0 Paris, Actes Sud, 2006 19 x 10 cm, 89 pp broché
Reference : 30997
état: neuf.
Librairie Jousseaume
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1963 1963 New York, G. Schirmer 1963 1 In 4 Cartonnage Editeur 324[pp]
Très bon état Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
N° 3 - 1ère année - Jeudi 15 mars 1923 - Rédaction, Administration, Publicité / 21, Rue des Capucins. Lyon - revue illustrée - Grand in-8 broché
bon état (tranche très légèrement noircie)
[No place], The Crowell-Collier Publishing Company, 1952. Folio (34,5 x 27 cm). In the original printed wrappers. In ""Collier's"", 1952. Small white paper label pasted on to lower right part of front wrapper. A few small nicks to wrappers, otherwise a fine and clean copy.
First appearance of Ray Bradbury's immensely popular science fiction short story, ""the most re-published science fiction story up to the present time"" (Contento, Index to Science Fiction Anthologies and Collections), containing the very first presentation of the butterfly effect: The idea that one butterfly could eventually have a far-reaching ripple effect on subsequent historic events.The concept was introduced into meteorology in 1961 and is now commonly used in chaos theory where it represents the sensitive dependency on initial conditions in which a small change at one place in a deterministic nonlinear system can result in large differences in a later state.""Ray Bradbury staged the most influential dino-time travel ever written [...]. Although H. G. Wells's influential The Time Machine (1895) is casually regarded as the landmark time travel tale, rather, Ray Bradbury's beloved ""A Sound of Thunder"" became the launching point for most time travel stories involving prehistoric life."" ""A Sound of Thunder"" begins in the future, in which the time machine has been invented but is still very unpredictable. A hunter named Eckels pays to go traveling back into the past on a guided safari to kill a Tyrannosaurus rex. As the party waits to depart they talk about the recent presidential elections in which an apparently fascist candidate, Deutscher, has just been defeated by the more moderate Keith, to the relief of many concerned. When the party arrives in the past, Travis (the hunting guide) and Lesperance (Travis's assistant) warn Eckels and the two other hunters, Billings and Kramer, about the necessity of minimizing the events they change before they go back, since tiny alterations to the distant past could snowball into catastrophic changes in history. Upon returning to the present, Eckels notices subtle changes. English words are now spelled strangely, people behave differently, and, worst of all, the fascist won the election. Looking through the mud on his boots, Eckels finds a crushed butterfly, whose death was apparently the cause of many changes. In 1961, Edward Lorenz, American mathematician, meteorologist and pioneer of chaos theory, was using a numerical computer model to rerun a weather prediction, when, as a shortcut on a number in the sequence, he entered the decimal 0.506 instead of entering the full 0.506127. The result was a completely different weather scenario. In 1963 Lorenz published a theoretical study of this effect. Elsewhere he said that ""One meteorologist remarked that if the theory were correct, one flap of a seagull's wings could change the course of weather forever. Following suggestions from colleagues, in later speeches and papers Lorenz used the more poetic butterfly. According to Lorenz, when he failed to provide a title for a talk he was to present at the 139th meeting of the American Association for the Advancement of Science in 1972, Philip Merilees came up with ""Does the flap of a butterfly's wings in Brazil set off a tornado in Texas?"" as a title.
Magnifique dessin pour les costumes de geishas conçus pour l'Opéra. 1 feuillet (210 x 285 mm), crayon, feutre et aquarelle. Groupe de quatre geishas en costumes traditionnels. Mention au dos du feuillet : « Geisha version II acte I ».
Kenzo Takada, l'un des créateurs de mode les plus extravagants du XXe siècle, est né en 1939 dans la ville de Himeji au Japon. Fasciné par les magazines de mode et les images de Paris des films de la Nouvelle vague depuis sa plus tendre enfance, il s'est rendu à Paris en 1964 après que son immeuble a été démoli pour faire place aux Jeux olympiques de Tokyo. En 1970, il ouvre sa première boutique dans la galerie Vivienne, surprenant le public français par son esthétique audacieuse faite de couleurs vives et de motifs contrastés. Inspiré par les créateurs de haute couture émergents de l'époque, comme Yves Saint Laurent et Karl Lagerfeld, Kenzo devient l'un des principaux créateurs de la haute couture à Paris, modifiant les normes et les goûts de la décennie. Tout au long de sa vie, Kenzo faisait référence à la culture japonaise à différents degrés. À partir de 2010, il a organisé ses expositions d'art dans le monde entier, présentant sa série de kimonos imprimés de fleurs qui rappellent les motifs par lesquels sa marque est connue. En 2019, il a conçu des costumes pour une production de Madame Butterfly par la Fondation de l'Opéra Nikikai de Tokyo, reconsidérant une fois de plus le style vestimentaire traditionnel japonais. Ce magnifique dessin est l'un des croquis pour les costumes de geishas présentes dans l'Opéra. « C'est un projet difficile », a déclaré Takada lors de l'interview qu'il donna au Japan Times en septembre 2019 « pour coordonner les costumes aux directives du réalisateur et à la vaste quantité de composants qui entrent dans une production musicale ». Les costumes de l'héroïne de Madame Butterfly comportent des graphismes floraux, tandis que les personnages environnants revêtiront des costumes simples aux tons pastel pour compléter les tenues de l'actrice principale. « Je voulais respecter la tradition autant que possible », explique-t-il à propos de ses créations. « J'ai toujours pensé que le kimono a un aspect très moderne et peut-être que cela pourrait être l'occasion pour certains de témoigner de cette modernité, que ce soit à Tokyo ou à Dresde [...]