Ed. Gallimard 1953 277 pages. Trad. et prés. de G. Solpray. Ill. de photographies. in-8 broché
Reference : 1133
Ma Main amie
Mme Isabelle Lefebvre
5 Montée du Tricot
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France
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Le Journal des Modes de l’Empire finement coloriées à l’époque à la main, en très fraiches reliures de l’époque. Francfort-sur-le-Mein, An XII [1803] à 1813. 10 volumes in-8 regroupant 864 planches au total : -An XII : 85 pl. numérotées de 500 à 584. -An XIII : 84 pl. numérotées de 585 à 668. Pte. tache à la pl. 656. -An XIV-1806 : 107 pl. numérotées de 669 à 776. -1807 : 84 pl. numérotées de 777 à 860, ptes. taches aux pl. 808, 839. -1808 : 84 pl. numérotées de 861 à 944. -1809 : 84 pl. numérotées de 945 à 1028, qq. rousseurs aux pl. 945, 1004, 1028. -1810 : 84 pl. numérotées de 1029 à 1112. -1811 : 84 pl. numérotées de 1113 à 1196. Pte. tache à la pl. 1185. -1812 : 84 pl. numérotées de 1197 à 1280. -1813 : 84 pl. numérotées de 1281 à 1364. Pte. tache pl. 1364. Exemplaire relié à l’époque sans le texte explicatif. Quelques visages dessinés au crayon sur les planches de chapeaux. Reliés en demi-maroquin vert à grain long à coins, dos lisses richement ornés, pièces de titre de maroquin rouge. Reliure de l’époque. 202 x 124 mm.
Les années 1803 à 1813 du Journal des dames et des modes inspiré de la Revue de La Mésangère. Colas 1565 ; Lipperheide, zb 15 ; Hiler, 486. « Commencé en juin 1797, ce journal a été continué sans interruption jusqu’à la fin de 1829. Il en paraissait tous les cinq jours un numéro orné d’une jolie figure coloriée représentant un costume, et le numéro du 15 de chaque mois renfermait même deux planches, ce qui faisait 72 numéros avec 84 planches pour l’année entière, dont le prix était de 35 fr. » (Brunet, III, 795). « Cette publication, format in-octavo, était accompagnée de gravures de mode intitulées ‘Costumes parisiens’. On se contenterait des gravures, pour le cas où le texte manquerait ». (Bulletin du bouquiniste, année 1857). Ce journal parut sans discontinuer de 1797 à 1829. C’est l'une des premières revues de mode illustrées françaises. Son modèle, la revue La Mésangère vit le jour à Paris le 20 mars 1797, fondé par le libraire Séllèque et Madame Clément, avec La Mésangère comme collaborateur pour les gravures. Ce périodique a paru sous plusieurs noms : Journal des dames, Costumes parisiens, Journal des modes ou Journal des dames, Journal de la Mésangère et enfin Gazette des salons pour ses dernières parutions. Le retour à la liberté vestimentaire s'accompagna en 1797 de l'apparition de revues spécialisées : Tableau général du Goût, des Modes et Costumes de Paris, de Francesco Bonafide, et Le Journal des Dames et des modes, lancé par le libraire Jean-Baptiste Sellèque que rejoignit l'abbé La Mésangère. Ce dernier touchait à tous les aspects de la revue, dessinant, composant les légendes des illustrations, rédigeant des articles. Il courait Paris à l'affût de nouveautés dont il faisait ensuite le blâme ou l'éloge dans le Journal des dames. En effet, la royauté disparue, ce n'était plus la cour qui faisait ou défaisait la mode, mais les endroits courus de la capitale, promenades, théâtres, bals, où l'on s'affichait dans des tenues nouvelles et audacieuses élaborées par les couturiers, couturières et « modistes ». Le journal connut son apogée sous le consulat et l'empire. Entouré d'une cour somptueuse, qui aspirait à rivaliser avec celle de l'ancien régime mais manquait parfois d'assurance et de discernement, Napoléon le recommandait comme guide du bon goût. Des actrices, comme la toute jeune Mademoiselle George, mettaient en valeur les créations des modistes que consultait La Mésangère. Les dames de la cour adoptaient ces nouveaux modèles que les autres femmes copiaient à leur tour. Le goût des modes à l'antique, auxquelles David avait contribué, avait défrayé la chronique par ses excès. Un nouveau public de lecteurs, notamment des femmes, était avide de nouveautés et de conseils. Le Journal des Dames lui offrait cette information, tout en se faisant la vitrine de l'industrie textile et du savoir-faire français. La revue était consacrée aux modes féminines mais aussi masculines. Elle portait un intérêt tout particulier aux accessoires, notamment les chapeaux et les écharpes. Elle s'intéressait aux chaussures et à la façon de les entretenir. Les coupes de cheveux à la mode y étaient aussi répertoriées Superbe exemplaire, à l’état neuf, regroupant en 10 volumes la totalité des 864 estampes de onze années de la revue (1803 à 1813), présentant les costumes aquarellés à l’époque à la main, conservé dans ses reliures fraiches et chatoyantes du temps. Les exemplaires du Journal des dames et des modes regroupant plus de dix années de la revue complets de l’ensemble des estampes et uniformément reliés à l’époque sont de la plus grande rareté. L’ensemble forme un panorama très raffiné des modes féminines du début de l’empire.
