est conservée aux extrêmes limites de la route des Indes. Les marins qui parcourent cette dernière depuis la haute Antiquité, se sont heurtés à trois autres familles de marins auxquelles ils ne se sont pas mêlés : les Européens du Nord, les Chinois, les Océaniens. Les marins européens du Nord semblent procéder de la tradition des Vikings. La construction navale moderne paraît descendre en ligne directe de cette dernière. Les Chinois forment un monde maritime homogène autour duquel les marins de la route des Indes ont évolué. Les Océaniens, découverts bien tard, ont construit des radeaux et des pirogues munis de balanciers doubles. Par conséquent, l’unité de la culture matérielle navale tout au long de la route des Indes, ne saurait plus être discutée. On voit l’intérêt d’un pareil livre ; il touche à tous les grands problèmes relatifs à la technique et à la politique générale de l’Humanité..." (Edmond Delage, Revue Défense Nationale, 1946)