‎BARRES Maurice - [Charmes 1862 - Neuilly 1923] - Ecrivain français‎
‎Lettre autographe Signée à "Madame" - ‎

‎ 1 page 1/2 in8 -‎

Reference : GF25412


‎Il ne pourra venir à un rendez vous, "surchargé de besognes" et "sans voiture" - "il me semble que vous pourriez m'écrire ce qui eut fait l'objet de notre conversation" -.. Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

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‎[SNPMD] - ‎ ‎PETIT, Henri ; [ SAUTET, Camille ; PETIT, Madame Henry : SUFFRAN, Michel ]‎

Reference : 54662

(1977)

‎Paysages [ Livre dédicacé par l'auteur ] [ Avec : ] Lettre autographe signée de Camille Sautet à Michel Suffran, évoquant Henri Petit [ Avec : ] Lettre autographe signée de Madame Henry Petit à Michel Suffran [Avec : ] Pays de Bourgogne. n° 107 trimestre 1979 : Hommage à Henri Petit‎

‎Texte recueilli par Camille Sautet, un des 450 exemplaires non numérotés (après 50 numérotés), 1 vol. in-4 reliure pleine toile éditeur sous jaquette transparente, sous étui cartonné, collection "L'univers sensible", SNPMD, Paris, 1977, 110 pp. avec Pays de Bourgogne, 1 vol. in-8 br., 1979, pp. 353-417‎


‎Remarquable ensemble réunissant : un bel exemplaire de "Paysages" dédicacé par Henri Petit "Pour Michel Suffran, qui sait ma très vive sympathie et aussi ma reconnaissance" ; le numéro spécial d'hommage à Henri Petit publié par la revue "Pays de Bourgogne", accompagné d'une belle L.A.S. (2 pages) de Camille Sautet adressée à l'écrivain bordelais Michel Suffran : "Mon Cher docteur et ami, je vous adresse par le même courrier un exemplaire de la revue "Pays de Bourgogne" qui vient de paraître, où vous trouverez entre autres votre remarquable article "Frère de Silence" en hommage à Henri Petit. Quand je dis "remarquable", il ne s'agit pas d'un mot passe-partout [ ... ]mais de ce qui est proprement digne de retenir l'attention. Je regrette beaucoup que, comme me l'avait fait espérer Yves Leroux, vous n'ayez pas pu, en son temps, lors de la parution de "Paysages", donner à Henri Petit le bonheur de lire quelques pages de vous, de ce ton et de ce style [ ... ] nous nous retrouvons en certains mots : artisanal, race terrienne, contemplation... et je disais souvent que l'athée qu'il disait être avait une pensée et un coeur franciscain et une âme contemplative, parce que le croyant qu'il avait été jusqu'à l'âge de 13 ans cet enfant était toujours près de lui et le suivrait jusqu'au bout de la route. Madame Petit, que je viens de voir à Paris, a beaucoup apprécié et en particulier votre témoignage. Elle vous écrira sûrement" [ ... ]". Michel Suffran a écrit ces lignes sur l'enveloppe : "A la limite, ce n'est pas ce que nous proclamons et analysons qui importe le plus. Ce qui compte (et ce qui nous sera compté), c'est ce qui appartient à l'indicible, ce qui rayonne de nous à notre insu, et peut-être, contre notre consentement. Un andante de Mozart, un crépuscule de Watteau, un page de Nerval témoignent bien plus sûrement de Dieu en l'homme, que la plus ingénieuse des "démonstrations" métaphysiques". On joint la belle lettre autographe (prévue par Camille Sautet) signée par Madame Henri Petit, adressée à Michel Suffran : "Je viens vous remercier très sincèrement du bel article que vous avez consacré à mon mari. Vous dites à son propos des choses que personne n'a encore dites. Vous allez très loin. J'en suis, croyez moi, profondément touchée. Et c'est vrai (souligné). [ ... ]"Né à Avallon (Yonne), l'écrivain bourguignon Henri Petit (1900-1978) fut élève à Louis-le-Grand puis à la Sorbonne, où il rencontre Jean Grenier. Il publie son premier texte ("Vézelay") en 1927, et reçoit le Grand Prix de littérature de l'Académie Française en 1965.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR345.00 (€345.00 )