Reference : LCS-17479
Superbe exemplaire, à l’état neuf, regroupant en 10 volumes la totalité des 864 estampes de onze années de la revue (1803 à 1813), présentant les costumes aquarellés à l’époque à la main, conservé dans ses reliures fraiches et chatoyantes du temps. Francfort-sur-le-Mein, An XII [1803] à 1813.10 volumes in-8 regroupant 864 planches au total :-An XII : 85 pl. numérotées de 500 à 584.-An XIII : 84 pl. numérotées de 585 à 668. Pte. tache à la pl. 656.-An XIV-1806 : 107 pl. numérotées de 669 à 776.-1807 : 84 pl. numérotées de 777 à 860, ptes. taches aux pl. 808, 839.-1808 : 84 pl. numérotées de 861 à 944.-1809 : 84 pl. numérotées de 945 à 1028, qq. rousseurs aux pl. 945, 1004, 1028.-1810 : 84 pl. numérotées de 1029 à 1112.-1811 : 84 pl. numérotées de 1113 à 1196. Pte. tache à la pl. 1185.-1812 : 84 pl. numérotées de 1197 à 1280.-1813 : 84 pl. numérotées de 1281 à 1364. Pte. tache pl. 1364.Exemplaire relié à l’époque sans le texte explicatif. Qq visages dessinés au crayon sur les planches de chapeaux.Reliés en demi-maroquin vert à grain long à coins, dos lisses richement ornés, pièces de titre de maroquin rouge. Reliure de l’époque.202 x 124 mm.
Les années 1803 à 1813 du Journal des dames et des modes inspiré de la Revue de La Mésangère.Colas 1565 ; Lipperheide, zb 15 ; Hiler, 486.« Commencé en juin 1797, ce journal a été continué sans interruption jusqu’à la fin de 1829. Il en paraissait tous les cinq jours un numéro orné d’une jolie figure coloriée représentant un costume, et le numéro du 15 de chaque mois renfermait même deux planches, ce qui faisait 72 numéros avec 84 planches pour l’année entière, dont le prix était de 35 fr. » (Brunet, III, 795).« Cette publication, format in-octavo, était accompagnée de gravures de mode intitulées ‘Costumes parisiens’. On se contenterait des gravures, pour le cas où le texte manquerait ». (Bulletin du bouquiniste, année 1857).Ce journal parut sans discontinuer de 1797 à 1829. C’est l'une des premières revues de mode illustrées françaises.Son modèle, la revue La Mésangère vit le jour à Paris le 20 mars 1797, fondé par le libraire Séllèque et Madame Clément, avec La Mésangère comme collaborateur pour les gravures.Ce périodique a paru sous plusieurs noms : Journal des dames, Costumes parisiens, Journal des modes ou Journal des dames, Journal de la Mésangère et enfin Gazette des salons pour ses dernières parutions.Le retour à la liberté vestimentaire s'accompagna en 1797 de l'apparition de revues spécialisées : Tableau général du Goût, des Modes et Costumes de Paris, de Francesco Bonafide, et Le Journal des Dames et des modes, lancé par le libraire Jean-Baptiste Sellèque que rejoignit l'abbé La Mésangère. Ce dernier touchait à tous les aspects de la revue, dessinant, composant les légendes des illustrations, rédigeant des articles. Il courait Paris à l'affût de nouveautés dont il faisait ensuite le blâme ou l'éloge dans le Journal des dames. En effet, la royauté disparue, ce n'était plus la cour qui faisait ou défaisait la mode, mais les endroits courus de la capitale, promenades, théâtres, bals, où l'on s'affichait dans des tenues nouvelles et audacieuses élaborées par les couturiers, couturières et « modistes ».Le journal connut son apogée sous le consulat