2007 Paris, Editions Robert Laffont, 2007, 13x21, 216pp., couverture souple de couleur rose, très bon état, nouveauté rentrée 2007,
Reference : 32941
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Librairie Jousseaume
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Pocket 1997 180 pages 11x18x1cm. 1997. Broché. 2 volume(s). 180 pages.
Bon état (BE)
Paris, Grasset 1949, 190x120mm, 199pages, broché. Couverture papier cristal d’origine conservée. Exemplaire numéroté sur papier alfa 718/2500. Très bel exemplaire.
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L'olivier 1996 206 pages in8. 1996. Broché. 206 pages. bandeau commercial Quel est ton animal préféré ? a demandé Eugenio pendant qu'on marchait dans la nuit. C'était l'avant-veille de Noël. Il y a Nouk la mère. Et Eugenio le fils qu'elle élève seule dans un minuscule appartement aux rideaux rouges. Elle s'inquiète. Peut-on survivre aux fêtes de fin d'année ? En attendant il neige sur Paris sur les clochards et les gens des beaux quartiers. Il neige sur les statues du jardin du Luxembourg. La mère et l'enfant se tiennent par la main ils marchent dans les rues tout au long de cette histoire magique déchirante follement drôle. En chemin ils rencontrent Adam et Eve Anton Tchekhov un fleuriste un chauffeur de taxi des tortues vieilles comme le monde. S'ils triomphent des obstacles semés sur leur route il leur reste à affronter le pire : l'implacable bonté de ceux qui ont décidé de faire leur bonheur. Avec ce roman très moderne où la vie intime se voit constamment menacée par l'intrusion du monde extérieure Geneviève Brisac semble nous inviter à un retournement. Comme l'artiste qui parce qu'il porte en lui un gène d'irréalité transmue en beauté le matériau brut de la vie
Bon Etat
16/02/1869 TRÈS BEAU SONNET EMPREINT DE TENDRESSE FILIALE EN HOMMAGE À SA MÈRE ÉLISABETH-ZÉLIE DE BANVILLE :...Ma mère, pour fêter sous les cieux rajeunis, Le jour où tu naissais, je veux avec tendresse Faire parler encore la lyre enchanteresse Dans le triste silence où nos cœurs sont unis. Voici venir le temps des lilas et des nids : Déjà, comme une haleine errante et charmeresse, La brise du printemps suave nous caresse, Ma mère, et ce nest pas moi seul qui te bénis ! Car, du séjour lointain caché sous tant de voiles, Sitôt quavec la nuit seffacent les étoiles, Ceux qui sont dans les cieux nous regardent pleurer...Théodore de Banville qui vouait à sa mère une véritable adoration, lui rendit souvent hommage dans ses poésies. Le tout premier recueil de Banville, Les Cariatides, salué par Charles Baudelaire, souvre sur un poème dédié à sa mère : « Oh ma mère, ce sont nos mères dont les sourires triomphants, bercent nos premières chimères, dans nos premiers berceaux denfants... ». Dans son avant-propos à Roses de Noël (recueil entièrement consacré à sa mère et publié en 1878), Banville déclarait : « Les quelques poëmes qui suivent ne sont pas des œuvres d'art. Ces pages intimes, tant que ma si faible santé et les agitations de ma vie me l'ont permis, je les écrivais régulièrement pour mon adorée mère, lorsque revenaient le 16 février, jour anniversaire de sa naissance, et le 19 novembre, jour de sa fête, sainte Elisabeth. Parmi ces vers, destinés à elle seule, j'avais choisi déjà quelques odes qui ont trouvé place dans mes recueils. Les autres ne me paraissaient pas devoir être publiés, et je sais bien ce qui leur manque. Presque jamais on ne se montre bon ouvrier, lorsqu'on écrit sous l'impression d'un sentiment vrai, au moment même où on l'éprouve. Mais, en les donnant aujourd'hui au public, j'obéis à la volonté formellement exprimée de Celle qui ne sera jamais absente de moi et dont les yeux me voient. D'ailleurs, en y réfléchissant, j'ai pensé qu'elle a raison, comme toujours ; car le poëte qui veut souffrir, vivre avec la foule et partager avec elle les suprêmes espérances, n'a rien de caché pour elle, et doit toujours être prêt à montrer toute son âme. Paris, le 19 novembre 1878. Roses de Noël, A ma mère...). CE PRÉSENT POÈME SEMBLE INÉDIT.
Autrement - Directeur-rédacteur en chef : Henry Dougier - dirigé par Nicole Czechowski et Jean-Marc Terrasse
Reference : 3074
N° 90 de Mai 1987 - broché - 219 pages
bon état