‎Coulanges, Philipe-Emmanuel marquis de‎

Reference : 7702

(1704)

‎Lettre autographe signée à Madame de Bernière‎

‎ 1704 1704. 7 pages. Deux feuillets pliés en deux, une déchirure d’époque liée à l’ouverture du cachet de cire. Longue lettre autographe signée Coulanges, Quevilli ce 22 juillet Rep an 26, à Madame de Bernières à Paris. 7 pages in-quarto, [1704] adresse avec cachet de cire rouge aux armes. Coulange regrette de n'avoir pu accepter l'invitation à diner de procureur général de Rouen, Louis-Charles Maignard de Bernières, marquis de Beautot, " Mais mon cher camarade, je suis à une lieue de la ville, et cest une affaire que de sy rendre principalement sur le midi par le cruel chaud qui nous suarde depuis le matin jusquau soir et cen est une plus grande encore, que de quitter une cardinal [le cardinal de Bouillon , alors en disgrâce et destitué de la grande aumônerie] qui parait fort content de ma petite compagnie et qui ma paru ne me donner congé daller à Rouen, que parce quil me veut laisser ma liberté. Je suis donc résolu de le quitter tout le moins que je pourrais, et dautant plus que je commence à toucher au but, que je je me suis proposé pour me séjour au près de lui. Je serais même déjà parti [] plus commodément et plus honorablement que je ne suis venu, il veut que je prenne location dun vieux carrosse quil enverra rendre à Paris, dès que les heureux qui ly mèneront pourront ramener une berline quil y fait faire, et dont de moment en moment, il attend quon lui mande quelle est en état de marcher.[]. Cette incertitude donc, du temps de mon départ, me fit prendre congé de tout mes bons normands, dès lundi dernier je dinais chez mon petit cousin de Lezeau, que jaivais remis à ce jour, qui ma été dun secours admirable depuis. Il est très joli homme, il sait vivre , et cest tout vous dire que la force du sang cest si bien fait sentir en moi que je laime fort, et que lai tout à fait pris en ma protection il me donna le meilleur déjeuné du monde, et du meilleur air, et sut fort bien en trier la compagnie qui me conviendrait le plus : Cétait Mignonnette, cétaient Monsieur et Madame Garnetot, Madame la présidente de Bernières, la belle soeur de Made de Lezeau, sa propre femme, labbé dAntreaille, et son conseillé du parlement, homme du monde dont jai oublié le nom, le marquis de la Londe et lieutenant devaient être aussi de ce repas, ils en étaient priés , mais lun sétait trouvé obligé daller à une partie de chasse, et lautre à Forges pour y visiter madame de Pont Charevain [] Le repas fut fort gay nous chantâmes à lenvie de Madame de Granetot et moi, et chacun eut ses partisans, comme il arrive assez ordinairement, après une longue table et une courte digestion, chacun pris son parti, mon cousin me mena chez Monsieur le procureur général , comme je lai déjà dit, ensuite chez Mesdames première présidentes et présidente de Malbueille que je navais point vu depuis leur dîner et je finis par le cours qui est selon moi une des plus belles promenades quon puisse fréquenter. [] joubliai dans ma première lettre il est vrai, de vous parler de labbé de lÉpine, qui est toujours la fleur des poids, il est venu ici après diner, je lau vu aussi après diner chez Monsieur de Courson ou il ne voulut pas venir diner, et jai diner une fois seulement avec lui chez Madame de Motfeuille, voilà tout ce que jai vu mon cher filleul, qui me parait encore un peu affable, mais qui nest pas moins bonne compagnie. [] Dites à Mademoiselle de Rys, je vous supplie que jai autant de vénération pour son amie que si elle navait pas été fouetté à lâge de dix sept ans. Je suis persuadé même quelle en est devenue plus sage par en avoir la mémoire plus récente mais cest une belle récompense que cinq cent bon mil francs quon dit quelle aura pour son partage, pour peu quelle cherche une anguille, elle la trouvera facilement.Vous avez donc été une bonne semaine à Choly, je crois que Madame de Coulange y est présentement pour moi, je ny serai jamais si fort que je le désire, mais je vous supplie mon cher camarade, que vous vous y trouviez à même temps, je ne suis pas de si bonne compagnie que Messieurs les abbés de Langlée et Morel pour payer desprit et de jeu, mais au moins je vous parlerai normand, et cette langue peut être ne vous sera pas indifférente. []Hélas je vois bien que je men retournerai à Paris sans voir la procession de la ligue, mais je men consolerai par vous voir mon cher camarade et par vous bien répéter que je suis lhomme du monde qui vous honore le plus et le plus constamment votre humble et très obéissant serviteur. Mille compliments Coulanges." ‎


