‎HERMANN (Brigitte) ‎
‎Camarades‎

‎ 2009 Paris, Infolio, 2009, 20.5x14cm, 108 pp., livre neuf car service de presse ‎

Reference : 42612


‎. ‎

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Librairie Jousseaume
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‎Maurice THOREZ‎

Reference : 86520

(1963)

‎"Il est aussi réjouissant que vous et les camarades obteniez une aussi large collaboration avec des personnalités si nombreuses et si différentes du monde médical" Lettre autographe datée et signée félicitant son camarade le docteur Pierre Frumusan pour son activité‎

‎S. n. | Paris 19 Septembre 1963 | 13.50 x 21 cm | une page + une enveloppe‎


‎Lettre autographe signée de Maurice Thorez (20 lignes à l'encre bleue à en-tête du Parti Communiste Français) adressée à son médecin Pierre Frumusan. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Enveloppe jointe. Maurice Thorez remercie son camarade et docteur Pierre Frumensan pour l'envoi d'ouvrages les concernant et pour l'action bénéfique du pratricien : "On y voit que les Congrès Nationaux des Médecins des dispensaires et centres de santé tenus sous votre présidence, ont fait une oeuvre grandement utile." Le dirigeant communiste ne tarit pas d'éloges au sujet de l'activité abattue par son camarade : "Recevez mes voeux les plus chaleureux pour votre travail, et en particulier, pour le succès du prochain congrès auquel nous assurerons la présence de quelques uns des camarades de la direction et de nos élus." Le 23 janvier 1953, Pierre frumusan signa avec neuf autres médecins communistes:Yves Cachin,Jean Dalsace,Hector Descomps, Henri Chrétien dit Baussary,Paul Hertzog, H.F. Klotz,Victor Lafitte,Raymond LeibovicietJeanne Lévy, une déclaration contre «Un groupe de médecins terroristes» qui venait «d'être découverts en Union soviétique. [...] Ils ont été démasqués comme des agents de renseignements américains; certains d'entre eux avaient été recrutés par l'intermédiaire du Joint, organisation sioniste internationale.» Ce texte paraissait le 27 janvier dansl'Humanité. Le 6 mars 1953,l'Humanitéannonça «Staline est mort», puis le 6 avril 1953, en page une «Les médecins inculpés ont été arrêtés à tort. Ils sont pleinement réhabilités. Poursuite contre les responsables des irrégularités de l'instruction. Pierre Frumusan fut également l'un des 5 médecins qui soigna Maurice Thorez. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR250.00 (€250.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R300227514

(2005)

‎LE CAMARADE DE COMBAT N°446 JANV FEV MARS 2005 - Dimanche 26 juin 2005 prochain congrès régional des camarades de combat - le programme du congrès des camarades de combat à Lege Cap Ferret - Pierre Sombart notre président si dévoué est décédé etc.‎

‎LE CAMARADE DE COMBAT. 2005. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 pages.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria‎


‎Sommaire : Dimanche 26 juin 2005 prochain congrès régional des camarades de combat - le programme du congrès des camarades de combat à Lege Cap Ferret - Pierre Sombart notre président si dévoué est décédé le 20 décembre 2004 - Madame Jeanne Hazera a feté ses 100 ans - des camarades dans la peine - commémoration du 11 novembre 1918 - parcours d'un grand soldat à l'honneur etc. Classification Dewey : 355.021-Militaria‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste (en 1865), dessinateur‎

Reference : 26590

‎Mes camarades, mes chers camarades !..... je suis aussi républicain que vous…. j’aime la liberté….l’égalité…..je veux votre bien…votre bien à tous….le bien de tout le monde - Lithographie‎

‎ La Caricature politique, morale, littéraire et scénique (Titre de l'ensemble) Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 21 février 1833 (Planche n°249)- 1833- Lithographie- Dimensions - Oeuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 27.3cm- Dimensions - Image: Hauteur: 16.6cmx Largeur: 18cm - Titre en bas au centre : « Mes camarades, mes chers camarades !..... je suis aussi // républicain que vous…. j’aime la liberté….l’égalité…..je // veux votre bien…votre bien à tous….le bien de tout le monde. » ; indications : en ht à gche : La Caricature (Journal (N°120), en ht à dte : « Pl. 249. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur]‎


‎Louis-Philippe, identifiable à son toupet et à ses favoris, se présente de face, assis sur un coffre fermé. Son visage est caché par un masque qu’il tient de la main gche. Il prononce les mots contenus dans le titre en tendant le bras droit vers le spectateur. La pl. dénonce les idées républicaines du roi qui ne constituent qu’une façade pour s’adresser aux républicains, comme l’évoque ce masque. Sitôt le masque tombé, le roi révèle ses véritables idées, qui sont contraires aux intérêts du peuple. Ses vêtements évoquant l’ancien régime et le coffre sur lequel il est assis (évocation de la cupidité du roi) reflètent le soin qu’il porte en réalité à préserver les privilèges d’ancien régime. Sur le mur du fond se découpe son ombre, en forme de poire. La table des matières du 5e vol. de La Caricature précise le sujet de la pl. : « Harpagon assis sur sa cassette et le visage masqué ». La pl. assimile donc clairement le roi des Français au personnage cupide de la pièce de théâtre L’Avare de Molière. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR50.00 (€50.00 )

‎[Ecole Polytechnique]‎

Reference : 1313355

‎[Ecole Polytechnique] Revue Barbe 1936. Perspective carvalière, Revue à grand spectacle en 3 actes et 15 tableaux des camarades Goursaud et Pasquet, avec la collaboration des camarades Mermillod et Secouet.‎

‎Corbeil: Imprimerie Crété, 1936 in-4, 56 pages, illustrations, 2 ff. libre de publicité. Agrafé, couverture illustrée en couleurs. Programme de la fête de la Sainte-Barbe de l'Ecole Polytechnique.‎


‎[Ecole Polytechnique] Revue Barbe 1936. Perspective carvalière, Revue à grand spectacle en 3 actes et 15 tableaux des camarades Goursaud et Pasquet, avec la collaboration des camarades Mermillod et Secouet. (Corbeil: Imprimerie Crété, 1936). [M.C.: Ecole Polytechnique, programme de théâtre]‎

EUR25.00 (€25.00 )

‎[Imprimerie de J.-A. Quillot] - ‎ ‎Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD‎

Reference : 33946

(1848)

‎Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎


‎Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

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