Paris, Garnier frères, Libraires, impr. Typ. de Mme Ve Dondey-Dupré, à Paris 1852 In-12 18 x 12 cm. Broché, couverture beige, auteur & titre en noir sur le dos et le premier plat, 281 pp., table des matières. édition originale. Couverture ternie, intérieur correct, en l’état.
Reference : 114237
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Paris, Garnier frères, 1852 in-12, [2] ff. n. ch., 281 pp., un f. n. ch. de table, demi-percaline noire (reliure de l'époque). début de fente au mors supérieur, reliure modeste.
Édition originale de cette analyse du Coup d'État de Louis-Napoléon publiée encore "à chaud" (l'ouvrage sortit en août 1852) et qui manifeste plus que tout autre titre l'ambiguïté parfois brumeuse du théoricien anarcho-socialiste, le même qui d'ailleurs ne joua aucun rôle dans la résistance et déconseilla à Hugo toute initiative en ce sens. C'est que le personnage du Prince-Président lui semble ambivalent et en partie favorable à ses vues sociales : "Louis-Napoléon est, de même que son oncle, un dictateur révolutionnaire, mais avec cette différence que le Premier Consul venait clore la première phrase de la Révolution, tandis que le Président ouvre la seconde". Il voit conséquemment en lui l'homme de la révolution sociale, l'héritier de la révolution de 1848, et pense que le mouvement de 1848 a été si profond que Louis-Napoléon sera contraint de prendre ses idées à la République sociale et de les réaliser.D'où le souhait : "Que le Deux-Décembre (…) transforme en hommes ces prolétaires, grande armée du suffrage universel, baptisés enfants de Dieu et de l'Église, et qui manquent à la fois de science, de travail et de pain. Tel est son mandat. Telle est sa force". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Garnier frères, 1852 in-12, [2] ff. n. ch., 281 pp., un f. n. ch. de table, demi-toile chagrinée verte modeste, dos lisse, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Pages roussies.
Édition originale de cette analyse du Coup d'État de Louis-Napoléon publiée encore "à chaud" (l'ouvrage sortit en août 1852) et qui manifeste plus que tout autre titre l'ambiguïté parfois brumeuse du théoricien anarcho-socialiste, le même qui d'ailleurs ne joua aucun rôle dans la résistance et déconseilla à Hugo toute initiative en ce sens. C'est que le personnage du Prince-Président lui semble ambivalent et en partie favorable à ses vues sociales : "Louis-Napoléon est, de même que son oncle, un dictateur révolutionnaire, mais avec cette différence que le Premier Consul venait clore la première phrase de la Révolution, tandis que le Président ouvre la seconde". Il voit conséquemment en lui l'homme de la révolution sociale, l'héritier de la révolution de 1848, et pense que le mouvement de 1848 a été si profond que Louis-Napoléon sera contraint de prendre ses idées à la République sociale et de les réaliser.D'où le souhait : "Que le Deux-Décembre (…) transforme en hommes ces prolétaires, grande armée du suffrage universel, baptisés enfants de Dieu et de l'Église, et qui manquent à la fois de science, de travail et de pain. Tel est son mandat. Telle est sa force". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Garnier frères, 1852 in-12, [2] ff. n. ch., 281 pp., un f. n. ch. de table, demi-basane verte, dos lisse orné (reliure de l'époque). Pages roussies. Dos passé.
Édition originale de cette analyse du Coup d'État de Louis-Napoléon publiée encore "à chaud" (l'ouvrage sortit en août 1852) et qui manifeste plus que tout autre titre l'ambiguïté parfois brumeuse du théoricien anarcho-socialiste, le même qui d'ailleurs ne joua aucun rôle dans la résistance et déconseilla à Hugo toute initiative en ce sens. C'est que le personnage du Prince-Président lui semble ambivalent et en partie favorable à ses vues sociales : "Louis-Napoléon est, de même que son oncle, un dictateur révolutionnaire, mais avec cette différence que le Premier Consul venait clore la première phrase de la Révolution, tandis que le Président ouvre la seconde". Il voit conséquemment en lui l'homme de la révolution sociale, l'héritier de la révolution de 1848, et pense que le mouvement de 1848 a été si profond que Louis-Napoléon sera contraint de prendre ses idées à la République sociale et de les réaliser.D'où le souhait : "Que le Deux-Décembre (…) transforme en hommes ces prolétaires, grande armée du suffrage universel, baptisés enfants de Dieu et de l'Église, et qui manquent à la fois de science, de travail et de pain. Tel est son mandat. Telle est sa force". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Garnier frères, 1852 in-12, [2] ff. n. ch., 281 pp., un f. n. ch. de table, demi-percaline brune à la Bradel, dos orné (reliure de l'époque). Pages roussies.
Édition originale de cette analyse du Coup d'État de Louis-Napoléon publiée encore "à chaud" (l'ouvrage sortit en août 1852) et qui manifeste plus que tout autre titre l'ambiguïté parfois brumeuse du théoricien anarcho-socialiste, le même qui d'ailleurs ne joua aucun rôle dans la résistance et déconseilla à Hugo toute initiative en ce sens. C'est que le personnage du Prince-Président lui semble ambivalent et en partie favorable à ses vues sociales : "Louis-Napoléon est, de même que son oncle, un dictateur révolutionnaire, mais avec cette différence que le Premier Consul venait clore la première phrase de la Révolution, tandis que le Président ouvre la seconde". Il voit conséquemment en lui l'homme de la révolution sociale, l'héritier de la révolution de 1848, et pense que le mouvement de 1848 a été si profond que Louis-Napoléon sera contraint de prendre ses idées à la République sociale et de les réaliser.D'où le souhait : "Que le Deux-Décembre (…) transforme en hommes ces prolétaires, grande armée du suffrage universel, baptisés enfants de Dieu et de l'Église, et qui manquent à la fois de science, de travail et de pain. Tel est son mandat. Telle est sa force". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Garnier Frères, Paris, 1852, Un volume in 12°, reliure DEMI CHAGRIN VERT,DOS ORNE DE FLEURONS DORES,posterieure, fin XIX EME S., 281 pages + une table des matières,texte un peu jauni,qques soulignures au crayon rouge,catalogue Oeuvres completes,joint. .Remise suite inondation, mouillures en marge = 40 € .
Les chapitres sont intitulés ainsi: "Pourquoi je fais de la politique" (chap.1), Situation de la France au 24 février 1848 (chap. 2), Desiderata de la révolution du 24 février (chap. 3), Préjugé universel contre la révolution du 24 février- Désistement des républicains (chap . 4), Le 2 décembre (chap. 5), Louis-Napoléon (chap. 6), Sept mois de gouvernement (chap. 7), L'horoscope (chap. 8) Ne mentez pas à la révolution (chap. 9), Anarchie ou césarisme- Conclusion (chap. 10) Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €