Les Editions du Prieuré 1994 In-12 broché. Réimpression de l’édition de 1753. La couverture porte le titre “La Monarchie des Jésuites”. Bon état d’occasion.
Reference : 5541
ISBN : 290967245X
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Amsterdam H. Uytwerf 1754 in-12 plein-veau 1 volume, reliure plein veau havane moucheté in-douze (binding full calfskin in-12) (16,7 x 10 cm), RELIURE D'EPOQUE, dos à nerfs (spine with raised bands), richement décoré "or" et à froid (richly gilt and blind stamping decoration), titre frappé "or", pièce de titre sur fond marron avec 2 filet "or" en encadrement (label of title with gilt line), roulette "or" en place des nerfs avec un filet à froid de part et d'autre des nerfs, entre-nerfs à fleuron "or" dans un encadrement de 2 filets "or" avec rinceaux "or" aux angles, roulette large feuillage "or" en tête et en pied dans un encadrement d'un filet "or", coins trés légèrement émoussés, filet "or" sur les coupes (gilt line on the cuts) avec léger manque de dorure (blurred gilding), toutes tranches lisses rouges, pages de garde peignées à motif "caillouté" (painting endpaper), sans illustrations (no illustration) excepté une vignette en bas du titre gravée sur bois en noir + 1 front de chapitre historié et une lettrine historiée gravés sur bois en noir, ( XXXII + 404) pages, 1754 à Amsterdam, H. Uytwerf Editeur,
Note : Cet ouvrage, faussement attribué au P. Inchofer, est du P. G. C. Scotti. La traduction et les remarques sont de Pierre Restaut, d'après Barbier.... Solipse est un terme injurieux pour qualifier les jésuites soit Soli ipsi (pour eux-seuls)....Célèbre utopie pamphlétaire contre les jésuites, prônant un monde nouveau, égalitaire et démocratique, écrite en réaction de l'état de décadence agressive et autodestructrice du monde jésuite, lequel, selon l'auteur, se doit de retrouver sa pureté originelle...... La Monarchie des Solipses, serait l'oeuvre du jésuite italien Giulio C. Scotti, auteur des plusieurs écris contre la Société, qui quitta l'habit en 1645, année de la publication de l'ouvrage. Cette édition française contient deux texte ne figurant pas dans l'originale latine: Extrait d'un livre intitulé Le Jésuite sur l'échafaud et Instruction aux princes, sur la manière dont se gouvernent les Jésuites..........Bel Exemplaire....RARE......en trés bon état (very good condition). en trés bon état NOUS SOMMES EN CONGÉ DU 29 AVRIL 2025 AU 13 MAI 2025 merci de votre compréhension!
Amsterdam, Uytwere, Amsterdam, Uytwere1754 ; in-12, veau fauve marbré, dos orné. (Rel. de l’époque). XLIV pp., 4 ff. n. ch., 407 pp.La traduction est de Pierre Restaut. Solipse est un terme injurieux pour qualifier les jésuites soit Soli ipsi (pour eux-seuls). Les bibliographes hésitent à attribuer cette satire qui fit grand bruit lorsqu’elle parut en latin en 1645 au jésuite hongrois Inchhofer, un savant bizarre qui écrivit contre Copernic. Elle serait plus vraisemblablement de Scoti, un jésuite infidèle à sa Compagnie. L’ouvrage “sent plutôt le dépit et l’esprit de rancune que l’amitié sévère et le goût d’une sage réforme. On devine que les Solipses ont dû attribuer ce terrible livre à Scoti, c’est-à-dire à un apostat (...) Le grammairien Restaut, qui a traduit la satire, ne doute pas qu’elle soit d’Inchhofer.” Du Roure II 224-32 21 chapitres dans lesquels sont fustigés le gouvernement des jésuites, la façon insinuante dont ils recrutent, les fables qui courent à leur sujet, leur goût pour les nouveautés, leurs méthodes pédagogiques, leurs moeurs, leurs missions étrangères et leurs revenus, leurs mensonges.
A Amsterdam, Chez Herman Uytwerf, 1753. Petit in-12 de XLIV-[8]-407 pages, plein veau moucheté, dos à 5 nerfs orné de fleurons, encadrements et titre dorés, filet doré sur les coupes, tranches rouges. Reliure un peu frottée, petit manque à la coiffe supérieure, premiers et derniers feuillets brunis en bords.
Satire publiée en latin sous le titre Monarchia Solipsorum en 1645, violent pamphlet contre les jésuites. Tout d'abord attribuée à Melchior Inchofer, un jésuite hongrois, la plupart des biographes la considèrent comme l'oeuvre de son condisciple italien Giulio Clemente Scotti, bien que Barbier précise que l'on "ne peut rien affirmer à ce sujet". [Barbier III, 333].
Amsterdam, Hermann Uytwerf, 1722 in-12, LXX pp., [4] ff. n. ch. (avertissement, table des chapitres, dédicace), 407 pp., basane fauve marbrée, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, pièce de titre bouteille, encadrement de simple filet à froid sur les plats, tranches rouges (reliure de l'époque). Un coin abîmé.
Reprise à l'identique de l'édition de 1721. L'originale latine de ce pamphlet ironique contre la Compagnie de Jésus était apru en 1645 à l'adresse de Venise (Lucii Cornelii Europaei Monarchia solipsorum). Son auteur, le père Giulio Clemente Scotti (1602-1669), ancien profès de la Compagnie, avait quitté la société par faute d'obtenir le poste qu'il convoitait.La traduction et les remarques sont du grammairien Pierre Restaut (1696-1764).Quérard VIII, 580. Backer & Sommervogel VII, 969 (ne fait que signaler en passant cet écrit embarrassant d'un ancien confrère, conformément à cet usage tellement ecclésiastique, mais si peu rigoureux qu'ils avaient adopté : passer sous silence les ouvrages composés par des Jésuites ayant quitté l'Ordre, ce qui rend, sur ce point leur bibliographie fautive). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Amsterdam, s.n., 1721 in-8, LX pp., [4] ff. n. ch. (avertissement, table des chapitres, épître), 407 pp., basane brune écaille, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, pièce de titre fauve, tranches rouges (reliure de l'époque).
Première traduction française. L'originale latine de ce pamphlet ironique contre la Compagnie de Jésus était parue en 1645 à l'adresse de Venise (Lucii Cornelii Europaei Monarchia solipsorum). Son auteur, le père Giulio Clemente Scotti (1602-1669), ancien profès de la Compagnie, avait quitté la société par faute d'obtenir le poste qu'il convoitait.La traduction et les remarques sont du grammairien Pierre Restaut (1696-1764).Quérard VIII, 581. Backer & Sommervogel VII, 969 (ne fait que signaler en passant cet écrit embarrassant d'un ancien confrère, conformément à cet usage tellement ecclésiastique, mais si peu rigoureux qu'ils avaient adopté : passer sous silence les ouvrages composés par des Jésuites ayant quitté l'Ordre, ce qui rend, sur ce point leur bibliographie fautive). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT