Paris Grasset 1968 In8 - broché - non coupé - 297 pages - Édition originale sur Alfa , un des seul 28 exemplaires - Envoi autographe signé de A. Guehenno à Françoise Verny célèbre éditrice . L'épreuve raconte les faits de résistance de la jeune Annie Guéhenno (née Anne Marie Rospabé 1916/2006 ) qui épousa l'écrivain Jean Guehenno . Rare et précieux exemplaire .
Reference : 57Bl
Bon Dédicacé par l'auteur
L'Encrivore
Dominique Delecroix - Isabelle Vasseur
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France
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Bureaux de la revue. Novembre 1982. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 184 pages.. . . . Classification Dewey : 530-Physique
Sommaire : Baccalauréats : Série F2 : épreuve : électronique, schéma et technologie, mesures et essais, Série F3 : épreuve : electrotechnique, mesures et essais, Série F5 : épreuve : physique, électricité, concours général, Série F6 : épreuve : physique et mathématiques, chimie, techniques du laboratoire de chimie Classification Dewey : 530-Physique
Bureaux de la revue. Octobre 1981. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 184 pages.. . . . Classification Dewey : 530-Physique
Sommaire : Baccalauréat : Série F2 : Epreuve : Electornique, Série F3 : épreuvre : electrotechnique, Série F5 : épreuve : physique, mécanique, optique, électricité, Série F6 : épreuve : chimie, technologie et schéma, Analyse et physique, préparation et montage Classification Dewey : 530-Physique
Paris Senefelder 1826 310 x 435 mm, lithographie sur feuille de papier fort non rogné
UNE ÉPREUVE SIGNÉE PAR L'INVENTEUR DE LA LITHOGRAPHIE. Épreuve lithographique issue de l'imprimerie d'Aloys Senefelder, gravée par Eugène Forest d'après Palmérus (non-identifié). Elle porte en pied une mention manuscrite autographe signée à l'encre noire : « je certifie l'édition en entière pareille à la présente épreuve. / Paris ce 17 avril 1826 / Senefelder ». Scène paysanne et animalière dans le goût de Paulus Potter, l'estampe représente au premier plan deux vaches et au second plan un couple de paysans. Pour s'extraire de la misère, le comédien munichois Aloys Senefelder envisage d'imprimer et de vendre ses propres oeuvres dramatiques. Les fonds manquent toutefois pour acquérir presse, caractères et papiers : déterminé à mettre au point un procédé plus économique, Senefelder développe en 1796 une sorte de proto-lithographie permettant de monter une pierre en relief par un procédé chimique. Le compositeur Franz Gleissner est aussitôt séduit par ses essais sur partitions : ils s'associent pour fonder une maison d'impression d'oeuvres musicales. Ce procédé proto-lithographique, peu coûteux, demande toutefois le concours d'ouvriers spécialisés traçant le motif à l'envers directement sur la pierre. Senefelder ne tarde pas à le perfectionner : dès 1798, il découvre l'autographie permettant de transférer un dessin sur la pierre et en conséquence la lithographie « chimique » que nous connaissons aujourd'hui. Si l'invention est un succès, Senefelder souffre de la concurrence de ses anciens ouvriers, élèves et associés. Il tente de s'établir à Vienne et à Munich puis, en 1818, se tourne vers Paris, où seuls Godefroi Englemann et le comte de Lasteyrie l'avaient précédé. De nouvelles difficultés l'attendent cependant : il met plus d'un an à obtenir son brevet, et sa « papyrographie » , nouveau procédé utilisant le carton-pierre, ne rencontre aucun succès. Déçu, Senefelder regagne Munich en 1824, laissant son neveu et élève Édouard Knecht aux commandes de l'imprimerie. Ce-dernier témoigne : « Senefelder n'était pas l'homme qu'il fallait pour diriger un établissement. Le travail de l'atelier, les études et les recherches poussées jusqu'à un certain point, étaient de son ressort ; mais le développement et la perfection de l'art, et surtout la direction des ouvriers, étaient au-dessus de ses forces. Tout était en désordre dans un atelier sous sa direction : il ne savait ni gouverner ni compter, et personne n'était si naïvement étonné que cet homme si distingué sous d'autres rapports, lorsqu'on lui démontrait, à la fin du mois, qu'il avait plus dépensé qu'il n'avait eu de gain. » (Charles Lorilleux. Traité de lithographie, histoire - théorie - pratique. 1889) Bien que l'imprimerie demeure au nom de Senefelder, détenteur du brevet, les sources biographiques supposent qu'il n'y joue plus aucun rôle à compter de son départ pour Munich. La présente épreuve démontre cependant sa participation au moins occasionnelle aux activités éditoriales. Une lithographie conservée au Musée départemental du château de Sceaux porte par ailleurs la même mention manuscrite, celle-là datée du 11 août 1828. Malgré nos recherches, nous n'avons trouvé aucun exemplaire de cette lithographie au catalogue des collections publiques. Quelques pales rousseurs et taches.
