Centre Georges Pompidou, Paris, 1983 - grand in-4 carré (28x28cm), couv. brochée et illustrée, 391 pages, très nbses illustrations couleurs (souvent pleine page) et N&B - textes de rené Char, Paul Eluard, Albert Camus, Federico Fellini, Antonin Artaud, etc. - TBE, qqs petits frottements sur couverture, intérieur impeccable
Reference : 29371
Librairie Ancienne Laurencier
Patrick et Liliane Laurencier
7 rue du Chai des Farines
33000 Bordeaux
France
livresanciens.laurencier@wanadoo.fr
33 05 56 81 68 79
[Balthus] Jean Leymarie, Jean Rodolphe de Salis, Jean Starobinski, Jörg Zutter:
Reference : 19199
(1993)
Genève / Lausanne, Editions d’Art Albert Skira / Musée des Beaux-Arts Lausanne, 1993. In-4 broché, couverture couleurs à rabats. En belle condition. Nombreuses reproductions en noir et en couleurs.
Au sommaire: Paysage alpin et conception visionnaire - Balthus et la Suisse - Une amitié - Dramaturge de Balthus. Publié à l'occasion de l'exposition éponyme présentée au Musée des Beaux-Arts de Lausanne.
Genève, Editions d’Art Albert Skira, 1990. Grand in-4 broché, couverture couleurs. En belle condition. Nombreuses reproductions en noir et en couleurs.
"Derrière le pseudonyme de Balthus se cache le comte Balthazar Klossowski de Rola, descendant d'une ancienne famille polonaise. Ce peintre devenu célèbre, comme les maîtres anciens sous son seul prénom, n'a jamais rien divulgué de sa vie, autour de laquelle flotte un halo de légende, et ses tableaux confidentiels, dispersés, suscitent autant de méprise que de fascination. Rilke, Artaud, Picasso, Camus, Fellini ont reconnu en lui l'un des artistes les plus originaux et les plus accomplis de la peinture contemporaine. Résistant aux sollicitations de la mode, il a obstinément suivi son chemin figuratif, et son œuvre traverse le temps et sa houle éphémère en se fixant sur les valeurs hors du temps, conjuguant le rêve et la réalité, la soumission objective et la transe intérieure. Douée de ce pouvoir de fixation magique inhérent à la grande peinture, elle apporte une lumière révélatrice sur les problèmes fondamentaux de l'art."
Fayard, 2004. In-12 broché, couverture imprimée. En belle condition, bande de lancement conservée.
"Léa se réveille en sursaut. Dans l'immeuble d'en face, elle entrevoit un grand tableau, à peine éclairé. La toile représente deux jeunes filles, l'une endormie sur un canapé, l'autre penchée au-dessus d'elle, une rose jaune à la main. Léa reconnaît la scène du cauchemar qui l'a réveillée et se souvient de cette phrase énigmatique prononcée par son père disparu : " Tout est dans Le Rêve de Balthus. " C'est le commencement d'un parcours initiatique, de Paris à Venise, celui d'une confrérie qui tend à percer les secrets de l'immortalité. Le Rêve de Balthus est un chef-d'œuvre bien réel de la peinture du XXe siècle. Il devient ici le " personnage principal " d'un roman qui nous fera remonter dans le temps jusqu'à la renaissance italienne, à la poursuite, dans les œuvres d'art, de la vérité et de la beauté."