et l'empire. Entouré d'une cour somptueuse, qui aspirait à rivaliser avec celle de l'ancien régime mais manquait parfois d'assurance et de discernement, Napoléon le recommandait comme guide du bon goût. Des actrices, comme la toute jeune Mademoiselle George mettaient en valeur les créations des modistes que consultait La Mésangère. Les dames de la cour adoptaient ces nouveaux modèles que les autres femmes copiaient à leur tour. Le goût des modes à l'antique, auxquelles David avait contribué, avait défrayé la chronique par ses excès. Un nouveau public de lecteurs, notamment des femmes, était avide de nouveautés et de conseils. Le Journal des Dames lui offrait cette information, tout en se faisant la vitrine de l'industrie textile et du savoir-faire français.La revue était consacrée aux modes féminines mais aussi masculines. Elle portait un intérêt tout particulier aux accessoires, notamment les chapeaux et les écharpes. Elle s'intéressait aux chaussures et à la façon de les entretenir. Les coupes de cheveux à la mode y étaient aussi répertoriéesSuperbe exemplaire, à l’état neuf, regroupant en 10 volumes la totalité des 864 estampes de onze années de la revue (1803 à 1813), présentant les costumes aquarellés à l’époque à la main, conservé dans ses reliures fraiches et chatoyantes du temps.Les exemplaires du Journal des dames et des modes regroupant plus de dix années de la revue complets de l’ensemble des estampes et uniformément reliés à l’époque sont de la plus grande rareté.L’ensemble forme un panorama très raffiné des modes féminines du début de l’empire.
A Paris, [Impr. de Bailleul ] chez Marchant, an IV- an V [1796-1797]. 5 volumes in-12 de [2]-XIV-543; XVI-464; XVI-476; XVI-463 et [2]-VIII-492 pages, demi-veau moucheté à coins, dos à 5 nerfs ornés de fleurons, filets, encadrements, titres, tomaison et date dorés, tranches rouges, "Bibliothèque de V. Perdonnet" doré aux premiers plats, ex-libris du même. Reliure à peine frottées, papier bleu des plats très légèrement tachés, très rares rousseurs.
Chaque volume débute par une importante table alphabétique des matières. Arrivé à Paris sous la Terreur de 1793, Bailleul installe son imprimerie au 22 de la rue Hautefeuille et fonde à la fin de 1794 le Journal du Commerce, feuille quotidienne patriotique d’obédience libérale. Son œuvre personnelle comprend plusieurs écrits économiques, dont deux périodiques : le Journal des fonctionnaires publics (1796) quotidien imprimé par Marchant, avec Gleizal et Le Vasseur comme rédacteurs; l’Année du négociant et du manufacturier (1803) dirigée en deux volumes avec son frère [Luc Marco, Genèse du risque éditorial, in Management & Avenir 2011/1 (n° 41)].
Précieux exemplaire conservé dans ses reliures uniformes de l’époque signées Grenet. Paris, chez Aubert, au grand magasin de caricatures et nouveautés lithographiques, 1830-1835. 10 volumes in-4 avec titres et tables et 530 planches. Rahir indique qu’il n’y a des titres et tables que pour les vol. 1 à 9. Qq. rousseurs et ff. brunis. Demi-basane rouge à coins, dos à nerfs orné de motifs dorés et estampés à froid, pièce de titre et de tomaison de veau noir. Étiquette du relieur Rue St-Honoré, n. 99, dans la cour, papetier-relieur. Reliure de l’époque signée Grenet. 333 x 253 mm.