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Édition originale rare de cet essai anticlérical illustré de 26 planches. A Paris, l’An Ier de la République Française, 1792. Imprimé l’An II, 1793. In-8 de xxiv pp., 254 pp., 26 estampes en 55 planches (25 en couleurs, 30 en noir) dont 23 en double épreuve, 3 en triple épreuve et 2 sur papier bleu. Maroquin rouge, triple filet doré sur les plats, dos lisse orné, coupes décorées. Reliure du XIXe siècle. 219 x 130 mm.
Édition originale rare de cet essai anticlérical illustré de 26 planches. Cohen 111 ; Brunet IV, 1070-1071. Exemplaire du tirage de tête sur papier vélin. « Tome I (seul paru) : XII-254 pp., plus 26 planches dessinées par Bar et gravées par lui en manière de lavis » (Cohen, 111). « C’est le début d’une réduction du grand ouvrage décrit ci-dessus. Rabelli n’est que l’anagramme italianisé de Bar ». (Cohen, qui estime les exemplaires de base de 80 à 100 F OR, ce qui situe cet illustré parmi les livres significatifs du XVIIIe siècle). « Ces planches ont été gravées par Bar en manière de lavis et coloriées par lui à la main. Pendant la Révolution, par mesure de prudence, Bar changea son nom en celui de Rabelli et appela son livre les Mascarades monastiques. Il publia du reste sous ce titre une édition réduite qu’on trouvera décrite ici même. » « Adresse en dédicace a la République Française, Par un Français Républicain. C’est à vous Français régénérés, mes compatriotes, que je fais l’hommage de mon travail : s'il peut vous être utile, et vous délasser de vos occupations, j’aurai atteint le but que je me propose. J’invoque la vérité, en vous faisant passer en revue toutes ces institutions bizarres que la cupidité, dirigée par l’ignorance, a décorées du masque de la piété ; mais les tems des prestiges sont écoulés : vous verrez la chose sans son masque ; elle vous paraîtra dans toute sa difformité. Vous verrez, quelle était la piété qui logeait dans les cloîtres, quand les Français les ont détruits. Vous aurez aussi comment les moines ont et peuvent avoir des mœurs, quand vous aurez bien réfléchi sur la nature de leurs devoirs, et sur les devoirs de la nature. « Il est des momens de faiblesse Où la nature peut tomber ; On court risque de succomber, Quand on est obligé de combattre sans cesse. » Nouveau choix de vers. Vous ne pourrez plus être trompés par ces hommes hypocrites, dont le dehors séduit quand vous ne jugerez les individus que sur leurs actions : c’est-là, la vraie pierre de touche des hommes, comme le fruit est celle des arbres. Surtout n’oubliez pas, qu'il faut bien longtems à une âme vraiment vertueuse, pour prendre la teinture du vice, et que rarement le vice, reprend réellement le lustre de la vertu. Le moine est né pour vivre des abus : Détruisez-les, le moine ne vit plus. La révolution m’a donné la liberté d’écrire la vérité sur une classe qui avait toujours su la chasser loin du vulgaire ; elle me rendra plus sévère à moi-même, que ne le furent jamais les censeurs du despotisme, mais je n’en serai pas pour cela plus esclave des préjugés en découvrant les défauts d'un institut, ou les vices des moines, je ne ferai rien perdre à l'ordre, s'il est estimable. Je ferai connaître également le vice et la vertu : la même main qui déchire le masque à l'hypocrite, lèvera aussi le voile épais dont la modeste vertu se couvre. Nulle passion ne me fera jamais laisser en arrière la vérité, ni l’affubler d’habits lugubres, je ne sais pas la déguiser, et si j'avais quelques ornemens à lui donner, je préférerais à tout autre les attributs de la gaité franche, parce que c'est ordinairement le moyen qui, par l'agréable, conduit à l'utile. L'amitié même, ne me fera pas déguiser la vérité. Amicus plato sed magis amica veritas. L'an premier de la République Française. Rabelli » Cohen ne décrit qu’un seul exemplaire orné de 26 planches en couleurs sans préciser de tirage : « La Bedoyère, aujourd’hui à la B.n.F. ». « Charles Renouvier nous apprend que l'auteur, surpris par la Révolution pendant la composition de son recueil de tous les costumes religieux et militaires, accommoda une partie à l'usage de la Révolution, sous le titre de "Mascarades monastiques et religieuses", 1793. In-8 avec des figures au lavis qu'il a signées Rabelli (anagramme) ». Exemplaire remarquable, non rogné, orné de 55 estampes - 25 coloriées à la main, 30 en noir, dont 3 en triple épreuves, 23 en double épreuve, 2 estampes sont gravées sur papier bleu. Porte le fameux ex-libris bleu, n212, au chiffre LM.
Londres, Nations Unies 1952 In-8 21x 16,5 cm. Reliure demi-chagrin vert foncé à coins, dos à nerfs orné d’un petit fer doré, pagination multiple, 1000 pp. Exemplaire en bon état.
Bon état d’occasion