Paris Pensée Moderne 1961 217 pages - cartonnage editeur avec jaquette - photographies hors texte - quelques manques a la jaquette - etat satisfaisant
Reference : 81Cz
Bon Jaquette en état satisfaisant
L'Encrivore
Dominique Delecroix - Isabelle Vasseur
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41100 Vendôme
France
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Éditions de la Pensée Moderne, 1961, in-8°, 217 pp, recueilli par Paul Vincent, 12 pl. de photos hors texte, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
Recueillis par Paul Vincent, les mémoires de l'auteur, né au Japon de père tchécoslovaque et de mère japonaise. Après avoir mené une vie aventureuse en Amérique du Sud, il s'engage à la Légion étrangère en 1939, combat en 39-40 puis est réformé. Il rejoint alors Londres, participe à la Libération puis s'installe en Tchécoslovaquie où des démêlés avec les communistes le poussent à s'engager à nouveau à la Légion, avec laquelle il participe aux Guerres d'Indochine, de Corée et d'Algérie. — "Charles Hora, l'auteur – et le héros – de ce récit a connu très tôt le « baroud ». Dès l'âge de huit ans, il était fait prisonnier par les Chinois à Shanghaï pendant la « guerre des Concessions ». II devenait d'ailleurs peu après le plus jeune évadé du monde, puisqu'il leur faussait compagnie et regagnait sans encombres la demeure de ses parents. Avant d'entrer à la Légion, il connut une vie aventureuse en Amérique du Sud. Puis ce fut la guerre de 1939-1940, qu'il fit en tant que légionnaire, le retour en Tchécoslovaquie à la Libération. Libération si l'on veut, dit Charles Hora, car il y connut de nombreux ennuis avec les communistes. II réussit à leur fausser compagnie et s'engage, pour longtemps cette fois-ci, à la Légion. II est de tous les coups durs : Indochine, Corée, Afrique du Nord. II « fait » du renseignement, de la lutte anti-terroriste, affronte les patrouilles chinoises en compagnie de son chien Dan. Entré deuxième classe à la Légion, sorti Commandant, Charles Hora est une sorte de Du Guesclin sympathique. Quand on lui parle du titre de cet ouvrage, en lui demandant : « Pourquoi 80 Barouds ? » il répond, avec une pointe d'accent tchèque : – Parce que j'ai dû en oublier..."