" Romans célèbres de drame et d'amour " n° 88 / Tallandier (1928) - In-8 broché de 126 pages - Texte sur 2 colonnes - Couverture en couleurs de Henri Thiriet - Bon état
Reference : 15618
Marché Noir - Librairie Ultime Razzia
Charlotte Dugrand
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Éditions Rencontre, Lausanne, 1962. In-12 à l'italienne (13,5 x 20 cm). 13 volumes (collection complète).Cartonnages d’éditeur, couvertures photo. Collection composée de : J’aime la danse (Jeanloup Sieff). J’aime la corrida (Yvan Delain). J’aime le cirque (Robert Gnant). J’aime le théâtre (Sabine Weiss). J’aime le cinéma 1 et 2 (archives et Magnum). J’aime la télévision (Frank Horvat). J’aime le mime (Monique Jacot). J’aime le dessin animé (archives). J’aime le strip-tease (Frank Horvat). J’aime le music-hall (Yvan Delain). J’aime l’opéra (Kurt Blum). J’aime les marionnettes (Jean Mohr). E.O.
Éditions Sun à Paris. 11 volumes in-4, reliés, sous jaquettes.
Exemplaires en assez bon état. Quelques marques d'usages. Quelques rousseurs sur les parties supérieurs. intérieurs frais et agréable. Possibilité d'acheter séparément
, , 1848-1870. Ensemble 12 lettres manuscrites in-8 de une ou plusieurs pages.
Aimé Sureau (1809-1872) incarne une figure emblématique des luttes politiques et ouvrières de la première moitié du XIXe siècle. Condamné sous la Monarchie de Juillet à trois ans de prison pour délit politique, il s'inscrit parmi les acteurs radicaux qui, avant et après la Révolution de Février 1848, ont milité pour une plus grande intégration des classes populaires dans les structures institutionnelles, notamment au sein de la Garde nationale.Le contexte des événements d’avril 1848. Le 26 avril 1848, sur la place publique de Saint-Ouen, Aimé Sureau prend la parole pour réclamer l’incorporation et l’armement des ouvriers dans la Garde nationale. Le lendemain, il est accusé d'avoir sonné le ralliement et promis des armes aux insurgés. Lui-même et son ami Durand-Neveu affirment qu’il tenta, au contraire, de désamorcer la confrontation. Cependant, les soupçons qui pèsent sur lui conduisent à sa fuite dès le soir du 28 avril.Condamnation et exil. La répression qui suit les événements de 1848 se montre implacable envers Aimé Sureau. Le 7 décembre 1848, la Cour d’assises de Caen le condamne aux travaux forcés à perpétuité. Cette sentence semble davantage motivée par son passé politique sous la Monarchie de Juillet et son rôle de président du club de Saint-André après la Révolution de Février que par son implication réelle dans les événements d’avril. Le 17 avril 1849, cette condamnation est commuée en une déportation en Algérie, marquant une étape supplémentaire dans la répression des militants révolutionnaires.Un témoignage épistolaire exceptionnel. Les archives liées à Aimé Sureau offrent un éclairage rare sur son engagement et sa trajectoire personnelle. Parmi les documents conservés figurent :Trois lettres autographes datées de Bicêtre (6 septembre et 27 octobre 1848) et d’Alençon (13 mars 1850).Trois lettres de Nougaret (datées des 19 septembre, 14 septembre, et 15 septembre 1870), toutes adressées à un certain Dalleine, tailleur.Un billet signé conjointement par Dalleine et Sureau.Une copie manuscrite de coupures de presse.Une lettre de son frère, Félix Sureau, adressée à son avocat.Deux billets d’Henry Cellier destinés à Sureau, ainsi qu’un billet anonyme débutant par ses mots « si tu as besoin de témoins…»
ADVERBUM 2005 72 pages 14x21x1cm. 2005. Broché. 4 volume(s). 72 pages. 3 livres gastronomique + un roman autour de la cuisine: Potirons potimarrons je vous aime... + Poireaux et oignons je vous aime... + Carotte je vous aime... + Mémoire du goût --- 4 volumes
Très bon état avec jaquette intérieurs propres
Paris : Panckoucke, H. Nicolle (impr. P. Didot l'aîné), 1812. In-8, 199 x 123 : front., xxij, 318 pp., (1 f.). — Demi-maroquin vert sombre de l'époque, dos lisse orné de motifs dorés, tranches jaspées.
Édition originale illustrée d'un frontispice gravé sur cuivre par Delignon d'après Lordon.Louis-Aimé Martin était professeur de belles-lettres, de morale et de littérature à l'École polytechnique, puis conservateur à la Bibliothèque nationale. Il épousa la veuve de Bernardin de Saint-Pierre et édita ses œuvres.Avec Raymond, il signe un ouvrage de moral, à l'époque où la société était désespérément fade pour la jeunesse, relatant l'histoire de deux personnages opposés, Raymond et Fernand. Bien qu'il revendique le caractère moral de son histoire, l'auteur utilise certains thèmes romantiques comme la nature, le malheur et l'amour :« J'ai essayé d'y peindre cette inquiétude secrète qui nous éloigne de nos parents, et nous entraîne dans les plus grands malheurs… J'ai vu la nécessité d'un livre qui apprendrait à la jeunesse le danger de quitter les seuls amis que nous ait donnés la nature…Le caractère de Raymond est celui de presque tous les jeunes gens élevés dans la solitude au sein de leur famille : son âme est belle, ses sentiments sont pures ; et, s'il fait des fautes, c'est qu'on ne lui a point assez appris à se méfier de ses passions. Fernand, au contraire, jeté au milieu du monde dès sa plus tendre jeunesse, sans parents, sans guide, sans expérience, trompé par ceux auxquels il voulait attacher son âme, apprend à mépriser les hommes, et s'environne d'idées tristes et amères. Raymond est malheureux parce qu'il aime, et qu'il ne se croit pas digne d'être aimé ; Fernand est malheureux parce que son cœur est vide, et qu'il ne voit personne qui soit digne de son amour. »À la suite figurent des fragments des Tableaux pittoresques de la nature dont Raymond en constitue également un épisode. Chacun d'eux, concernant les animaux, les fleurs, les insectes, les plantes, etc., est tiré de ce dernier. Avec ses Tableaux, Martin essaya de peindre l'harmonie de la nature dans le dessein d'inspirer à ses lecteurs le goût de l'histoire naturelle.Bel exemplaire, enrichi d'un envoi de l'auteur à Madame Vierre. - Dos très légèrement passé.