Paris Gallimard 1950 1 in douze broché, 232 pp, Farce en trois actes et dix-neuf tableaux tirée de la sotie du même auteur.
Reference : 14823
Premier tirage. bon état
Librairie Jousseaume
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1914 Paris, Editions de la Nouvelle Revue Française, 1914. 2 volumes in-8, 23 x 14,5 cm, 282 (4), 293 (9) pp., portrait de Gide au vernis mou par Paul Albert Laurens en frontispice du 1er tome, brochés, couvertures orange imprimées.
Edition originale, parue sans nom d'auteur (quoique le nom de Gide soit gravé dans le frontispice). Tirage à 550 exemplaires, tous sur papier à chandelle des papeteries d'Arches (n° 434). "André Gide a contrôlé de bout en bout la publication des Caves du Vatican, qu'il considérait comme la grande oeuvre de sa maturité. (...) Les caractères retenus sont ceux qui avaient été utilisés l'année précédente par Emile-Paul pour Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier, et l'on a apporté un soin scrupuleux à la correction des épreuves" (Vignes, Boudrot, Bibliographie des Ed. de la NRF). Couvertures partiellement insolées, sinon un bel exemplaire. (NAVILLE, XLIV-79 ; VIGNES, 54)
Gallimard, 1950, 1 volume de 125x195 mm environ, 235 pages, broché. Edition originale, Exemplaire N° 195, un des 362 sur vélin pur fil des Papeteries Navarre, dont 350 numérotés de 16 à 365. Feuillets non rognés en partie non coupés. Dos légèrement insolé avec petit plis sur le bas, sinon bon état.
La sotie, ou sottie, désigne une pièce politique, ou dactualité, jouée à Paris au XVIe siècle, par les Sots ou les Enfants-sans-Souci.Les Sots fondent leur système de satire sur cette hypothèse que la société tout entière est composée de fous. Par dessus leur costume, ils revêtent les attributs qui désignent tel ou tel état, telle ou telle fonction : le juge, le soldat, le moine, le noble, etc.Émile Picot, dans son étude sur la Sotie en France (in-8, 1878), compte vingt-six pièces de ce genre. Il fait remarquer que la sotie était souvent représentée avec une farce et une moralité, dans des spectacles multiples ; dans ce cas on commençait par la sotie, sorte de parade bouffonne. La sotie neut pas toujours pleine liberté ; sa plus brillante période se place sous Louis XII. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Première édition réimposée à la N.R.F. Un des 40 premiers exemplaires sur vergé d'Arches. Paris, Éditions de la Nouvelle Revue française, (12 mai) 1914. 1 vol. (160 x 215 mm) de 296 p. et [3] f. Demi-maroquin vert à coins, dos à nerfs orné de caissons et filets à froid, tête dorée, titre doré, date en pied, couverture et dos conservés (reliure signée de Devauchelle). Édition imprimée moins d'un mois après la première, sur les mêmes presses de l'imprimerie Sainte-Catherine à Bruges. Contrairement au tirage d'avril, elle reprend la maquette et les couvertures habituelles des éditions de la Nouvelle Revue française. À ce titre, elle bénéficie d'un tirage de tête, réimposé sur papier vergé d'Arches - ici le numéro 40 des 64 exemplaires imprimés.
L'un des livres les plus célèbres de Gide fut aussi l'un de ceux qui lui coûta le plus à écrire. Son projet remontait à 1893, des indications sur les personnages commencent à apparaître dans le Journal dès 1905, et Gide en commence la rédaction en 1911. Le 24 juin 1913, l'auteur confie au même Journal : « Achever hier les Caves. Sans doute, il me restera beaucoup à reprendre encore après que je l'aurai donné à lire à Copeau et sur les épreuves. Curieux livre ; mais je commence à en avoir plein le dos et par-dessus la tête. Je ne me persuade pas encore qu'il est fini, et j'ai du mal à m'arrêter d'y songer. » Le résultat sera à la hauteur de l'effort fourni. Pour la trame de son récit, Gide était parti d'un fait divers sordide, une sombre histoire d'escroquerie qui en 1892 défraya un temps la chronique : à Lyon, des escrocs avaient fait croire à des gens trop crédules que le pape Léon XIII était retenu prisonnier par des cardinaux francs-maçons dans les caves du Vatican. De cette invraisemblable aventure, Gide avait gardé dans ses documents des articles de journaux et des affiches ; il ne lui restait qu'à écrire. On en a surtout retenu le fameux « acte gratuit » dont Gide a dû se défendre d'avoir voulu faire l'apologie: « Mais non, je ne crois pas, pas du tout, à un acte gratuit. Même, je tiens celui-ci pour parfaitement impossible à concevoir, à imaginer ». Bel exemplaire. Rare tirage.
Broché bon état.Nom en page de garde . Pages non coupées . 263 pages . 1951.Les caves du Vatican.. PHOTOS SUR DEMANDE
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Sous étui et chemise de soie bleu ciel. Couvertures orange. Beau portrait frontispice gravé au vernis mou par Paul-Albert Laurens, ici tiré sur Japon.
Paris N.R.F. 1914 Tome 1 : 282 pp. Tome 2 : 293 pp. In-8. Brochés. Bel ensemble. 2 tomes. ÉDITION ORIGINALE LIMITÉE À 550 EXEMPLAIRES NUMÉROTÉS SUR ARCHES, SEUL GRAND PAPIER.« André Gide a contrôlé de bout en bout la publication des Caves du Vatican, qu'il considérait comme la grande ?uvre de sa maturité. (...) Les caractères retenus sont ceux qui avaient été utilisés l'année précédente par Émile-Paul pour Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier, et l'on a apporté un soin scrupuleux à la correction des épreuves. » (Henri Vignes, Bibliographie des Éditions de la NRF, 54).