‎ Signé par l'auteur ‎

Phone number : 09 88 40 55 75

EUR350.00 (€350.00 )

‎Jeanne Mauriac (1893-1983)‎

Reference : DMI-1101

(1966)

‎lettre autographe signée à Madame Lucienne Cain sur le voyage du général De Gaulle à Nouméa #3‎

‎Jeanne Mauriac (1893-1983) lettre autographe signée à Madame Lucienne Cain 1 f., 2 p., Vémars, 30 août 1966 + enveloppe Madame Julien Cain / 18 rue de la Princesse / Louveciennes Madame François Mauriac écrit à Madame Lucienne Cain (1892-1874), épouse de Julien Cain (1887-1974), ancien administrateur de la BNF, ancien directeur des Bibliothèques de France, membre de l'Académie des Beaux-Arts et ancien directeur du Jacquemart-André : "Chère Amie, Oui, nous nous "reposions à Vémars parmi les fleurs" et aussi, bien souvent sous la pluie ! Nous le quittons demain et espérons être à Malagar vendredi soir. Que vous êtes gentille de m'avoir envoyé ces deux photos qui sont particulièrement réussies et qui seront pour nous un précieux souvenir de la soirée passée chez vous. Mon fils Jean s'est envolé hier soir. Il doit retrouver le Général de Gaulle à Noumea. J'avoue ne pas regretter qu'il ait manqué le premier jour du voyage de celui-ci !" Lucienne Cain a été traductrice des romanciers russes et spécialiste de Paul Valéry. Jean Mauriac (1924-2020) est le fils de François et Jeanne Mauriac. Entré comme journaliste politique à l'Agence France-Presse (AFP) en 1944, il est affecté auprès du général de Gaulle dès la Libération et jusqu'à la démission du Général en avril 1969. Bel autographe. Envoi soigné. ‎


Librairie À la Demi-Lune - Aigues-Vives

Phone number : 06 22 83 47 26

EUR60.00 (€60.00 )

‎BRISON de LAVILLEON (Anne).‎

Reference : 19461

‎Lettre autographe signée de madame de Lavilleon (Anne de Beaumont de Brison) à monsieur Jacques Blachère maire de Largentière."[...] Mon cher Blachère [...] Mr de Lavilleon qui me charge de bien des choses pour vous pense à votre égard tout comme moy [...] Mr Roudil m'a prié de liciter pour luy procurer la judicature en laquelle mr Lasagnes fût dépossédé [...] qu'i soit content aussi en passant la lieutenance à mr Roudil [...] Je ferai mon possible mon cher blachère pour que la voix de mon cousin puisse vous avoir l'audition des Comtes du Haut Vivarais [...] Je parlerai à mr de Beauza que je vois souvent pour qu'il vous fasse passer l'état dont il vous a parlé [...] Je suis affligée de votre froid avec mon frère (François Denis Auguste Grimoard de Beauvoir du Roure de Beaumont) [...] Mes compliments à toute votre famille et à la maison Jullien [...]‎

