A. Ballue, éditeur - Paris, Librairie des Arts & London, 134, New Bond Street 1879 Direction générale et Rédaction en Chef : Eugène Veron et Charles Tardieu - Direction artistique Léon Gaucherel. Cinquième année - Tome 1er Tome XVI de la collection. Thèmes abordés : “L’exposition Universelle de 1878” Articles et reproductions d’oeuvre sur les artistes orientalistes tels que Fromentin, Delacroix,.. Textes de Viollet-le-duc, de Champollion, dessins de Lalauze, de Regamey, gravures de Callot, Delacroix, Gustave Doré, Géricault, Regamey, Yan d’Argent, Greuze, Articles sur Raffet, Detaille, ...
Reference : 19684
2 volumes. In-folio, reliure d’époque amateur demi-chagrin rouge à coins. Premier mors fragilisé. Bon état d’occasion
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1879. Tome IV de la 5e année. (Tome XIX de la collection). 322 pages. " Françoise de Rimini dans la légende, l'art et l'histoire ", par Charles Yriarte. " Les Dessins de maîtres anciens ", par Georges Berger. " Edwin Edwards ", par Philippe Burty. " Notice sur quelques peintures murales par Corot ", par Alfred Robaut 38 gravures hors texte. Reliure demi-chagrin bleu nuit à coins, tranche supérieure dorée. Bon état (malgré de légers frottements à la reliure et quelques rousseurs éparses). Tables et index en fin de volume.
Le premier numéro de l'Art, " Revue hebdomadaire illustrée ", paraît à Paris le 3 janvier 1875 sous la direction d'Eugène Véron, en association avec la Librairie de l'Art, sise 3 rue de la Chaussée d'Antin et dirigée par Hippolyte Heymann, qui devient gérant du périodique. De format in-plano, soit 43,5 x 23,5 cm, imprimée avec soin sur un beau papier, elle est d'un prix élevé, à savoir 200 francs pour un abonnement à l'année, ce qui représente près de 4 francs par exemplaire (à cette époque, le prix moyen d'un quotidien était de 5 centimes). Véron, militant républicain laïque, auteur d'essais d'histoire de l'art et d'histoire sociale, vise un lectorat de bourgeois cultivés. Sa revue est abondamment illustrée de gravures de toutes sortes : d'abord des traductions de tableaux et motifs anciens, qu'il commande à une dizaine de dessinateurs et graveurs d'interprétation comme Léon Gaucherel et Auguste-Hilaire Léveillé, auteurs du motif principal de la revue, conçu d'après le Moïse de Michel-Ange ; on y trouve aussi de nombreuses gravures originales, essentiellement à l'eau-forte. C'est pourquoi Véron fait appel à Chauvel et Jacquemart, deux aquafortistes réputés.La revue traite aussi bien des antiquités, des peintres de la Renaissance au XVIIIe siècle, que des modernes.
1880. Tome I de la 6e année. (Tome XX de la collection). 329 pages. " La Victoire de Samothrace ", par L. de Ronchaud. " Les Phénomènes de la vision ", par D. Sutter. " Le Musée Carnavalet ", par Victor Champier. " Mérimée, critique d'art ", par Maurice Tourneux. " Les Pensionnaires du Louvre ", par Louis Leroy. " Le Japonisme ", par Le Blanc du Vernet 26 gravures hors texte. Reliure demi-chagrin bleu nuit à coins, tranche supérieure dorée. Bon état (malgré de légers frottements à la reliure et quelques rousseurs éparses). Tables et index en fin de volume.
Le premier numéro de l'Art, " Revue hebdomadaire illustrée ", paraît à Paris le 3 janvier 1875 sous la direction d'Eugène Véron, en association avec la Librairie de l'Art, sise 3 rue de la Chaussée d'Antin et dirigée par Hippolyte Heymann, qui devient gérant du périodique. De format in-plano, soit 43,5 x 23,5 cm, imprimée avec soin sur un beau papier, elle est d'un prix élevé, à savoir 200 francs pour un abonnement à l'année, ce qui représente près de 4 francs par exemplaire (à cette époque, le prix moyen d'un quotidien était de 5 centimes). Véron, militant républicain laïque, auteur d'essais d'histoire de l'art et d'histoire sociale, vise un lectorat de bourgeois cultivés. Sa revue est abondamment illustrée de gravures de toutes sortes : d'abord des traductions de tableaux et motifs anciens, qu'il commande à une dizaine de dessinateurs et graveurs d'interprétation comme Léon Gaucherel et Auguste-Hilaire Léveillé, auteurs du motif principal de la revue, conçu d'après le Moïse de Michel-Ange ; on y trouve aussi de nombreuses gravures originales, essentiellement à l'eau-forte. C'est pourquoi Véron fait appel à Chauvel et Jacquemart, deux aquafortistes réputés.La revue traite aussi bien des antiquités, des peintres de la Renaissance au XVIIIe siècle, que des modernes.
1876. Tome IV de la 2e année. (Tome VII de la collection). 350 pages. " Un Cahier de Pierre-Paul Prud'hon ", par Ph. Burty. " Joseph Vernet ", par A. Genevay. " Sainte-Marie de la Spina et la Chaire de Giovanni Pisano ", par Luiggi Mussini. " J.-B. Hüet ", par A. Genevay. " Jean de Bologne ", par René Ménard. " Turner et Claude Lorrain ", par Philip Gilbert Hamerton 46 gravures hors texte. Reliure demi-chagrin bleu nuit à coins, tranche supérieure dorée. Bon état (malgré de légers frottements à la reliure et quelques rousseurs éparses). Tables et index en fin de volume.
Le premier numéro de l'Art, " Revue hebdomadaire illustrée ", paraît à Paris le 3 janvier 1875 sous la direction d'Eugène Véron, en association avec la Librairie de l'Art, sise 3 rue de la Chaussée d'Antin et dirigée par Hippolyte Heymann, qui devient gérant du périodique. De format in-plano, soit 43,5 x 23,5 cm, imprimée avec soin sur un beau papier, elle est d'un prix élevé, à savoir 200 francs pour un abonnement à l'année, ce qui représente près de 4 francs par exemplaire (à cette époque, le prix moyen d'un quotidien était de 5 centimes). Véron, militant républicain laïque, auteur d'essais d'histoire de l'art et d'histoire sociale, vise un lectorat de bourgeois cultivés. Sa revue est abondamment illustrée de gravures de toutes sortes : d'abord des traductions de tableaux et motifs anciens, qu'il commande à une dizaine de dessinateurs et graveurs d'interprétation comme Léon Gaucherel et Auguste-Hilaire Léveillé, auteurs du motif principal de la revue, conçu d'après le Moïse de Michel-Ange ; on y trouve aussi de nombreuses gravures originales, essentiellement à l'eau-forte. C'est pourquoi Véron fait appel à Chauvel et Jacquemart, deux aquafortistes réputés.La revue traite aussi bien des antiquités, des peintres de la Renaissance au XVIIIe siècle, que des modernes.
1878. Tome III de la 4e année. (Tome XIV de la collection). 339 pages. Une large partie de ce volume est consacrée à l'Exposition Universelle de 1878. " La Peinture au Salon de Paris 1878 ", par Eugène Véron. " Les Bâtiments de l'Exposition Universelle de 1878 ", par Viollet-le-Duc. " La Ca d'Oro ", par Victor Ceresole. " Les Portraits de Marie-Antoinette ", par le baron de Vinck. " Albert Dürer ", par Eugène Véron 38 gravures hors texte. Reliure demi-chagrin bleu nuit à coins, tranche supérieure dorée. Bon état (malgré de légers frottements à la reliure et quelques rousseurs éparses). Tables et index en fin de volume.
Le premier numéro de l'Art, " Revue hebdomadaire illustrée ", paraît à Paris le 3 janvier 1875 sous la direction d'Eugène Véron, en association avec la Librairie de l'Art, sise 3 rue de la Chaussée d'Antin et dirigée par Hippolyte Heymann, qui devient gérant du périodique. De format in-plano, soit 43,5 x 23,5 cm, imprimée avec soin sur un beau papier, elle est d'un prix élevé, à savoir 200 francs pour un abonnement à l'année, ce qui représente près de 4 francs par exemplaire (à cette époque, le prix moyen d'un quotidien était de 5 centimes). Véron, militant républicain laïque, auteur d'essais d'histoire de l'art et d'histoire sociale, vise un lectorat de bourgeois cultivés. Sa revue est abondamment illustrée de gravures de toutes sortes : d'abord des traductions de tableaux et motifs anciens, qu'il commande à une dizaine de dessinateurs et graveurs d'interprétation comme Léon Gaucherel et Auguste-Hilaire Léveillé, auteurs du motif principal de la revue, conçu d'après le Moïse de Michel-Ange ; on y trouve aussi de nombreuses gravures originales, essentiellement à l'eau-forte. C'est pourquoi Véron fait appel à Chauvel et Jacquemart, deux aquafortistes réputés.La revue traite aussi bien des antiquités, des peintres de la Renaissance au XVIIIe siècle, que des modernes.
1879. Tome II de la 5e année. (Tome XVII de la collection). 323 pages. " Auguste Préault ", par Ernest Chesneau. " David Scott ", par Mary M. Heaton. " Les Fresques de Tiepolo à Vicence ", par Charles Tardieu. " La Peinture au Salon de Paris 1879 ", par Eugène Véron. " Trois cartons pour vitraux d'Eugène Delacroix ", par A. Robaut. " Le Liber Studiorum de Turner ", par Frederick Wedmore 28 gravures hors texte. Reliure demi-chagrin bleu nuit à coins, tranche supérieure dorée. Bon état (malgré de légers frottements à la reliure et quelques rousseurs éparses). Tables et index en fin de volume.
Le premier numéro de l'Art, " Revue hebdomadaire illustrée ", paraît à Paris le 3 janvier 1875 sous la direction d'Eugène Véron, en association avec la Librairie de l'Art, sise 3 rue de la Chaussée d'Antin et dirigée par Hippolyte Heymann, qui devient gérant du périodique. De format in-plano, soit 43,5 x 23,5 cm, imprimée avec soin sur un beau papier, elle est d'un prix élevé, à savoir 200 francs pour un abonnement à l'année, ce qui représente près de 4 francs par exemplaire (à cette époque, le prix moyen d'un quotidien était de 5 centimes). Véron, militant républicain laïque, auteur d'essais d'histoire de l'art et d'histoire sociale, vise un lectorat de bourgeois cultivés. Sa revue est abondamment illustrée de gravures de toutes sortes : d'abord des traductions de tableaux et motifs anciens, qu'il commande à une dizaine de dessinateurs et graveurs d'interprétation comme Léon Gaucherel et Auguste-Hilaire Léveillé, auteurs du motif principal de la revue, conçu d'après le Moïse de Michel-Ange ; on y trouve aussi de nombreuses gravures originales, essentiellement à l'eau-forte. C'est pourquoi Véron fait appel à Chauvel et Jacquemart, deux aquafortistes réputés.La revue traite aussi bien des antiquités, des peintres de la Renaissance au XVIIIe siècle, que des modernes.