‎[Guillaume Pujolle] - ‎ ‎‎
‎Guillaume‎

‎Paris Compagnie de l'Art Brut 1965 plaquette in-4 Agrafé ‎

Reference : 010667


‎Edition originale constituée par ce tiré à part extrait du fascicule n°4 des publications de L'Art Brut, dirigés par Jean Dubuffet. Diverses signatures et graphies de Guillaume en frontispice, et 22 reproductions dont deux en couleurs. 28 pp. Très bon 0‎

€30.00 (€30.00 )
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‎PRENTOUT (H.)‎

Reference : 10148

(1930)

‎Etudes sur quelques points de l'histoire de Guillaume le Conquérant‎

‎Caen, Imprimerie Ch. Le Tendre, 1930. 90 g In-8 broché, 56 pp.. Volume constitué de deux études : - La trève de Dieu en Normandie. Date du concile de Caen; Hamfara. - Le mariage de Guillaume. Petite décoloration sur la couverture. . (Catégories : Moyen-Age, Normandie, )‎


Phone number : 06 17 93 27 81

EUR25.00 (€25.00 )

‎COQUILLART, Guillaume, disciple de François Villon.‎

Reference : LCS-17818

‎Les Poésies de Guillaume Coquillart, official de l’Église de Reims. L’exemplaire en reliure strictement de l’époque des Œuvres de Guillaume Coquillart (1452-1510), lecteur de François Villon‎

‎Précieux et magnifique exemplaire, très grand de marges (hauteur 157 mm) conservé dans son maroquin rouge de l’époque. A Paris, Imprimerie Antoine-Urbain Coustelier, 1723.1 volume petit in-8 de (3) ff., 184 pp., (2) ff. Plein maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, dos à nerfs finement orné de même, filet or sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure de l’époque.157 x 98 mm.‎


‎Première édition complète.L’exemplaire relié en maroquin strictement de l’époque des Œuvres de Guillaume Coquillart (1452-1510), lecteur de François Villon dont Jean-Paul Barbier écrit à propos d’une édition rare : « Un des volumes poétiques les plus précieux qui soient ».« Guillaume Coquillart brode avec une verve très débridée et nous a tracé ainsi un tableau de la vie bourgeoise et galante de son temps qui est riche en caricatures alertement dessinées. Coquillart a visiblement imité Villon et lui a pris les caractères les plus extérieurs de son style ».« Auteur comique important dans sa jeunesse, Guillaume Coquillart mourut en 1510, personnage considérable et considéré de Reims. Son œuvre théâtrale même semblerait avoir ajouté à son autorité. La production de Guillaume Coquillart valut à son auteur la renommée auprès du public et des écrivains. Ainsi est-il cité par Clément Marot aux côtés de Villon, Jean Molinet et Jean Le Maire. Autre preuve, peut-être, de cette influence : la composition des Droits nouveaulx establis sur les femmes, imitation des Droitz nouveaulx. »Guillaume Coquillart descend d’une famille versée dans le droit, occupée des affaires municipales (d’autres Coquillart figurent dans les archives de la ville) qui compte, avec son père, un traducteur, poète à l’occasion. Il naquit vers 1452. En 1477, il est reçu bachelier en droit canon à Paris. C’est dans ces années d’études qu’il convient de situer la plus grande partie de son œuvre, une œuvre de théâtre comique surtout. Le Plaidoié et l’Enqueste d’entre la Simple et la Rusee sont les deux parties d’un même procès parodique, dont l’enjeu est un jeune homme, le Mignon, que se disputent deux femmes. Ces deux pièces furent écrites pour le carnaval de 1478 et 1479. De la même veine sont les Droitz nouveaulx (1480). Il ne s’agit plus d’un texte dramatique, mais d’un divertissement. Usant d’un code scabreux, l’auteur y résout des cas parfois proches de ceux des Arrêts d’amour de Martial d’Auvergne. C’est à la même période (vers 1480) qu’appartient le Monologue Coquillard ou de la botte de foin. Cette fois, il n’y a pas de procès et aucun comique d’inspiration juridique. Un jeune amoureux vantard et élégant vient débiter sur scène sa déconvenue : le mari de sa maîtresse rentré à l’improviste, il a dû passer la nuit au grenier, caché sous une botte de foin. Il est considéré comme l’inventeur du monologue théâtral.La critique moderne s’intéresse beaucoup à Coquillart, ainsi qu’en témoignent les essais suivants : . Balsamo, Jean, « Galliot du Pré, éditeur de Guillaume Coquillart », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 95-112. . Bernard, J.-M., « Guillaume Coquillard, la poésie bourgeoise au XVe siècle », Revue critique des idées et des livres, 22, pp.429-442. . Chevalier, Jean-Frédéric, éd., Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, 197 pp. . Dérens, Jean, La vie et les œuvres de Guillaume Coquillart, diplôme d'archiviste paléographe, École nationale des chartes, Paris, 1967. - Résumé dans Positions des thèses de l'École des chartes, 1967, pp. 17-20. Thèse consultable aux Archives nationales à Paris sous la cote AB XXVIII 408. . d'Héricault, C., « Un poète bourgeois au XVe siècle, Guillaume Coquillart », Revue des Deux- Mondes, 7, pp. 970-1000; 8, pp. 508-537. . Freeman, Michael, « Guillaume Coquillart ou l'envers de la sagesse », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 11-26. . Koopmans, Jelle, « Esthétique du monologue : l'art de Coquillart et compagnie », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 27-44, etc…Cette édition est la plus correcte de toutes celles qui aient été faires des œuvres de Coquillart. (Viollet-le-Duc).Précieux et magnifique exemplaire, très grand de marges (hauteur 157 mm) conservé dans son maroquin rouge de l’époque.‎

