2010 Paris, Métailié, 2010 14 x 21,5 cm, 209 pp Neuf car service de presse
Reference : 45804
Traduit du brésilien par Geneviève Leibrich.
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Ouest-France, 2005, 127 pages, Association des Amis de la Mère Poulard, in/8 broché. Photographies en couleurs de Bernard Enjolras.
"Dans les années 1880, la digue-route qui relie le Mont-Saint-Michel au continent n'existe pas et les voyageurs qui arrivent à pied ou à cheval sont tributaires des marées pour traverser la baie. Pour réconforter ses hôtes, Annette Poulard tient en permanence sa grande cheminée allumée et confectionne à la minute sa fameuse omelette qui fera par la suite sa renommée dans le monde entier. Les quelque sept cents recettes qu'elle met au point derrière ses fourneaux lui valent d'être surnommée la "Mère Poulard", titre honorifique qui distingue les femmes chefs de cuisine les plus talentueuses. Cet ouvrage présente un historique du Mont et montre comment les richesses de la baie ont fait l'originalité et l'authenticité de cette cuisine. La célèbre cuisinière nous est présentée, entourée des nombreux hommages qu'elles a reçus, qu'ils soient du monde politique, artistique ou culturel. Les recettes sont ensuite expliquées par saison, mettant en valeur ainsi le patrimoine maritime et agricole de la région qu'utilisa la Mère Poulard à son époque."
Paris, De l'Imprimerie de Monsieur, 1787. 32,5 x 50 cm. Planche originale en 2 gravures : Chapelle sépulchrale de Mohammed II. Chapelle sépulchrale de la Validé Sultane Gul Bahhar Khatunn Mère de Bayézid II, sur papier vergé. Dessin de C.N. Cochin Fils, gravure de P. Chenu et Delattre. POUR PLUS DE SECURITE, LA GRAVURE SERA EXPEDIEE EN TUBE.
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Edition du journal "La femme et l'enfant", Paris, 1931. In-8 (19 x 14 cm), reliure demi-basane marbrée brune, dos à nerfs à fleurons et titres dorés, couvertures et dos conservés, 12 planches hors-texte, 202 p., 5è édition. Exemplaire enrichi d'un envoi de l'auteur en page de garde.
Cet ouvrage contient tout ce qui les poètes, penseurs, peintres, savants et musiciens ont dit de leur mère (en positif...).
16/02/1869 TRÈS BEAU SONNET EMPREINT DE TENDRESSE FILIALE EN HOMMAGE À SA MÈRE ÉLISABETH-ZÉLIE DE BANVILLE :...Ma mère, pour fêter sous les cieux rajeunis, Le jour où tu naissais, je veux avec tendresse Faire parler encore la lyre enchanteresse Dans le triste silence où nos cœurs sont unis. Voici venir le temps des lilas et des nids : Déjà, comme une haleine errante et charmeresse, La brise du printemps suave nous caresse, Ma mère, et ce nest pas moi seul qui te bénis ! Car, du séjour lointain caché sous tant de voiles, Sitôt quavec la nuit seffacent les étoiles, Ceux qui sont dans les cieux nous regardent pleurer...Théodore de Banville qui vouait à sa mère une véritable adoration, lui rendit souvent hommage dans ses poésies. Le tout premier recueil de Banville, Les Cariatides, salué par Charles Baudelaire, souvre sur un poème dédié à sa mère : « Oh ma mère, ce sont nos mères dont les sourires triomphants, bercent nos premières chimères, dans nos premiers berceaux denfants... ». Dans son avant-propos à Roses de Noël (recueil entièrement consacré à sa mère et publié en 1878), Banville déclarait : « Les quelques poëmes qui suivent ne sont pas des œuvres d'art. Ces pages intimes, tant que ma si faible santé et les agitations de ma vie me l'ont permis, je les écrivais régulièrement pour mon adorée mère, lorsque revenaient le 16 février, jour anniversaire de sa naissance, et le 19 novembre, jour de sa fête, sainte Elisabeth. Parmi ces vers, destinés à elle seule, j'avais choisi déjà quelques odes qui ont trouvé place dans mes recueils. Les autres ne me paraissaient pas devoir être publiés, et je sais bien ce qui leur manque. Presque jamais on ne se montre bon ouvrier, lorsqu'on écrit sous l'impression d'un sentiment vrai, au moment même où on l'éprouve. Mais, en les donnant aujourd'hui au public, j'obéis à la volonté formellement exprimée de Celle qui ne sera jamais absente de moi et dont les yeux me voient. D'ailleurs, en y réfléchissant, j'ai pensé qu'elle a raison, comme toujours ; car le poëte qui veut souffrir, vivre avec la foule et partager avec elle les suprêmes espérances, n'a rien de caché pour elle, et doit toujours être prêt à montrer toute son âme. Paris, le 19 novembre 1878. Roses de Noël, A ma mère...). CE PRÉSENT POÈME SEMBLE INÉDIT.
Autrement - Directeur-rédacteur en chef : Henry Dougier - dirigé par Nicole Czechowski et Jean-Marc Terrasse
Reference : 3074
N° 90 de Mai 1987 - broché - 219 pages
bon état