‎SARTRE, Jean-Paul‎
‎L'ENGRENAGE.‎

‎Ciné-miroir n° 35 - Geneviève Félix, la gracieuse artiste qui joue le role de Geneviève dans L'engrenage, film de M. Kéroul, édié par Les Grandes productions cinématographiques, Le roi de Paris, L'engrenage, Arlette Marchal, L'araignée et la rose, Malcolm‎

‎Bureau du journal. 1er octobre 1923. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 289 à 304. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎

‎Sommaire : Geneviève Félix, la gracieuse artiste qui joue le role de Geneviève dans L'engrenage, film de M. Kéroul, édié par Les Grandes productions cinématographiques, Le roi de Paris, L'engrenage, Arlette Marchal, L'araignée et la rose, Malcolm Tod tourne en France, Le Festin du scarabée, Calvaire d'amour, Un comique qui se transforme ou Levesque devient coquet Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎

‎"Lot de 6 ouvrages de la collection ""Engrenage"" (Fleuve Noir)"‎

‎Editions Fleuve noir Engrenage Dos carré collé "Six volumes in-12 (11 x 17,5 cm), dos carré collé, lot de 6 ouvrages de la collection ""Engrenage"" des éditions Fleuve Noir : n°34 : ""Quai de la fosse"" par Hervé Jaouen (1981, 183 pp.) // n°35 : ""L'été en pente douce"" par Pierre Pelot (1981, 188 pp.) // n°40 : ""La Mort dans une voiture solitaire"" par Hugues Pagan (Spécial Double, 1982, 317 pp.) // n°61 : ""Marée basse"" par Hervé Jaouen (1983, 214 pp.) // n°81 : ""Le Syndrome du P.83"" (1983, 185 pp.) // n°91 : Le Trompe-la-mort (1984, 189 pp.) ; frottements aux dos (insolés pour certains), marques d'usage et petites pliures sur les plats, quelques rousseurs aux tranches, intérieur bruni, assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."‎

‎"Lot de 8 ouvrages de la collection ""Engrenage International"" (Fleuve Noir)"‎

‎Editions Fleuve noir Engrenage International Dos carré collé "Huit volumes in-12 (11 x 17,5 cm), dos carré collé, lot de 8 ouvrages de la collection ""Engrenage International"" des éditions Fleuve Noir : n°64 : ""L'Eventreur"" par Robert Bloch (1983, 188 pp.) // n°75 : ""Le Massacre du Maine"" par Janwillem van de Wetering (Spécial Double, 1983, 311 pp.) // n°80 : ""La Nuit hurle"" par Bill Pronzini et Barry N. Malzberg (Spécial Double, 1983, 316 pp.) // n°92 : ""Mort de quelqu'un"" par Mildred Davis (1984, 218 pp.) // n°101 : ""Les Alcooliques"" par Jim Thompson (1984, 185 pp.) // n°107 : ""Les Papiers de Tony Veitch"" par William McIlvanney (Spécial Double, 1984, 340 pp.) // n°117 : ""Mort d'un colporteur"" par Janwillem de Wetering (Spécial Double, 1985, 250 pp.) // n°129 : ""Mercredi des cendres"" par Bill Pronzini (Spécial Double, 1985, 279 pp.) ; frottements aux dos insolés et aux mors, marques d'usage et de frottements sur les plats, intérieur bruni, assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."‎

‎L'ENGRENAGE. ‎

‎, Sarat Bernardt - theatre municipal populaire de la ville , s.d.; in-8, 80 pp., broché, couverture illustr. Bon état bien complet de son microsillon - le présent texte de l'engrenage est une adaptation scénique de J. Mercure (3eme création du théâtre de la ville.‎

‎Bon état bien complet de son microsillon - le présent texte de l'engrenage est une adaptation scénique de J. Mercure (3eme création du théâtre de la ville.‎

‎L'Engrenage‎

‎ Paris, Nagel, (novembre) 1948. 1 vol. (130 x 210 mm) de 221 p. et [1] f. Broché, à toutes marges, chemise et étui. Edition originale. Un des 20 premiers exemplaires sur vergé d'Arches (n° 11). ‎

‎Ce texte témoigne de l'expérience de Sartre dans le monde du cinéma : il est alors scénariste pour la maison de production Pathé. Le scénario ne sera jamais adapté, Sartre revenant rapidement à l'écriture, mais pas complètement abandonné : ce sera une pièce, finalement, créée au théâtre de la Ville le 18 février 1969, dans une mise en scène de Jean Mercure avec Raymond Pellegrin. « Dans le film que j’imaginais, non seulement la chronologie était bouleversée, mais le même personnage, Hélène, apparaissait sous des dehors tout à fait différents selon le point de vue de qui parlait d’elle (…) Le scénario de L’Engrenage a été écrit en 1946. Ce qui m’amusait, au départ, c’était de transposer à l’écran une technique que les romanciers anglo-saxons utilisaient couramment avant la guerre : la pluralité des points de vue. L’idée était dans l’air… Dans le film que j’imaginais, non seulement la chronologie était bouleversée, mais le même personnage, Hélène, apparaissait sous des dehors tout à fait différents selon le point de vue de qui parlait de lui… J’ai pensé à… un petit pays riche en pétrole, par exemple, qui vivrait totalement dans la dépendance de l’étranger. J’ai imaginé le cas d’un homme qui arriverait au pouvoir avec des intentions révolutionnaires… En choisissant un personnage parfaitement honnête et sincère, qui croit vraiment au socialisme, j’ai voulu montrer que ce n’est pas là une question d’homme ou de caractère : c’est le pouvoir lui-même qui est corrompu. » ‎