Paris, Julliard, 1962, in-12 broché, 270 pages. Edition originale. Exemplaire du service de presse (mention imprimée) revêtu de cet envoi autographe: «A Monsieur Claude-Joseph Gignoux / membre de l’Institut / qui a eu la bienveillance de / m’ouvrir sa revue / en témoignage de reconnaissance/ et en très fidèle hommage» Complet du prière d’insérer.
Reference : 11570
EDITION ORIGINALE LIVRE DEDICACE
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bel envoi de l'auteur en page de garde ! vol broché, 180x130, parfait état, 267pp Julliard 1962 Le juriste demeure présent chez l'ancien bâtonnier, mais toujours dominé, ou plutôt enveloppé, par l'humaniste et par l'homme tout court. L'idée de justice perd ici tout caractère abstrait ; l'exposé des principes, des maux et des remèdes trouve un accent d'urgence, parfois d'angoisse contenue, qui donne au livre une vibration singulière. À l'usage d'un monde qui semble avoir perdu la notion élémentaire des valeurs sur lesquelles il prétend encore se fonder, l'auteur remonte aux sources du droit ; puis il parcourt les grandes étapes de l'idée de justice en France, ce qui nous vaut le plaisir imprévu de pages fines et familières sur Montaigne évoqué comme un voisin de campagne. L'analyse se fait plus serrée, qui porte sur la période contemporaine ; l'horizon s'élargit ; la justice judiciaire n'est plus seule en cause : la justice sociale ne s'impose pas moins. À ce point du développement on s'aperçoit que ces vues sont en réalité un panorama complet de la justice totale. Sur l'atteinte sans doute la plus grave que la justice et les droits de l'homme aient jamais subie en France, Me R.-W. Thorp joint au jugement le témoignage : torture, affaire Audin, impuissance congénitale de la Commission de sauvegarde, étouffement du rapport jusqu'à sa publication par le Monde. Pourtant ces violations flagrantes, effrénées et généralisées du droit par la force et l'arbitraire peuvent être égalées par un juridisme formel, un légalisme pointilleux où la bonne conscience s'épanouit dans le luxe des garanties et des recours. Tout y étant de signes opposés - à commencer, bien entendu, par les victimes, à finir par les hypocrisies - le cas Chessman n'est peut-être pas moins monstrueux que le cas Audin. Ce constat donne à Me Thorp l'occasion d'exprimer son opinion sur la peine de mort, l'une des raisons essentielles de l'illégitimité de cette peine résidant précisément dans le " propre de l'homme " qui est " le pouvoir de se dépasser ". De sorte que la peine capitale atteint un autre que celui qu'elle visait. Pour Chessman le dépassement est éclatant : en acceptant sa mort pour prix de l'abolition de la peine de mort le condamné s'élevait non seulement au-dessus du criminel (que peut-être il n'avait pas été), mais de ses juges et de la plupart de ses concitoyens. refc/31
A Paris, chez les frères Debure, 1777. Petit in-8 de 139 pp. [VERMEIL (François-Michel)]. Essai sur les réformes à faire dans notre législation criminelle. Par M. V. A Paris, chez Demonville, 1781. Petit in-8 de XXI-(2)-262-(1) pp. Les 2 pièces reliées en 1 vol. petit in-8, veau havane, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
1. Édition originale. Le Trosne, économiste proche du marquis de Mirabeau et de Le Mercier de La Rivière, avocat du roi, sur la même ligne que Beccaria, développe ici ses vues dans lesquelles il expose la nature et les caractères de la justice criminelle, les formes et l'instruction, les jugements et les lois pénales. Il se prononce résolument contre la question préparatoire et n'admet qu'avec la plus grande réserve la question préalable.2. Édition originale. François-Michel Vermeil, avocat au parlement de Paris (1730-1810) milita pour une réforme radicale de la législation criminelle. Fils d'un avocat du Roi au bailliage de Mehun, il embrassa avec succès une carrière d'avocat au parlement, faisant partie des réformateurs gagnés par les idées philosophiques qui aspiraient à une réforme radicale de la législation criminelle. Il fit partie du comité de législation, puis du conseil du ministère de la justice. Bel exemplaire.
AU BUREAU DU JOURNAL. NOVEMBRE 1956. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 64 pages. Texte en colonnes. Nombreuses photographies en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.493-Les annales / Conferancia
Revue mensuelle des lettres françaises. Sommaire : Vues sur la justice, par Maurice GARÇON, de l’Académie française. — Passions, par René LALOU. — Si Ponce Pilate avait dit : non..., par le R. P. Michel RIQUET, S. J. — Sur la pointe des pieds : souvenirs et réflexions, par Maurice LEHMANN. —Les films du mois, par Jacques NELS. Classification Dewey : 70.493-Les annales / Conferancia
CHEZ SERVIERE. 1785. In-8. Relié. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. XVI + 414 pages - coins frottés - titre + filets dorés sur le dos - 3 photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 340-Droit
Sommaire : Origine des germains et des gaulois moeurs & gouvernements - religion druides - lois civiles mariages habillemens - des fiefs - des loix des peuples barbares - du combat judiciaire - de l'autorité des rois sous les deux premières races - des assemblées des francs appellées placités généraux ou parlemens - des épreuves appellées jugemens de dieu - des défauts - de la forme des contrats publics chez les romains & chez les francs etc. Classification Dewey : 340-Droit
1785 Paris, Servière 1785, in-8,plein veau époque, VIII-XVI-414-[2] pp., . Bon exemplaire avec ex libris gravé de Vaulserre des Adrets . C'est le second essai juridique de l'avocat Joseph de Bernardi (1751-1824), dont l'originale était parue en 1782 : selon l'atmosphère idéologique du temps, il contient une critique assez féroce et unilatérale de l'état du droit à la fin de l'Ancien Régime, assez plaisante quand on sait comment l'auteur, vite assagi par le désordre juridique né de la Révolution, bascula progressivement dans un conservatisme de type burkien, et se montra ultérieurement très sévère pour la codification napoléonienne. Dupin (1832), 906. Joseph de Bernardi (1751-1824), savant jurisconsulte, avocat au parlement de Provence, officier de cavalerie. On lui doit, entre autres, une nouvelle édition des « Œuvres de Pothier » et plusieurs articles au « Dictionnaire de la Provence ». Quérard, I-292 (2e éd.). Sommaire : Origine des germains et des gaulois moeurs & gouvernements - religion druides - lois civiles mariages habillemens - des fiefs - des loix des peuples barbares - du combat judiciaire - de l'autorité des rois sous les deux premières races - des assemblées des francs appellées placités généraux ou parlemens - des épreuves appellées jugemens de dieu - des défauts - de la forme des contrats publics chez les romains & chez les francs etc.