Paris 27 Avril 1934 | 21 x 27 cm | une feuille
Lettre autographe datée et signée dAntonin Artaud, à en-tête de la brasserie Le Dôme, adressée à Maurice Martin du Gard, fondateur et directeur des Nouvelles Littéraires, 29 lignes à lencre bleue dune écriture nerveuse. Traces de pliures et petites déchirures marginales inhérentes à lenvoi postal et à la manipulation. Petites taches au début de la lettre. Antonin Artaud se bat pour publier son article sur la peinture de Balthus, exposée pour la première fois en France. Il défend avec férocité celui quil considère comme son «?double?», tant ils étaient semblables physiquement et intellectuellement. * Lors de cette première exposition de Balthus en galerie en 1934, ses représentations de jeunes femmes pubères tendant vers un voyeurisme empreint de rêves excitants ont scandalisé le public parisien. Artaud, justement, se retrouve dans latmosphère étrange des toiles balthusiennes et compte parmi les premiers écrivains à reconnaître limportance de son uvre. Les deux hommes sétaient rencontrés (ou retrouvés, peut-on dire) par hasard au café de Flore deux ans auparavant. «?Un lien étrange les unissait, croyait Balthus, dautant quil lui devait dêtre encore en vie. Cest en juillet 34, que le poète sauva de justesse le peintre, victime dune intense dépression, du suicide quil venait de mettre à exécution. Curieusement, il est arrivé ce jour-là en courant dans mon atelier au moment où jallais déjà très mal, et il sest précipité sur moi et comme il avait lui-même pris beaucoup de drogues dans sa vie, il a tout de suite compris?» (Zoé Balthus, citant Balthus lui-même). Quelques mois avant cette grave crise du peintre, Artaud réclame son manuscrit écrit à loccasion de la première exposition individuelle de son ami à La Galerie Pierre, ouverte le 13 Avril 1934 au 6 de la rue des Beaux-Arts. Lauteur dHéliogabale ou lanarchiste couronné (qui paraît la même année) se montre surpris et un brin courroucé du peu dintérêt que témoigne la revue?: «?Je vous ai adressé il y a quinze jours un article sur lexposition Balthus dont tout le monde parle. Il me semblait que les Nouvelles littéraires se devaient den parler.?» Sa prose poétique et sibylline chantera souvent les louanges de Balthus, cet alter ego qui refusera également les dogmes du Surréalisme. La rédaction des Nouvelles littéraires semble même négliger le travail de lécrivain ce qui lirrite au plus haut point?: «?Bien que les manuscrits non insérés ne soient pas rendus, on me rend toujours mes manuscrits, et en général après les avoir publiés.?» Il insiste donc pour récupérer son bien et sinsurge encore contre lincompréhensible et aveugle silence de la revue pour luvre du grand peintre?: «?Je vous serai donc reconnaissant de me dire ce que vous comptez en faire car la peinture de Balthus est dune actualité suffisante pour se passer de lactualité. Un article sur lui peut donc paraître en tout temps. Si vous pensiez ne pas devoir le publier je vous demande de vouloir bien me le renvoyer...?» Cet article est probablement le même quArtaud publiera finalement dans le quotidien mexicain El Nacional deux ans plus tard, célébrant une nouvelle fois la peinture de son ami. Belle lettre manuscrite du fougueux et irascible Antonin Artaud, découvreur de la peinture de Balthus. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
KLOSSOWSKI de ROLA, Stanislas (Balthus, pseudonyme de Balthasar Klossowski (de Rola), Paris, 29 février 1908, Rossinière (Suisse), 18 février 2001, Peintre figuratif français d'origine polonaise.
Reference : 27505
ISBN : 2732422576
PARIS, ed. de la Martinière - 1996 - Grand In-4 - Cartonnage éditeur, sous jaquette illustrée - Frontispice & Photographies de Balthus - 107 reproductions couleurs PP - 160 pages - Comme neuf
Présentation de la réédition:"le 18 février 2001 disparaissait Balthus, l'un des plus grands peintres du XXe siècle. Né Balthasar Klossowski de Rola à Paris en 1908, dans une famille aristocratique polonaise devenue allemande à la suite des partitions de la Pologne, il grandit au sein de milieux intellectuels et artistiques des plus raffinés entre Paris, Genève et Berlin. Etonnamment précoce, il développa très tôt une fascination à la fois pour l'Orient et pour les grands maîtres européens - influences qui transparaissent dans le calme émanant de ses peintures et dans leur étrange intemporalité. Mais l'érotisme et le mystère qui se dégagent de son uvre trahissent une inspiration révolutionnaire qui lui est toute particulière. Balthus était un artiste d'une intégrité inébranlable. En marge de toutes les tendances à la mode, ses uvres furent longtemps collectionnées exclusivement par un petit cercle de connaisseurs, dont Pablo Picasso. Il resta presque inconnu du grand public jusqu'en 1961, date à laquelle sa nomination, par André Malraux, à la direction de la Villa Médicis fit beaucoup de bruit. Devenu célèbre à partir du milieu des années quatre-vingt, il ne cessa de se défier de toute publicité, intimement persuadé qu'il était inutile que l'on connaisse les détails de sa vie privée pour regarder sa peinture. Ainsi, l'aura énigmatique de son uvre entoure toujours le peintre, malgré le fait qu'au cours des dernières années de sa vie, il accepta de recevoir un grand nombre de journalistes et fut le sujet de plusieurs documentaires télévisés. Son fils aîné, Stanislas Klossowski de Rola, a écrit une nouvelle introduction à cette importante sélection d'uvres de son père comprenant son tout dernier tableau inachevé, L'Attente, et la très controversée Leçon de guitare de 1934. Des photographies très rares du jeune Balthus dans son atelier et d'autres plus récentes prises par son ami Henri Cartier-Bresson complètent cet hommage à l'un des plus grands artistes de notre temps". - Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148