E. Dentu, éditeur 1864 Illustrations par Edmond Morin. In-8, demi-maroquin brun, dos à nerfs, 147 pp. Dos passé et frotté. Rares brunissures éparses. Bon exemplaire.
Reference : 43382
Dessins d'après les fresques dessinées par les prisonniers des cellules dites artistiques. Bon état d’occasion
Librairie de l'Avenue
M. Henri Veyrier
Marché aux Puces. 31, rue Lecuyer
93400 Saint-Ouen
France
01 40 11 95 85
Conforme aux usages de la profession. Paiement avec votre carte bancaire par Paypal ou en V.A.D. (Vente à distance sur le site), par virement ou chèque. Les frais de port sont de 9,50 € pour la France pour les colis de moins de 5kg en colissimo (ou 4,50 € en Mondial Relay), 12 € pour les pays de l'Union Européenne (sauf Espagne) en Mondial Relay. Nous consulter pour les autres pays et livres au dessus de 5kg. Notre téléphone : 01 40 11 95 85.
Dentu Paris S.D. (vers 1880) In-8 ( 205 X 150 mm ) de 154 pages, broché sous couverture illustrée. 70 dessins par Edmond MORIN + autres illustrations par différents artistes. 5 edition. Amusant livre retraçant l'histoire de cette prison et la description des graffitis ornant les murs de quelques cellules, occupées par des hommes et des peintres plus ou moins célèbres. Bel exemplaire dans une condition rare.
Paris, E. Dentu, s.d. (1864) in-8, [4] ff. n. ch., 153 pp., avec 70 compositions dans le texte par Edmond Morin, musique notée, demi-chagrin vert poli, dos à nerfs orné, tête dorée, couv. ill. cons. Rousseurs. Dos passé.
Très intéressante monographie, sans doute d'ailleurs l'unique composée sur l'une des prisons parisiennes les moins documentées : l’Hôtel des Haricots, qui se situait au 92 rue de la Gare (actuellement le 55 quai d’Austerlitz), était l’héritier du collège de Montaigu. On y logeait alors des étudiants miséreux et, si on en croit son surnom, assez mal nourris. Après la suppression des collèges en 1791, il servit de prison militaire durant la Révolution. Transféré en 1800 rue des Fossés-Saint-Bernard, il connut une importante fréquentation littéraire et artistique, avec des hôtes aussi illustres qu’Alfred de Musset, Eugène Sue, Honoré de Balzac… tous en délicatesse avec l’institution militaire et le régime en place car il était devenu la prison de la Garde nationale. Albert de Lasalle ou de La Salle (1833-1886) a surtout écrit comme critique musical et historien de la musique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, E. Dentu, s.d. (1864) in-8, [4] ff. n. ch., 153 pp., avec 70 compositions dans le texte par Edmond Morin, musique notée, demi-percaline bleue (reliure de l'époque). Petites usures aux mors. Ex-libris G. Cottreau.
Très intéressante monographie, sans doute d'ailleurs l'unique composée sur l'une des prisons parisiennes les moins documentées : l’Hôtel des Haricots, qui se situait au 92 rue de la Gare (actuellement le 55 quai d’Austerlitz), était l’héritier du collège de Montaigu. On y logeait alors des étudiants miséreux et, si on en croit son surnom, assez mal nourris. Après la suppression des collèges en 1791, il servit de prison militaire durant la Révolution. Transféré en 1800 rue des Fossés-Saint-Bernard, il connut une importante fréquentation littéraire et artistique, avec des hôtes aussi illustres qu’Alfred de Musset, Eugène Sue, Honoré de Balzac… tous en délicatesse avec l’institution militaire et le régime en place car il était devenu la prison de la Garde nationale. Albert de Lasalle ou de La Salle (1833-1886) a surtout écrit comme critique musical et historien de la musique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, E. Dentu, s.d. (1864) in-8, [4] ff. n. ch., 153 pp., avec 70 compositions dans le texte par Edmond Morin, musique notée, broché. Mouillure sur la première partie de l'ouvrage. Ex-libris Yves Louis Mongrolle.
Très intéressante monographie, sans doute d'ailleurs l'unique composée sur l'une des prisons parisiennes les moins documentées : l’Hôtel des Haricots, qui se situait au 92 rue de la Gare (actuellement le 55 quai d’Austerlitz), était l’héritier du collège de Montaigu. On y logeait alors des étudiants miséreux et, si on en croit son surnom, assez mal nourris. Après la suppression des collèges en 1791, il servit de prison militaire durant la Révolution. Transféré en 1800 rue des Fossés-Saint-Bernard, il connut une importante fréquentation littéraire et artistique, avec des hôtes aussi illustres qu’Alfred de Musset, Eugène Sue, Honoré de Balzac… tous en délicatesse avec l’institution militaire et le régime en place car il était devenu la prison de la Garde nationale. Albert de Lasalle ou de La Salle (1833-1886) a surtout écrit comme critique musical et historien de la musique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, E. Dentu, s.d. (1864) in-8, [4] ff. n. ch., 153 pp., avec 70 compositions dans le texte par Edmond Morin, musique notée, demi-percaline violine à la Bradel, couv. ill. cons. Rousseurs. Deux ex-libris .
Très intéressante monographie, sans doute d'ailleurs l'unique composée sur l'une des prisons parisiennes les moins documentées : l’Hôtel des Haricots, qui se situait au 92 rue de la Gare (actuellement le 55 quai d’Austerlitz), était l’héritier du collège de Montaigu. On y logeait alors des étudiants miséreux et, si on en croit son surnom, assez mal nourris. Après la suppression des collèges en 1791, il servit de prison militaire durant la Révolution. Transféré en 1800 rue des Fossés-Saint-Bernard, il connut une importante fréquentation littéraire et artistique, avec des hôtes aussi illustres qu’Alfred de Musset, Eugène Sue, Honoré de Balzac… tous en délicatesse avec l’institution militaire et le régime en place car il était devenu la prison de la Garde nationale. Albert de Lasalle ou de La Salle (1833-1886) a surtout écrit comme critique musical et historien de la musique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT