Hazan 1991 In-4 reliure éditeur sous jaquette, 143 pp. Illustrations noir & couleurs
Reference : 2728
ISBN : 2850252476
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Paris Bernheim-Jeune 1926 En feuilles
Catalogue invitation à l'exposition organisée du 1er juin au 30 juin 1926, au profit de la caisse du Monument Cézanne. Liste des 58 oeuvres exposées. 1 reproduction en noir, autoportrait du peintre. Dépliant à trois volets, 16,4 x 12,2 cm. Trace d'étiquette. Assez bon 0
Hrsg. Felix A. Baumann, Poul Erik T?jner, Texte von Felix A. Baumann, Tobia Bezzola, Inken D. Freudenberg, Donat Rutimann, Poul Erik T?jner, Veronique Wiesinger
Reference : 28701
, Cantz , 2008 Bound, Hardcover, Gebunden mit Schutzumschlag, 360 Seiten, 219 Abb., davon 195 farbig. 21,70 x 27,70 cm, ISBN 9783775720892.
Paul Cezanne (1839? 1906) for more than a century of "Artist of Artist, and an end to the risk of his work, inspiration is not in sight. Although more than 60 years between them to push the parallels between life and works by Cezanne, Alberto Giacometti (1901? 1966) is a natural. Both men began with a strong creative period, marked by sexuality and inner struggles, to a significant creative change, they turn to the problem of representation was realistic. Although Giacometti's work style does not appear to have similarities to those of Cezanne, but he referred often to the master from Aix-en-Provence. This publication examines the development of this relationship and demonstrates how the consideration of Giacometti's work to Cezanne's artistic achievement can be shown in a new light. The essays examine the artistic links between the works of two great artists. Text in English
1911 br. (couv. détachées). plaq. in-8, 12pp., illustré, P. Bernheim Jeune 1911
Un comité s'est formé pour ériger un monument à Cézanne dans sa ville d'Aix. L'œuvre de Maillol est en cours d'exécution et est photographiée sur la Ier et 2eme couverture. La plupart des œuvres mises aux enchères ont été offertes par leurs auteurs Picasso, Renoir, Vuillard et autres…
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Izdanie Otdela Izobrazitel'nikh Iskysstv [ Éditions du département d'art visuel] Narkompros [ Commissariat du peuple à l'Éducation] | s. l. [Petrograd] s. d. [1920] | 17.50 x 11.50 cm | agrafé, 16p.
«La place qu'a occupée le texte dans l'uvre de Malevitch est immense, à la fois à titre d'enseignement, à titre de réflexion personnelle sur la peinture et l'art en général, et à titre stratégique. (...) On y découvre le cheminement intellectuel de l'artiste et ce qui l'a conduit au suprématisme. Loin de n'être qu'une théorie esthétique, le suprématisme est une philosophie et un engagement politique, visant à la libération de l'individu.» Edition originale d'une grande rareté. Petite fente au pied du dos, tampon violet avec le prix sur le second plat et petite trace sur le premier plat du tampon d'un autre exemplaire. Très bel exemplaire. Publié deux ans après son chef d'uvre Carré blanc sur fond blanc, ce manifeste composé à partir de son précédent traité théorique «Des nouveaux systèmes en art» de 1919 est un des écrits majeurs de Malevitch. Rédigée à l'apogée de sa recherche artistique, cette synthèse de la pensée créatrice de Malevitch pose les fondements théoriques du Suprématisme, appréhendé non comme une rupture avec le passé mais au contraire comme l'aboutissement d'une histoire de l'Art affranchi des «illusions du monde sensible». Ainsi, Malevitch instaure une généalogie intellectuelle prenant ses racines dans l'uvre de Cézanne, Van Gogh et Monet, traversant le Cubisme et le Futurisme pour aboutir au Suprématisme, cette «affirmation de la totale souveraineté de la peinture en tant que telle, du triomphe de la couleur qui dans sa matérialité même, dans ses vibrations, son énergie intrinsèque, divulgue la réalité abyssale dans laquelle se fondent jusqu'à disparaître, les objets.» (Jean-Claude Marcadé, postface de De Cézanne au suprématisme, 1993). Connut pour son uvre picturale, Malevitch fut aussi un théoricien de génie. Or, contrairement à d'autres, sa réflexion artistique ne précède pas son uvre, elle l'accomplit. Il délaisse d'ailleurs la création entre 1919 et 1920 pour se consacrer à ce travail théorique, qui restera abscons pour beaucoup de ses contemporains. La revue marxiste Petchat' i révolyoutsiya ne verra dans De Cézanne au Suprématisme qu'« un ramassis de phrases ineptes ». Il est cependant exact que ce court traité, sublimant l'ambition suprématiste, comporte des coupes visibles, peut-être attribuables à la censure officielle. Mais ces réserves peuvent également être le fait de Malevitch lui-même. En effet, publié par le «Commissariat du peuple à l'Éducation» dirigé par son ami et grand défenseur des arts, Anatoli Lounatcharski ce fascicule est bien plus qu'un simple résumé du travail théorique de Malevitch. Comme l'analyse Jean-Claude Marcadé, cette «brochure imprimée à Moscou était appelée à avoir une diffusion plus grande dans les milieux artistiques que (...) les petites éditions artisanales de l'Ecole de Vitebsk où Malevitch essayait d'imposer son esthétique, sa pédagogie et sa méthodologie sous le signe de l'Affirmation du Nouveau Art (OUNOVIS). Sa querelle fondamentale avec le matérialisme officiel et surtout l'art figuratif, fait place [ici] à une analyse des origines de l'art non figuratif total (Cézanne, le cubisme, le futurisme) qui vise à démontrer aux adversaires de l'art abstrait le sérieux, le caractère scientifique, la logique inébranlable et la légitimité (...) de l'évolution des arts plastiques. (...) De Cézanne au suprématisme est moins une uvre offensive qu'une démonstration du caractère inéluctable de la «déduction» suprématiste.» La brièveté de ce fascicule contribue ainsi à l'élever au rang de Manifeste, au service d'une volonté révolutionnaire de métamorphose collective des «manifestations humaines». Cette intention auctoriale est servie par le format réduit du volume et la composition suprématiste de la couverture blanche au titre éloquent imprimé en quinconce qui pose la modernité russe en héritière de la révolution picturale européenne et le blanc en «déduction» de la couleur. Ce titre synthèse de la pensée de Malevitch sera d'ailleurs choisi par s
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H. Floury | Paris 1906 | 20.50 x 27 cm | relié
Edition originale, un des 100 exemplaires sur japon, seuls grands papiers. Reliure en demi chagrin maroquiné bleu marine à coins avec reprise de teinte, dos à quatre nerfs soulignés de filets dorés et orné d'un jeu de septuples filets dorés en encadrement, plats de papier à effet moiré, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure signée J. Querelle. * Superbe exemplaire sur japon de la première publication d'autorité sur l'histoire de l'impressionnisme, et toute première édition bibliophilique consacrée à ce mouvement. Edition illustrée de 6 eaux-fortes originales de Pissarro (Les Faneuses) ;Renoir(Femme nue assiseetFemme nue couchée) ;une des trois seules eaux-fortes de Cézanne (Portrait de Guillaumin) ;Armand Guillaumin (Vue près de Saardam) -l'exemplaire est bien complet de l'eau-forte supplémentaire de Renoir sur bistre"Femme nue assise"réservée aux exemplaires sur japon. L'ouvrage est par ailleurs illustré d'une héliogravure de l'Atelier aux Batignolles de Fantin-Latour en frontispice. Outre les six eaux-fortes originales, il compte 21 planches hors-texte, notamment une héliogravure en couleurs du fameux Impression soleil levant, et pas moins de 105 reproductions d'uvres et portraits d'artistes dans le texte. Théodore Duret brosse ici la grande histoire du mouvement qu'il a soutenu, collectionné et théorisé dès ses débuts. En 1878, il avait déjà fourni une petite étude qui offrit l'occasion d'être le premier exégète de ces artistes, sinon du groupe lui-même, quatre ans après leur première exposition dans l'atelier de Nadar, au 35 boulevard des Capucines. Vingt ans après la dernière exposition Impressionniste, il établit le canon de cette épopée artistique : «l'histoire de l'impressionnisme, est, pour le début du siècle et les décennies à venir, Histoire des peintres impressionnistes» (Laura Iamurri). Réputée pour son exactitude chronologique - bien qu'à beaucoup d'égards Duret puise dans ses propres souvenirs -, la publication fera autorité et connut de nombreuses rééditions et traductions (Londres, Grant Richards, 1910; Berlin, B. Cassirer 1909). Duret consacre une monographie à chaque peintre qu'il cite, à l'exception de Caillebotte, et place Berthe Morisot dans le «groupe primordial des impressionnistes». Absents de son étude de 1878, Paul Cézanne (aujourd'hui considéré comme post-impressionniste) et Armand Guillaumin font ici leur apparition. Véritable galerie d'art sur papier japon, ce «texte de référence pour des générations de lecteurs» (Laura Iamurri) inscrit pour la première fois l'impressionnisme dans l'histoire officielle de l'art français. Absent de Carteret. Eaux-fortes de Renoir (Delteil 12, 14, 15) ; Camille Pissarro (Delteil 94/XII), Cézanne (Venturi 1159) ; Armand Guillaumin (Armand Guillaumin, 1841-1927, gravures et lithographies, 1995, p. 41). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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