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‎GUILLAUME, Charles.‎

Reference : LCS-18429

‎Instrumens Aratoires inventés, perfectionnés, dessinés et gravés, Par M. Ch. Guillaume, avec une explication des figures. Ouvrage dédié à MM. les cultivateurs. Cet Ouvrage, ainsi que les Instrumens qui y sont mentionnés, se vendent à l’atelier de l’Auteur, rue du Faubourg Saint-Martin. « La révolution agricole » due aux nouveaux instruments aratoires, reliée et offerte au Tsar Alexandre Ier, petit-fils de Catherine II.‎

‎Edition originale rare représentant les «Instrumens Aratoires inventés, perfectionnés, dessinés et gravés par Charles Guillaume» sous l’empire et la restauration. Paris, Imprimerie de Madame Huzard, Janvier 1821. In-folio oblong de (28) pp. et 12 planches numérotées. Rares rousseurs sur les planches. Plein maroquin vert à grain long, plats ornés d’une dentelle droite en encadrement, armes au centre surmontant la mention frappée en lettres d’or «Atlas d’Instruments Aratoires», dos lisse orné, roulette intérieure et sur les coupes, tranches dorées. Reliure armoriée de l’époque. 275 mm. x 417 mm.‎


‎Edition originale rare représentant les «Instrumens Aratoires inventés, perfectionnés, dessinés et gravés par Charles Guillaume» sous l’empire et la restauration. La mise au point de sa «Charrue à la Guillaume» améliora la productivité agricole française à la veille de la révolution industrielle et permit par là même le premier exode rural qui fournit les ouvriers de l’industrie nationale. «Cet ouvrage, que M. Guillaume dédie à MM. les cultivateurs, est le fruit de son amour pour le premier et le plus utile des arts, et de son zèle ardent pour sa prospérité. Fils de cultivateur, il résolut de se consacrer entièrement au perfectionnement des instrumens aratoires connus, et à l’invention de quelques autres dont il sentit le besoin et l’utilité pour l’agriculture. Il présenta au concours de la Société central d’Agriculture du département de la Seine, une charrue qu’il avait perfectionnée dans toutes ses parties, et particulièrement en ce qui regarde le soc, le versoir et la ligne de tirage. Le 5 avril 1807, cette charrue fut couronnée, et la Société décerna à son auteur une médaille d’or et un prix de 3000 francs. Cet instrument fut considéré principalement sous le rapport le plus important, le ligne de tirage, comme le meilleur non seulement de ceux qui avaient été envoyés au concours, mais encore de tous ceux qui avaient été connus et mis en usage jusqu’à ce jour. Depuis, on en a parlé avec distinction, dans plusieurs ouvrages, sous le nom de charrue à la Guillaume. Dans cet ouvrage, il a réuni la collection de toutes les machines et outils qu’il a inventés dans le seul but de contribuer à rendre la culture des terres plus parfaites, plus économique, plus facile, et conséquemment plus agréable. Il a cherché par tout à joindre la solidité à la simplicité.» Le volume, orné de 12 estampes à pleine page, décrit la Charrue à la Guillaume, celle dite «Tourne-oreille», «l’Araire perfectionnée, la Houe à Cheval, la Charrue à deux et quatre raies, le Ratissoire de jardinier, la Herse triangulaire, l’Extirpateur, le Scarificateur, le Brise-Mottes, la Hache paille, le Ratissoire à cheval, le Coupe-Racines, le Moulin à bras, la batterie à battre toutes sortes de grains, le rouleau cannelé pour battre le bled». Exemplaire imprimé sur grand papier vélin relié en maroquin vert de l’époque aux armes du Tsar Alexandre Ier, Paulowitz, petit-fils de Catherine II, empereur de toutes les Russies, né en 1777, mort en décembre 1825 à Taganroy.‎

