Flammarion 1983 In-8 broché, 191 pp. Bel exemplaire.
Reference : 12247
ISBN : 2350276724
Edition originale numérotée, un des 50 sur vélin alfa. Bon état d’occasion Edition originale
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<p>«Le rire est le propre de l'homme« selon Rabelais. On pourrait même jurer qu'il est le propre de notre époque. Après tout, l'humour et la dérision sont partout, sur la scène comme sur les bancs de l'Assemblée Nationale, en passant évidemment par nos écrans. Le rire, une passion moderne ? Son omniprésence dans l'Athènes de l'époque classique suffit à démentir ce postulat : la parrhèsia - la liberté de tout dire - y était portée comme un étendard, loin du politiquement correct de nos contemporains. C'est d'ailleurs là que, pour la première fois, des penseurs comme Platon ou Aristote, ont pris le rire au sérieux. Cet ouvrage les prend au (bon) mot. Son but ? Démêler les liens charnels qu'entretiennent dérision et politique dans la cité démocratique. Jean-Noël Allard fait dialoguer Aristophane et Bourdieu, Démosthène et Habermas, Xénophon et Durkheim ; et dessine le portrait d'une communauté profondément structurée par le rire. Entre joutes verbales et plaisanteries subtiles, invectives tribuniciennes et railleries démagogiques, caricatures comiques et injures dionysiaques, le lecteur découvrira, sans ironie, l'un des fondements oubliés de la démocratie : la moquerie comme art de vivre, la dérision comme institution. </p> Paris, 2021 Belles Lettres 350 p., broché à rabats. 15 x 21,5
Neuf
Bureau de la revue. Septembre 1949. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 328 à 479.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Littérature de dérision ou littérature de résurrection ? - Repère pour une littérature de dérision par Bertrand d'Astorg, D'un romanesque concentrationnaire par Jean Cayrol, Un romancier de la passivité, François Mauriac par C.E. Magny, Le prolétariat, mythe ou réalité par Henri Bartoli Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Esprit | Paris Septembre 1949 | 14.50 x 22.50 cm | broché
Edition originale du numéro de cette importante revue humaniste fondée par Emmanuel Mounier, un des 50 exemplaires numérotés sur alma du Marais, seuls grands papiers. Ce numéro comporte un principale partie : -Littérature de dérision ou littérature de résurrection avec des textes de Bertrand d'Astorg "Repères pour une littérature de dérision", Jean Cayrol "D'un romanesque concentrationnaire", C.E. Magny "Un romancier de la passivité : François Mauriac", Autres articles de Henri Bartoli "Le prolétariat, mythe ou réalité ?", Adrian Miatlev "Tryptique pour Antonin Artaud". Taches sur le deuxième plat, quelques petites rousseurs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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London W. & J. Stratford 1792 Première édition. Un bel exemplaire de cette gravure, qui a été habilement colorée à la main. A l'origine pour l'Histoire de l'Angleterre d'Ashburton, elle est maintenant conservée sous passe partout. La plaque est en bon état, propre et légèrement assombrie. Le bord est légèrement rugueux à l'endroit où elle était reliée à l'origine dans le livre. La gravure mesure 23 cm x 39 cm. La monture mesure 33 cm x 45 cm. La scène dans laquelle la reine Marguerite place une couronne de papier sur la tête du duc d'York est l'un des moments les plus mémorables de la pièce de William Shakespeare Henry VI, partie 3. L'épisode se déroule pendant la guerre des Deux-Roses, une série de conflits dynastiques entre les maisons de Lancastre et d'York pour le trône d'Angleterre au XVe siècle. Après la bataille de Wakefield (1460), Richard, duc d'York, est capturé par les forces lancastriennes dirigées par la reine Marguerite d'Anjou. Dans un acte de dérision cruelle, Marguerite et ses alliés se moquent de York pour son échec dans ses prétentions au trône. Elle place une couronne de papier sur sa tête, ridiculisant ses ambitions royales, avant d'ordonner son exécution. "York ne peut pas parler s'il ne porte pas de couronne. Une couronne pour York ! et, messieurs, inclinez-vous devant lui : Tenez-lui les mains, pendant que je la lui mets. (mettant une couronne de papier sur sa tête) Ay, marry, sir, now looks he like a king !" (Henri VI, troisième partie, acte 1, scène 4).
First edition. A lovely copy of this engraving, which has been skillfully hand coloured. Originally for Ashburton's History of England, it is now held beneath passe partout. The plate is in good, clean fractionally darkened condition. Slightly rough edge where originally bound into the book. Engraving is 23cm x 39cm. Mount is 33cm x 45cm. The scene in which Queen Margaret places a paper crown on the head of the Duke of York is one of the most memorable moments in William Shakespeare's play Henry VI, Part 3. The episode occurs during the Wars of the Roses, a series of dynastic conflicts between the houses of Lancaster and York for the English throne in the 15th century. After the Battle of Wakefield (1460), Richard, Duke of York, is captured by the Lancastrian forces led by Queen Margaret of Anjou. In an act of cruel mockery, Margaret and her allies taunt York for his failed claim to the throne. She places a paper crown on his head, ridiculing his royal ambitions before ordering his execution. "York cannot speak, unless he wear a crown. A crown for York! and, lords, bow low to him: Hold you his hands, whilst I do set it on. (Putting a paper crown on his head) Ay, marry, sir, now looks he like a king!" (Henry VI, Part 3, Act 1, Scene 4). .
Buchet-Chastel, 2007. In-8 broché de 238 pages, couverture illustrée. A l'état de neuf.
"Les histoires drôles et la dérision ont toujours été parmi les principaux recours des peuples confrontés au drame, à l'adversité, à l'oppression. De la révolution d'Octobre à l'effondrement du régime, le communisme a donné lieu, en URSS et dans les pays satellites, à une profusion d'anecdotes humoristiques dont beaucoup sont ravageuses. Elles couvrent les différents aspects de la vie, depuis la répression politique jusqu'au casse-tête de la vie quotidienne, sans oublier la sexualité ou l'idéologie dont les travers sont passés au crible. Et surtout, elles en disent long sur l'état d'esprit d'une société qui avait appris à pratiquer, comme un grand art, le double langage - parfois jusqu'à la schizophrénie . On découvrira, au fil des pages et des éclats de rire dont leur lecture sera émaillée, que si le ridicule n'a pas vaincu le communisme, il a largement contribué à sa défaite".