Amaterra 2013 In-8 cartonné. Occasion comme neuf. Poids sans emballage : 500 grammes. Magnifique ouvrage, avec découpent, Livre d’enfant ou Livre d’artiste ? Là est la question tellement il est magnifique.
Reference : 53699
ISBN : 2368560262
Très bon état d’occasion
Librairie de l'Avenue
M. Henri Veyrier
Marché aux Puces. 31, rue Lecuyer
93400 Saint-Ouen
France
01 40 11 95 85
Conforme aux usages de la profession
Parfait, Noël / Sergent, Antoine-François (dit Sergent-Marceau) / Baré
Reference : 6364
(1884)
Le Bulletin Des Beaux-Arts 17 x 24 Paris 1884 Notice biographique incomplète (pages 117-123) du peintre-graveur, et homme de la Révolution, Antoine-François Sergent (1751-1847), avec un portrait sous serpente d'Emira Marceau son épouse, parue en plusieurs livraisons dans le Bulletin des beaux-arts, suivie du catalogue (pages 138-162) de son oeuvre (Baré, "Liste des pièces gravées par et d'après Antoine-François Sergent, ainsi que celles gravées par Mme de Cernel" (alias Emira Marceau, soeur du général Marceau], in Le Bulletin des beaux-arts : répertoire des artistes français, 2eme année (1884-1885).
Paule Sergent, François Sergent architecte naval, Chasse-Marée 2006, broché, couverture rempliée, ouvrage illustré de nombreuses photos et de nombreux plans, dédicace et signature de l'Auteure, 205 pages, bel exemplaire.
Photos sur demande.
Paris, Masson, 1938, gr. in-8°, 74 p., non rogné, cachet, brochure originale.
Discours prononcés le 13 février 1938 à l'occ. de la remise de la médaille du Pofesseur E. Sergent. Par les collègues médecins Ribadeau-Dumas, E. de Massary, A. Brault, G.H. Roger, , Ch. Achard, son Excellence Philippe Roy, et une allocution de E. Sergent. Hirsch Nz. 1443.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Paris de l'Imprimerie nationale [1793] 3 p. in-8 En feuille, sous couverture bleue moderne et sous papier cristal Bon exemplaire
Convention nationale, Antoine-François Sergent-Marceau Elu, le 12 septembre 1792, membre de la Convention par le département de Paris, Antoine, François Sergent-Marceau (1751-1847) siégea à la Montagne, et répondit au 3e appel nominal dans le procès du roi : " J'ai déjà prononcé la mort contre les ennemis de ma patrie, qui avaient pris les armes contre elle. J'ai fait plus, j'ai prononcé la même peine contre les êtres faibles qui n'avaient commis peut-être d'autre crime que celui de suivre leurs époux ou leurs pères. Depuis longtemps j'étais convaincu des crimes de Louis. Un de mes collègues a dit qu'un roi mort, ce n'est pas un homme de moins. Je ne suis pas de son avis, et je pense que le supplice d'un roi ne peut qu'étonner l'univers. La tête d'un roi ne tombe qu'avec fracas, et son supplice inspire une terreur salutaire. Après avoir balance tous les dangers, il m'a été démontré dans ma conscience que la mort de Louis était la mesure d'où il en pouvait résulter le moins. Je vote donc pour la mort, et contre le chef et contre ses complices "