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Reference : 294

‎Mercure historique et politique [...] Tome trentième. [AVEC] Histoire de Frédéric-Guillaume I. roi de Prusse et électeur de brandebourg. &c. &c. &c. Tome premier.‎

‎La Haye / Amsterdam & Leipzig H. van Bulderen / Arkstée & Merkus janvier-juin 1701 / 1741 In-12° (140 x 84 mm), 721 pp - [11] ff., veau brun, dos à 4 nerfs orné, armes au centre du plat supérieur, roulette à froid sur les coupes, tranches à mouchetures rouges (reliure de l'époque) - In-12° (170 x 105 mm), [4] ff. dont un frontispice - 417 pp. - [1] p. bl., veau brun, dos à 5 nerfs orné, chiffre couronné au centre du plat supérieur, couronne au centre du plat inférieur, roulette à froid sur les coupes, tranches à marbrures bleues (reliure de l'époque)‎


‎Les exemplaires du premier "Roi en Prusse" et du premier "Pince de Prusse" L'EXEMPLAIRE DU PREMIER ROI EN PRUSSE, FRÉDÉRIC IER, DE CETTE GAZETTE NARRANT LES ÉVÉNEMENTS QUI MENÈRENT À ET SUIVIRENT SON AVÈNEMENT AU TRÔNE Voici la liste des principaux faits relatifs retranscrits dans l'ouvrage : pp. 105 : L'électeur de Brandebourg est proclamé roi de Prusse. pp. 232 : comment elle [La Prusse]est échûë à la maison de Brandeburg. Est couronné. pp. 239 : anciens habitants de Prusse. Ceux d'aujourd'hui en certains endroits ont un roi. pp. 242 : Le roi de Prusse est reconnu par plusieurs princes & états. pp. 328 : Par le roi de Danemark. pp. 335 : Par le roi de Pologne. pp. 408 : Par les ducs de Saxe-Weimar & Eisenach, opposition d'autres princes pp. 410 : Déplacement du roi de Prusse vers Berlin pp. 534 : Lettre de l'empereur au roi de Prusse suite à la notification de son couronnement pp. 649 : Entrée du roi de Prusse à Berlin. pp. 713 : Augmente ses troupes jusqu'à quarante mille hommes. Ce périodique fut fondé en 1686 par Gatien de Courtilz de Sandras. lI relate avant tout les événements politiques en Europe : alliances, guerres et traités de paix, mort et avènement des souverains, affaires intérieures de chaque État. On ne doute pas que le roi l'ait avidement consulté pour savoir comment ces événements fatidiques furent relatés. PROVENANCE : - Frédéric Ier de Prusse avec armes sur le plat supérieur et couronne royale répétée au dos. En janvier 1701, le prince-électeur Frédéric III de Brandebourg obtient de l'empereur Leopold Ier le titre de roi de Prusse en échange d'une alliance contre le roi de France Louis XIV. Les armes de l'électeur de Brandebourg (un aigle de gueule (rouge) à couronne d'électeur sur fond d'argent (blanc) portant sur le tout un sceptre d'or) sont désormais remplacée par un écu à 25 quartiers surmonté d'une couronne royale dont au centre l'aigle de Prusse ceint d'une couronne royale et portant les lettres « FR » (Fredericus Rex). À la mort de Guillaume III, prince d'Orange et roi d'Angleterre, le 19 mars 1702, le roi exigea que les armes de la principauté d'Orange soient placées sur l'écu afin de soutenir sa revendication d'en être l'héritier. Ses premières armes ne furent donc utilisées que pendant un laps de temps infime, un peu plus d'un an. - « Bibl. Hammer Stockholm » à la devise : « En avant, toujours en avant. », ex-libris gravé apposé au contreplat supérieur. N° 5148 de son catalogue (1886), réunis avec 8 autres tomes antérieurs (1686-1689) du périodique. La provenance royale n'est pas citée. Hammer avait l'intention de vendre à l'État suédois son immense bibliothèque de plus de 50 000 livres, dont des collections sur Linné et Swedenbourg. Cette vente de gré à gré échoua et les livres furent mis aux enchères après la mort du collectionneur entre 1906 et 1910. Petite mouillure marginale en pied sur les deux premiers feuillets, petit trou ayant emporté quelques lettres aux pp. 623-624, 2 notes manuscrites marginales p. 628 ayant subi le couteau du relieur. [AVEC] L'EXEMPLAIRE DU PREMIER PRINCE DE PRUSSE, AUGUSTE-GUILLAUME, DU PREMIER TOME DE CETTE BIOGRAPHIE DE SON PÈRE, LE ROI-SERGENT, DEUXIÈME ROI EN PRUSSE L'ouvrage dresse rapidement l'historique de la maison de Brandebourg puis celui des premières années de Frédéric-Guillaume. Ils couvrent ensuite la période de règne de Frédéric Ier, de 1701 à 1713, puis la période de 1713 (soit depuis l'avènement de Frédéric-Guillaume, père de Auguste-Guillaume, en tant que roi de Prusse) à 1720. PROVENANCE : Auguste-Guillaume de Prusse (1722-1758), prince et général, avec son chiffre couronné sur la plat supérieur et la couronne royale sur celui inférieur. Il était le onzième enfant du roi Frédéric-Guillaume Ier de Prusse (1688 1740) et de Sophie-Dorothée de Hanovre (1687 1757), fille du roi George Ier de Grande-Bretagne. Il était par conséquent un cadet de Frédéric le Grand (Frédéric II) qui après l'avoir nommé général à sa prise de pouvoir en 1741 alors qu'il n'était âgé que de 19 ans, fit de lui son successeur désigné en 1744 en lui conférant le titre, chose alors inédite dans la royauté prussienne, de Prince de Prusse. Il mourut cependant prématurément après sa disgrâce à la défaite de Kolin (1757). C'est néanmoins sa descendance qui continua la lignée royale des Hohenzollern. Le titre de prince de Prusse ne sera de nouveau porté qu'au XIXe siècle par le futur roi Guillaume Ier. Tome premier seul, frottements, mouillures en pied à la reliure, manques au coiffes et au coins. ‎