[video width="1440" height="1080" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2023/09/Video-LDM-sept-II.mp4"][/video] Edition originale complète du plus important journal d’époque romantique. Morgand et Fatout 10885; Vicaire, Manuel de l’amateur, II, 46. «La Caricature est dans son ensemble un des ouvrages les plus intéressants de la période de 1830; c’est un recueil précieux de caricatures sur l’époque de Louis-Philippe. V. Hugo, Balzac, Louis Desnoyers et surtout Ch. Philipon en furent les principaux collaborateurs. Du côté des artistes, Daumier a fourni plus de 100 planches, Grandville 109, Henri Monnier 6, Raffet 14, Traviès 55, Philipon 10, etc.» écrit Carteret. Le premier numéro a paru le 4 novembre 1830, le dernier le 27 août 1835. La collection se compose de 251 numéros ayant chacun deux feuillets de texte imprimés sur papier jaune à deux colonnes, à l’exception des numéros 30 et 55 qui en ont trois; et d’une ou plusieurs lithographies, noires ou coloriées, imprimées sur papier vélin blanc. Les planches, numérotées de 1 à 524, sont au nombre de 530 portant, devant le numéro chiffré de la lithographie, la désignation: Planche ou numéro. Il y a des irrégularités dans le numérotage; enfin, des planches ne sont pas numérotées. Philipon, l’actif directeur de cette publication, était un militant dont l’ardeur combative ne se départait cependant point d’un réel souci de l’art. Désireux à la fois de frapper vivement l’esprit du public et d’éviter les rigueurs d’une censure impitoyable qui aurait diminué la portée de ses publications, il était appelé tantôt à stimuler le sens critique de ses collaborateurs, tantôt au contraire à le refréner. Cette alternative l’obligeait à de constantes modifications sous presse – ou même en cours de distribution – soit de dessins, soit de légendes, ou même de coloris. Ainsi s’expliquent les états différents d’une pierre lithographique, dont la recherche passionne maintenant les collectionneurs. Il paraissait un numéro par semaine et les numéros d’un semestre formaient un volume. L’ensemble est composé de 10 volumes; le tome I comprend les numéros 1 à 26, le tome II: 27 à 52, le tome III: 53 à 78, le tome IV: 79 à 103; le tome V: 104 à 129; le tome VI: 130 à 156; le tome VII: 157 à 181; le tome VIII: 182 à 208; le tome IX: 209 à 234; le tome X: 235 à 251. La Caricature cessa de paraitre en août 1835, victime d’une «loi qui rétablit la Censure». Chaque volume regroupe un semestre de livraison et contient ici le premier plat de la couverture générale et sa table des matières (10e volume sans la couverture). Précieux exemplaire de l’une des plus précieuses œuvres littéraires illustrées du XIXe siècle, complet des titres et tables et conservé dans ses reliures uniformes de l’époque signées Grenet. «Ces titres et tables sont fort rares» mentionne Carteret page 113. Provenance: cachet Timbre royal, Seine à l’encre noire.
Précieux exemplaire, l’un des 30 imprimés sur papier du Japon. Paris, Charpentier et Fasquelle, 1900. Grand in-8 de (4) pp., 519 pp., (1) p., (1) f.bl. Conservé tel que paru, broché dans les couvertures d’origine à l’imitation d’un cahier d’écolier, non rogné. 253 x 162 mm.
Edition originale du chef-d’œuvre d’Octave Mirbeau. Talvart, XV, pp. 253-254. Précieux exemplaire, l’un des 30 imprimés sur papier du japon, second papier après 20 exemplaires sur Chine. Celui-ci porte le n°30. «Ce livre de Mirbeau est un violent réquisitoire contre les maux dont souffre la société moderne. Il unit la satire des mœurs familiales à une assez trouble sensualité. Aussi la satire s’éclipse-t-elle par endroits, et l’on voit le «journal» se transformer, finalement, en une simple chronique scandaleuse.» (Dictionnaire des Œuvres, III, 854). Très bel exemplaire conservé tel que paru, broché dans les couvertures d’origine à l’imitation d’un cahier d’écolier.