‎ Tournon, le 10 avril 1775, 1 1 cahier. lettre autographe de 3 pages, signée "Brison de La Villeon", adresse du destinataire sur le dernier feuillet; "a Monsieur Blachere maire de Largentière par Valence et Montélimart à Largentière en Vivarais", marque postale: "TAIN", cachet de cire rouge aux armes ; ‎


‎Anne de Beaumont de Brison (Anne Grimoard de Beauvoir du Roure de Beaumont), née en 1738 à Largentière, mariée le 16 février 1773 à Tournon avec Mathieu Louis de La Villeon, capitaine major des Dragons.François Denis Auguste Grimoard de Beauvoir du Roure de Beaumont, comte de Brison (Sanilhac), baron de Beaumont, seigneur de Largentière et de Tornac, baron des Etats du Vivarais, né à Largentière, frère d'Anne de Beaumont de Brison (madame de Lavilleon). ‎

Librairie Ancienne du Vivarais - Saint Etienne de Boulogne

Phone number : 06 80 15 77 01

EUR30.00 (€30.00 )

‎BRISON DE LAVILLEON (Anne).‎

Reference : 19477

‎Lettre autographe signée de madame de Lavilleon (Anne de Beaumont de Brison) à monsieur Jacques Blachère maire de Largentière."Je reçois avec plaisir, mon cher Blachère (Jacques Blachère), les témoignages de votre attachement pour moy [...] les nouvelles que m'a fourni monsieur de La Beaume sont trés agréables [...] il a été à Gourdan (château de Gourdan à Saint-Clair, prés d'Annonay) et de là voir une tante abbesse [...] Je vois arriver le moment de vous voir en aout en venant des Boscs (chateau des Boscs à Gilhoc sur Ormèze) [...] la petite vérole est aux quatre coins de la ville (Tournon) on ne voit que ça, je fais des voeux pour que ça passe d'icy que mon frère vienne (François Denis Auguste Grimoard de Beauvoir du Roure de Beaumont) et que je le vois piqué [...] Scipion à souvent donné de ses nouvelles (le contre-amiral Scipion Grimoard de Beauvoir du Roure) [...] cette flotte est si forte et poussée aux grandes actions, que je ne serai tranquille sur son compte que quand la guerre sera fini (Guerre d'Indépendance des Etats-Unis, la flotte française affronte la flotte anglaise dans les Caraïbes), [...] au sujet de mon huile d'olive il m'en faudrait cinq quintaux en comptant le poids de la barrique, qui soit bien bonne, j'en voudrai un quintal pour mes lampes, de la bien commune [...] les choses les plus empressées à votre femme et à mr l'abbé votre frère, on m'a dit que madame Jullien souffrait de rhumatismes [...]."‎

‎ Tournon, 1779, 1 1 cahier. lettres autographe de 4 pages, adresse postale: "A monsieur Blachère maire de la ville de Largentière, par Montélimart à Largentière en Vivarais, marque postale: "Tain", petit manque sur les marges hautes des feuillets, sans perte de texte ; ‎


‎Anne de Beaumont de Brison (Anne Grimoard de Beauvoir du Roure de Beaumont), née en 1738 à Largentière, mariée le 16 février 1773 à Tournon avec Mathieu Louis de La Villeon, capitaine major des Dragons.François Denis Auguste Grimoard de Beauvoir du Roure de Beaumont, comte de Brison (Sanilhac), baron de Beaumont, seigneur de Largentière et de Tornac, baron des Etats du Vivarais, né à Largentière, frère d'Anne de Beaumont de Brison (madame de Lavilleon).Denis Scipion Grimoard de Beauvoir du Roure de Beaumont, capitaine de vaisseau, contre-amiral, il fût l'amant de Josephine de Beauharnais, la future épouse de Napoléon Ier, neveu de madame de Lavilleon.références bibliographiques: André Gavoty: "Un amoreux de Joséphine, scipion du Roure" - Bernadette Ramiffier: "La vie aventureuse de Scipion du Roure, officier de marine et Chevalier de Malte 1759-1822". ‎

Librairie Ancienne du Vivarais - Saint Etienne de Boulogne

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