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‎"MACHIAVELLI, NICCOLO.‎

Reference : 57045

(1553)

‎Le Prince. Traduit d'Italien en Francoys Par Guillaume Cappel. - [THE BIRTH OF MODERN POLITICAL THOUGHT]‎

‎Paris, Charles Estienne, 1553. Small 4to. Bound in a lovely 19th century red morocco binding with five raised bands and gilt ornamentations to spine. Boards with blindstamped frame-borders and gilt ornamental centre-pieces. All edges of boards gilt and inner gilt dentelles. All edges gilt. ""E. THOMAS"" discreetly printed to top of front free end-paper. Front free end-paper with woodcut armorial book-plate (Bibliotheque du Plessis Villoutreys). First and last leaves with a bit of brownspotting, otherwise very nice and clean throughout. The last three leaves with neat restorations - neatly closed tear, with no loss and a couple of small restorations to top margin (far from affecting text). (8), 148 pp. Estienne's printer's device to title-page and woodcut initials.‎


‎The extremely rare first translation printed in any language, being the first printed French translation, of one of the most important and influential works in the history of mankind, Machiavelli's ""The Prince"". After the original printing in Italian, the present is arguably the most desirable edition of the seminal masterpiece that is Machiavelli's magnum opus. ""The Prince"" constitutes the beginning of modern political philosophy and one of the most influential works in the history of modern thought. It founded the science of modern politics on the study of mankind, and even today no political thinker can disregard the importance of this masterpiece of political theory.The translation not only inaugurated the tradition of translating ""The Prince"" into other languages than Italian, it also exercised the greatest influence upon the entire Machiavellian tradition and constitutes an immeasurable historical source in its own right. Although the work was never reprinted and this extremely scarce edition is the only available version of the text, the effects of it are still clearly visible in our times. It secured the diffusion of the text throughout Europe and it served as the basis for the most important of the later translations, e.g. Jacques Gohory's from 1571, which is considered not much more than a slight reworking of Cappel's translation. As Jean Bingen points to, Cappel's translation also directly influenced (and influences) almost all modern translations of the work. The reason for this continued direct and strong influence is of course not only due to its priority in time over all other translations, it is also due to the fact that Cappel's translation always has been and still is considered the most ""Machiavellian"" translation of ""The Prince"" ever made and the one closest to the source - both in time, in style, and in rendering of the content. Cappel was the only of the early translators who was himself a Machiavellian and his respect for and understanding of the text shines from the pages. ""Besides being a politically charged text, the ""Principe"" was also a piece of beautiful and clear Italian prose, and its tightness and brevity constituted a decisive advantage over the ""Discorsi"". An awareness of the literary qualities of the text is also evident in the preface Guillaume Cappel wrote to his translation (dedicated to Jean Bertrand, Lord Privy Seal), in which he underlines Machiavelli's use of an appropriate style and the good use to which he puts his knowledge of history... These qualities prompted Cappel to undertake his translation...Cappel's enterprise was praised for his literary qualities by the members of the Pléiade who had their own poems inserted at the end of the translation. More recently, his version had been justly praised as ""very literal and sinewy"". It has also been noted, however, that it was not