2007 Paris, Editions Robert Laffont, 2007, 13x21, 216pp., couverture souple de couleur rose, très bon état, nouveauté rentrée 2007,
Reference : 32941
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LE PUY DOMINICAINES DE MERE AGNES 1986 ACTES DU COLLOQUE DU PUY 9 - 11 NOVEMBRE 1984 , 1 volume in-8 broché de XV + 246 pages , couverture illustrée , illustrations photographiques hors- texte , bon exemplaire . Bon Couverture souple
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LE PUY MARCHESSOU 1865 Une plaquette grand in-8 brochée de 42 pages , dans une reliure demi percaline bleue à coins , dos plat avec pièce de titre et titrage doré , tranches dorées , la reliure est légèrement frottée , bon exemplaire . Bon Couverture rigide
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LANGEAC MONASTERE SAINTE- CATHERINE 1963 1 volume petit in-8 carré broché de 195 pages , illustrations hors- texte , bon exemplaire . Bon Couverture souple
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PARIS JOUBERT , LIBRAIRE- EDITEUR 1848 Une plaquette grand in-8 brochée de 43 pages , quelques rousseurs et la couverture est légèrement salie , autrement bon exemplaire . Bon Couverture souple
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16/02/1869 TRÈS BEAU SONNET EMPREINT DE TENDRESSE FILIALE EN HOMMAGE À SA MÈRE ÉLISABETH-ZÉLIE DE BANVILLE :...Ma mère, pour fêter sous les cieux rajeunis, Le jour où tu naissais, je veux avec tendresse Faire parler encore la lyre enchanteresse Dans le triste silence où nos cœurs sont unis. Voici venir le temps des lilas et des nids : Déjà, comme une haleine errante et charmeresse, La brise du printemps suave nous caresse, Ma mère, et ce nest pas moi seul qui te bénis ! Car, du séjour lointain caché sous tant de voiles, Sitôt quavec la nuit seffacent les étoiles, Ceux qui sont dans les cieux nous regardent pleurer...Théodore de Banville qui vouait à sa mère une véritable adoration, lui rendit souvent hommage dans ses poésies. Le tout premier recueil de Banville, Les Cariatides, salué par Charles Baudelaire, souvre sur un poème dédié à sa mère : « Oh ma mère, ce sont nos mères dont les sourires triomphants, bercent nos premières chimères, dans nos premiers berceaux denfants... ». Dans son avant-propos à Roses de Noël (recueil entièrement consacré à sa mère et publié en 1878), Banville déclarait : « Les quelques poëmes qui suivent ne sont pas des œuvres d'art. Ces pages intimes, tant que ma si faible santé et les agitations de ma vie me l'ont permis, je les écrivais régulièrement pour mon adorée mère, lorsque revenaient le 16 février, jour anniversaire de sa naissance, et le 19 novembre, jour de sa fête, sainte Elisabeth. Parmi ces vers, destinés à elle seule, j'avais choisi déjà quelques odes qui ont trouvé place dans mes recueils. Les autres ne me paraissaient pas devoir être publiés, et je sais bien ce qui leur manque. Presque jamais on ne se montre bon ouvrier, lorsqu'on écrit sous l'impression d'un sentiment vrai, au moment même où on l'éprouve. Mais, en les donnant aujourd'hui au public, j'obéis à la volonté formellement exprimée de Celle qui ne sera jamais absente de moi et dont les yeux me voient. D'ailleurs, en y réfléchissant, j'ai pensé qu'elle a raison, comme toujours ; car le poëte qui veut souffrir, vivre avec la foule et partager avec elle les suprêmes espérances, n'a rien de caché pour elle, et doit toujours être prêt à montrer toute son âme. Paris, le 19 novembre 1878. Roses de Noël, A ma mère...). CE PRÉSENT POÈME SEMBLE INÉDIT.