« Entraide Française » Editions Monceau (1945) - Une plaquette de 16 pages au format 18 x 23,5 de 16 pages Couverture et illustrations intérieures en couleurs de BRANTONNE - Très bon état
Reference : 8658
Marché Noir - Librairie Ultime Razzia
Charlotte Dugrand
06 15 22 89 43
Envoi à réception du réglement Réglement par chèque ou mandat
Marseille Federation Historique De Provence 1987 In8 114 pages - broché - quelques illustrations - Au sommaire : Notes sur le STO a marseille par A.Olivesi / de marseille a leipzig , chronique du STO par JL Vissiere / Le maquis une resurgence du banditisme social ? par JM Guillon / la savonnerie marseillaise de 1800 à 1815 par C.Bonnet - bon etat
Très bon
1944 Format In4 , en feuilles - 3 pages - Les prêtres et aumôniers du Maquis de Jura et Franche Comté appelent les autorités ecclésiastiques de France a condamner les atrocité commises à Saint Claude , Larivoirre , Vaux les Saint Claude , Montmain et autres villages . Ils expliquent ce qu'on fait les allemands . Document Original - Ce n'est pas un fac-similé
Bon
Bruxelles, Charles Dessart, 1945. 13 x 19, 165 pp., broché, bon état.
"Envoi signé : ""Le Chef du Maquis des Ardennes, Charlier J., Alias Martin."""
S.l., s.d. (1944) in-4, titre, avec un tirage photographique (11,5 x 10 cm), 16 pp. dactylographiées, en feuilles, agrafé, sous couverture de papier bleuté.
Rarissime compte-rendu des opérations d'un maquis nivernais de juillet à septembre 1944, non signé, mais très probablement rédigé par celui qui était alors le commandant du groupe, le libraire Maurice Magis, Belge alors établi rue Guénégaud à Paris, mais réfugié avec son fils Jean-Jacques dans la région de Dun-les-Places, pour échapper aux arrestations. Le maquis était établi au sud de Corbigny (arrondissement de Clamecy).Ce fut cependant Georges Le Bournot [= Morgan] qui avait commencé dès 1943 à constituer le groupe de résistance. Au début, ils n’étaient qu’une poignée, tous fuyant Paris et ses délations continuelles. A la fin, ils seront plus de 160. Quand Lise Le Bournot, femme de Georges [Elisa Palacios, 1918-2005], donna naissance à un fils en mars 1944, le groupe décida de donner son nom au maquis : Daniel. Et c'est pourquoi la photographie qui orne le titre de notre tapuscrit représente ce poupon espiègle, jouant dans son berceau, image peu guerrière s'il en fut, mais fort symbolique. Notre texte est très sobre : il liste les opérations engagées depuis le début juillet 1944 et l'organisation du camp dans le Bois de Vaux (il comptait alors 61 combattants) jusqu'au 10 septembre suivant, qui vit un défilé devant le monument aux morts de Nevers avec l'ensemble des troupes régulières qui y étaient cantonnées. À partir du 15 septembre, "le colonel prononce l'éloge funèbre du maquis et nous informe qu'il y a lieu de constituer des unités militaires régulières après la démobilisation des éléments désireux de rentrer dans leurs foyers". C'est ce qui survint pour nombre de combattants : une partie de leurs effectifs fut enrôlée dans l’armée française reconstituée qui poursuivit la Wehrmacht avec les Alliés. D'ailleurs, les Magis, père et fils, furent envoyés avec leur unité sur la frontière suisse, pour intercepter les Allemands et les miliciens qui cherchaient à passer chez les neutres (Confédération helvétique). Les premières actions du maquis Daniel furent des réquisitions de carburant et de matériel, ce qui ne contribua pas à le rendre populaire dans la région. De surcroît, le plus grand nombre des combattants, très peu armés venaientt de la ville, ouvriers qui avaient fui dans le Morvan le service du travail obligatoire imposé par les Allemands. Autour de Daniel, il y avait une série d’autres maquis : Julien, Mariaux, Camille, Bernard, Socrate, etc., certains liés au Parti communiste (FTP, Francs-tireurs et partisans), d’autres aux gaullistes (FFI, Forces françaises de l’intérieur). Daniel occupait une position singulière : affilié aux FFI, il était dirigé par des communistes.Puis ce furent des embuscades ; l'une d’entre elles, le 8 août, coûte la vie à 27 soldats allemands. Cette fois, la Wehrmacht engagea des centaines d’hommes (1500 semble t-il) dans une opération de ratissage autour de Crux-la-Ville, où étaient implantés Julien, Mariaux et Daniel. La bataille dura quatre jours. Les maquisards tinrent jusqu'au 16, puis reculèrent dans les bois de Vaux.Aucun exemplaire au CCF.Envoi autographe de Maurice Magis "pour Achille, en témoignage de fraternelle amitié". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
CEGES/BNF. 2016. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 4 pages environ - nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans le texte + avec des documents en fac-similé. Texte sur plusieurs colonnes.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Sommaire : Mars 1944 : la lutte contre les maquis - L'armée secrète dans la ligne de mire : en finir avec les maquis - La liquidation des grands maquis mobilisateurs : Le combat exemplaire des Glières - L'imaginaire prend le maquis - Les maquisards crient famine : Méfiance des alliés envers la Résistance - Lisez : Paris-soir du vendredi 24 mars 1944 ; Le Matin du jeudi 7 mars 1944 ; Le Petit Marseillais du jeudi 30 mars 1944 ; Libération du 8 fév 1944 Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945