Éditions Pierre Charron, coll. « Les Géants » 1973 In-8 reliure éditeur simili cuir. 21,6 cm sur 16,2. 135 pages. Illustrations en couleurs et en noir et blanc in et hors-texte. Jaquette effrangée sinon bon état. Bon état d’occasion.
Reference : 118400
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Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1966 In-12 ( 175 X 110 mm ) de 321 pages, pleine basane havane sous rhodoïd et étui de carton gris. Iconographie réunie et commentée par V. DEL LITTO. 463 illustrations. Jaquette absente, très bel exemplaire.
Artisans Imprimeurs Paris 1927 Petit in-4 carré ( 255 X 200 mm ) de 51 pp. n.ch., demi-chagrin rouge à coins à la bradel, dos lisse janséniste, couverture imprimée rempliée et dos conservés, non rogné ( Reliure signée de Ad. LAVAUX ). Edition réservée à la Société Stendhalienne, 1 des 8 exemplaires du tirage de tête numérotés sur Chine ancien ( N°4 ). Edition établiée par Pascal PIA et André MALRAUX et publiée en 1927 par Louis CHEVASSON. "Cette édition a été presque entièrement achetée par Dorbon aîné" ( Pia ). Très bel exemplaire, très rare sur Chine. Pia 379. Dutel 1452. Nordmann, Première partie 390.
Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1966 In-12 ( 175 X 110 mm ) de 321 pages, pleine basane havane sous jaquette illustrée, rhodoïd et étui de carton gris. Iconographie réunie et commentée par V. DEL LITTO. 463 illustrations. Très bel exemplaire.
broché - 16 x 24 - pages 105 à 207 - 32 ème année - N°126 - revue trimestrielle 15 janvier 1990 - revue publiée avec le concours du centre national des lettres " BEAUREGARD" 3, montée Maurice GIGNOUX 38000 GRENOBLE.
Exemplaire dans une condition exceptionnelle, en pleine reliure à la cathédrale. Elle est sortie de l’atelier d’Edme Vivet, relieur et papetier parisien. Paris, Delaunay, 1826. 2 volumes in-8 de I/ (2) ff., 304 pp. ; II/ (2) ff., 348 pp. Veau havane, bordure formée de deux filets noirs et d'une roulette palmée à froid, grande plaque à la cathédrale frappée à froid, dos ornés avec nerfs soulignés d'une roulette dorée, caissons décorés d'une palette à froid, pièces de titre et de tomaison vertes, roulette intérieure à froid, tranches dorées. Reliure à la cathédrale de l’époque signée Ed. Vivet, praticien né à Dresde, actif à Paris entre 1820 et 1850. 200 x 119 mm.
Edition en grande partie originale, augmentée d'un volume, en réalité un nouvel ouvrage, entièrement récrit par Stendhal. « C'est en réalité un ouvrage entièrement nouveau, complètement récrit par Stendhal et augmenté d'un volume ». Le premier texte, fort différent, avait été publié en 1817. « L’édition de 1826 a donc reçu de considérables additions. Stendhal insère des anecdotes nouvelles ou développe celles qu'il n'avait qu'ébauchées ou annoncées, comme les anecdotes de Catalani et de Gina ». (Chuquet, p. 317). Stendhal « officier de cavalerie », « qui a cessé de se considérer comme Français depuis 1814 », y prend le pseudonyme sous lequel il devait devenir célèbre. Le récit s'attache à l'itinéraire fictif d'un voyage que l'auteur aurait fait en 1816 et 1817, de Milan à Bologne, Florence, Rome, Naples, et par la suite de Rome à Florence, Bologne, Ancôme, Padoue, Venise et Milan. En réalité, Beyle vit Padoue et Venise en 1813 et en 1815. En 1826, l’œuvre fut imprimée dans une seconde version entièrement refaite et augmentée du double environ : l'itinéraire y est simplifié, bien qu'il s’y ajoute quelques déviations (par exemple en Calabre), ce qui permet à Stendhal de s'étendre davantage sur les anecdotes et les coutumes. L'Italie de ce temps permettait au jeune auteur de croire qu'il allait au-devant du bonheur : le magnifique développement des arts, la légèreté et tout à la fois le caractère absolu des sentiments, haine ou amour, les habitudes d'une société galante et pleine de vie le rendent intensément attentif au présent et curieux de cette civilisation séculaire. Rome, Naples et Florence lui semblent être les trois villes de l'esprit, pour la liberté des entretiens, l'activité des peintres et des musiciens, et la beauté des femmes. En proie aux transports d'un hédonisme raffiné, Stendhal passe avec ravissement d'un lieu à un autre, des lacs lombards aux rives de l'Arno, et au Vésuve, ne celant point son dédain pour les « âmes sèches » qui ne comprennent pas la beauté de la création artistique et l'agréable vie d'une société qui n'a de compte à rendre qu'à elle-même et qui aspire aux plus hautes destinées. Et c'est dans son éloge de Milan que le livre atteint à une parfaite originalité, sur le plan littéraire. Plus tard, Stendhal devait compléter ce brillant aperçu sur l'Italie au XIXe siècle par ses Promenades dans Rome. Dictionnaire des Œuvres, V, 823. Exemplaire dans une condition exceptionnelle, en pleine reliure à la cathédrale. Elle est sortie de l’atelier d’Edme Vivet, relieur et papetier parisien. Les reliures portant cette signature sont très rares. Cette formule, unique à l’époque, Re[lié] chez Ed[me] Vivet, a amené Paul Culot, Relieurs et reliures décorées en France à l’époque romantique, p.570, à penser que Vivet n’exerçait pas lui-même le métier de relieur. De la bibliothèque B. Loliée.