3 feuillets manuscrits A4 d'un seul tenant.Evocation de sa situation éditoriale et financière datée et signée du 1er Février 1862.Encre pâle mais lisible.
Reference : 49513
Librairie Ancienne Laurencier
M. Patrick Laurencier
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PAGNERRE. 1857. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Rousseurs. 251 pages.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Bibliothèque nationale. Non daté. In-18. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Coiffe en pied abîmée, Papier jauni. 93 pages.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Numéro 346. Collection des meilleurs auteurs anciens et modernes. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Valence, Imprimerie Jules Céas 1871, 230x145mm, 359 + 41pages, broché. Dos cassé. Couverture défraîchie. Rousseurs marginales peu nombreuses.Sur la couverture, figure un hommage manuscrit de l’auteur à la Baronne Fégely.Ce rare et intéressant ouvrage mériterait une nouvelle reliure.
[Alphonse de Lamartine (1790-1869), poète, écrivain, homme politique] Armand Le Chevalier (1802-1873), libraire-éditeur républicain, éditeur de Lamartine.
Reference : 013899
[Alphonse de Lamartine (1790-1869), poète, écrivain, homme politique] Armand Le Chevalier (1802-1873), libraire-éditeur républicain, éditeur de Lamartine. L.S., Paris, 14 décembre 185., 2p et demi in-4. Belle lettre pour demander une aide financière au profit de Lamartine qui a décidé de mettre en vente le château de Monceau, propriété de la famille de Lamartine depuis le XVIIe siècle. Le Chevalier veut lui éviter cette vente. Si Monceau est cité, Lamartine n'est pas nommément mentionné, il est nommé « notre illustre et malheureux ami ». Petite déchirure angulaire empêchant de lire entièrement la date. Beau document. [335-2]
Léonor-Joseph Havin (1799-1868), homme politique, député, rédacteur en chef du journal Le Siècle.
Reference : 015064
Léonor-Joseph Havin (1799-1868), homme politique, député, rédacteur en chef du journal Le Siècle. L.A.S., Paris, 17 juillet [1857], 1p 1/2 in-8. Au poète Alphonse de Lamartine (1790-1869), le lendemain de la mort du poète Pierre-Jean de Béranger (1780-1857). « Mon cher et honoré Maître, Je viens de prendre en votre nom un engagement que vous ne trouverez pas, j'espère, téméraire. C'est à vous que revient de plein droit l'honneur de dire à la France ce que fut Béranger, de rendre compte de ses oeuvres immortelles. Ce sera une belle page à ajouter à tant d'autres. Je vous en demande la primeur pour Le Siècle et je vous supplie de me l'envoyer le plus tôt possible. Après avoir paru dans le journal, vos articles pourront être insérés le mois prochain dans votre cours de littérature. Veuillez faire agréer mes humbles hommages à Madame de Lamartine et recevoir pour vous l'assurance de mon profond et respectueux dévouement. L Havin ». Cet hommage fut inexistant, Lamartine était, semble-t-il, absent et il n'est pas mentionné dans les articles relatant les obsèques (voir en première page du Siècle du 18 juillet). Louis Colet rapporte : « Lamartine, parti pour Saint-Point avant que la maladie de son ami eût atteint un caractère de danger, lui écrivait encore, il y a trois jours, une lettre touchante où il lui disait: « Nous nous reverrons ! » Cet espoir n'est plus hélas ! ». L'article du Siècle dit d'ailleurs : « Il n'y a pas eu d'éloge funèbre prononcé sur la tombe de Béranger ; il n'en avait pas besoin ». Cette remarque est comique quand on connait notre document. Très beau courrier. [368]