. En tant que costumier, j'ai essayé de saisir les récits de Puccini tout en dessinant la spiritualité japonaise aussi fidèlement que possible. Cela devrait faire rêver le public et le faire voyager dans l'extase. » S'il existe de nombreux croquis préparatoires et dessins du grand couturier (Kenzo avait déclaré, à la publication de son ouvrage où 350 d'entre eux avaient été reproduits, qu'il en avait créé près de 5 000 *), les dessins aboutis à l'aquarelle sont d'une grande rareté. Ceux du dernier grand projet que constitue Madame Butterfly font partie des plus rares. Superbe réalisation. * « Pourquoi mon livre est-il essentiellement composé de dessins? C'est une idée de Kazuko Masui qui m'a demandé pendant vingt ans de lui donner des croquis, mais je refusais continuellement. Puis j'ai fini par accepter. Nous avons choisi d'en publier 350 sur plus de 5000 que j'ai dessinés [...] En ce moment, j'écoute beaucoup l'opéra Madame Butterfly, dont je ferai les costumes l'année prochaine à Tokyo. » (Le Figaro, « Un dernier verre avec Kenzo Takada », par Sophie de Santis, novembre 2018, à la suite de la parution de Kenzo Takada de Kazuko Masui, Éditions du Chêne)
1 feuillet (210 x 285 mm), crayon, feutre et aquarelle. Geisha en costume traditionnel. Mention au dos du feuillet : « Suzuki version I acte I ».
Kenzo Takada, l’un des créateurs de mode les plus extravagants du XXe siècle, est né en 1939 dans la ville de Himeji au Japon. Fasciné par les magazines de mode et les images de Paris des films de la Nouvelle vague depuis sa plus tendre enfance, il s’est rendu à Paris en 1964 après que son immeuble a été démoli pour faire place aux Jeux olympiques de Tokyo. En 1970, il ouvre sa première boutique dans la galerie Vivienne, surprenant le public français par son esthétique audacieuse faite de couleurs vives et de motifs contrastés. Inspiré par les créateurs de haute couture émergents de l’époque, comme Yves Saint Laurent et Karl Lagerfeld, Kenzo devient l’un des principaux créateurs de la haute couture à Paris, modifiant les normes et les goûts de la décennie. Tout au long de sa vie, Kenzo faisait référence à la culture japonaise à différents degrés. À partir de 2010, il a organisé ses expositions d’art dans le monde entier, présentant sa série de kimonos imprimés de fleurs qui rappellent les motifs par lesquels sa marque est connue. En 2019, il a conçu des costumes pour une production de Madame Butterfly par la Fondation de l’Opéra Nikikai de Tokyo, reconsidérant une fois de plus le style vestimentaire traditionnel japonais. Ce magnifique dessin est l’un des croquis pour les costumes de geishas présentes dans l’Opéra. « C’est un projet difficile », a déclaré Takada lors de l’interview qu’il donna au Japan Times en septembre 2019 « pour coordonner les costumes aux directives du réalisateur et à la vaste quantité de composants qui entrent dans une production musicale ». Les costumes de l’héroïne de Madame Butterfly comportent des graphismes floraux, tandis que les personnages environnants revêtiront des costumes simples aux tons pastel pour compléter les tenues de l’actrice principale. « Je voulais respecter la tradition autant que possible », explique-t-il à propos de ses créations. « J’ai toujours pensé que le kimono a un aspect très moderne et peut-être que cela pourrait être l’occasion pour certains de témoigner de cette modernité, que ce soit à Tokyo ou à Dresde […]. En tant que costumier, j’ai essayé de saisir les récits de Puccini tout en dessinant la spiritualité japonaise aussi fidèlement que possible. Cela devrait faire rêver le public et le faire voyager dans l’extase. » S’il existe de nombreux croquis préparatoires et dessins du grand couturier (Kenzo avait déclaré, à la publication de son ouvrage où 350 d’entre eux avaient été reproduits, qu’il en avait créé près de 5 000 *), les dessins aboutis à l’aquarelle sont d’une grande rareté. Ceux du dernier grand projet que constitue Madame Butterfly font partie des plus rares. Superbe réalisation. * « Pourquoi mon livre est-il essentiellement composé de dessins? C’est une idée de Kazuko Masui qui m’a demandé pendant vingt ans de lui donner des croquis, mais je refusais continuellement. Puis j’ai fini par accepter. Nous avons choisi d’en publier 350 sur plus de 5000 que j’ai dessinés […] En ce moment, j’écoute beaucoup l’opéra Madame Butterfly, dont je ferai les costumes l’année prochaine à Tokyo. » (Le Figaro, « Un dernier verre avec Kenzo Takada », par Sophie de Santis, novembre 2018, à la suite de la parution de Kenzo Takada de Kazuko Masui, Éditions du Chêne)