reprinted, thought Jacques Gohery's version, published 1571, followed it ""almost verbatim""."" (Petrina, Machiavelli in the British Isles, p. 12). ""Guillaume Cappel II, sieur de Preigny (1530-86), was widely known in medicine for his work on nutrition and his editing of texts on how to avoid the plague and on general medical diagnosis. A member of the Catholic League, he was determined not only to bring up his brother's children in the Catholic faith but also to exploit Tilloy to his own profit. However, in 1586 he was killed in an affray with the enemies of the League... Family divisions of the kind that occurred at Le Tilloy were customary during the religious wars, but it is not because of his part in them, nor even because of his Catholic enthusiasm and his medical reputation, that Guillaume Cappel deserves attention. In 1553, at the age of twenty-three, he published a French translation of Machiavelli's ""Prince"", dedicating it to a powerful patron, the ""Garde des sceaux"" Jean Bertrand. Appended to the book were poems praising Mchiavelli, and Cappel as his French interpreter, by Marc-Antoine Muret and Rémy Belleau, and other verses about the relative merits of French and Italian princes by Etienne Jodelle. Guillaume Cappel clearly mixed in the foremost literary circles of the time. He claimed to be a student of politics, as well as of medicine and letters, and in his dedication to Bertrand, which he modelled on Machiavelli's own prefatory letter to Lorenzo de' Medici, he expressed an admiration for Machiavelli that knew no bounds. Politics, he remarked, constituted the highest branch of philosophy, itself the queen of the ""sciences"". Other political writers were sophists producing utopias, but Machiavelli wrote of government as it really was. Cappel went on to argue in his preface that men were more ungrateful towrads their ruler than any animal towrads its master. The exercise of power was shaped by necessity, not by virtuous intentions, and only those who understood this could govern successfully. For his part, the ruler necessarily pursued two aims, to keep his authority intact and to extend his dominions. According to Cappel, Machiavelli had boldly analysed the faults committed by princes in the pst, had shown how problems could be dealt with in the future, and had brilliantly explained the causes of political upheavals.Guillaume Cappel's translation of ""The Prince"" was the first of three to be published in France before the massacre of St. Bartholomew, when the black legend of Machiavelli became dominant... Guillaume Cappel was not only the first translator of ""The Prince"" but also the one most in sympathy with Machiavelli himself. He scornfully refuted those who accused his author ""de facooner un prince trop rigoreux."" A good doctor, said Cappel in his dedication, did not worry whether his patient disliked the remedy he prescribed, but merely whether the cure would work. Cappel refused to take up the rumor whether Machiavelli was an atheist, because, he claimed, there was nothing he had written that could support or deny the charge... Cappel's translation was sharper, and truer to the original than Gaspard d'Auvergne's or Gohory's.... The young Guillaume Cappel was, at this time at least, a true Machiavellian."" (McMillan Salmo, Renaissance and Revolt, pp. 62-63). The work is of the utmost scarcity, with only few copies known. According to the ""Catalogue général"" of the Bibliothèque National, at least thirty-five editions of three French translations of ""The Prince"" appeared between 1553 and 1664. ""The doctor Guillaume Cappel is credited with the first French translation of ""The Prince"" (1553), followed by Gaspard d'Auvergne (1553) and Jacques Gohory (1571)."" (Jacob Soll, Publishing The Prince, p.73).(See PMM 63 - first edition). ‎

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