Paris, éditions du Cerf, 1953. In-8 broché avec couverture ivoire repliée, 216 p. Excellent état.
Reference : 18380
Librairie Ancienne Laurencier
Patrick et Liliane Laurencier
7 rue du Chai des Farines
33000 Bordeaux
France
livresanciens.laurencier@wanadoo.fr
33 05 56 81 68 79
A Saint-Malo, Chez L. & L.H. Hovius, Père & Fils, Imp. Libraires. A Rennes, chez Em. G. Blouet, Libraire, 1782, 466 & 449 pages. Plein veau raciné, tranches jaunes finement jaspées, dos orné, pièce de titre et de tomaison. Intérieur frais. Ouvrage paru en 1747, un Ecclesiastique a entrepris cette réédition. Petits manques aux coins et coiffe du second volume frottée. Ensemble en bon état.
[Librairie Catholique Jacques Lecoffre et Comp., Librairie Catholique Emmanuel Falières] - Collectif ; Comité d'Histoire et d'Archéologie de la Province Ecclésiastique d'Auch ; Société Historique de Gascogne
Reference : 55848
(1860)
6 tomes en 3 fort vol. in-8 reliure demi-basane verte, Librairie Catholique Jacques Lecoffre et Comp., Paris, Librairie Catholique Emmanuel Falières Auch, 1860-1865, ; 522-XCVII-636-LXIV pp. ; 537-LII-636-LXIV pp ; 652-613 pp.. Rappel du titre complet : Bulletin du Comité d'Histoire et d'Archéologie de la Province Ecclésiastique d'Auch [ Devient : ] Revue de Gascogne. Bulletin mensuel du Comité d'Histoire et d'Archéologie de la Province Ecclésiastique d'Auch ( 6 Premiers Tomes) [ Edition originale ] Tome I : 1860 ; Tome II : 1861 ; Tome III : 1862 ; Tome IV : 1863 ; Tome V : 1864 ; Tome VI : 1865
Bon exemplaire bien relié (dos passés) réunissant la tête de série de la revue de Gascogne.
Editions des 4 seigneurs Cartonné 1974 "Cinq volumes in-4 (20 x 27,7 cm), cartonnés, aspect simili cuir, médaillon doré aux premiers plats, cet exemplaire en fac simile comprend : ""Mémoires pour servir à l'Histoire ecclésiastique et civile de Bretagne"" par Dom Hyacinthe Morice (en 3 tomes de 1708, 1840 et 1800 pages, avec planches en noir et blanc en fin des tomes 1 et 2), et ""Histoire ecclésiastique et civile de Bretagne"" par Dom Pierre-Hyacinthe Morice (en 2 tomes de 1151 et 483-ccclxxxviii pages) ; quelques légers frottements aux coins et coiffes, ors passés au premier plat des tomes 2 et 3 des ""Mémoires"", par ailleurs très bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
Cologne, Aux dépens de la Compagnie, 1755, in-12, xxxvi-756 pp, reliure veau fauve marbré, dos à 5 nerfs pointillés et caissons fleuronnés dorés, pièce de titre maroquin carmin, filets dorés sur les coupes (rel. de l'époque), bon état. Bel exemplaire très propre et exempt de rousseurs
Tome VIII seul (sur 13) qui renferme les 12 premiers articles du seizième siècle. — "L’Histoire ecclésiastique" fut un véritable best-seller dû à la plume de Claude Fleury (1640-1723), fameux précepteur du duc de Bourgogne que Madame de Sévigné admirait. Le premier volume fut publié à l’automne 1690. Les dix-neuf suivants parurent avec régularité jusqu’en 1720. Fleury mourut le 14 juillet 1723, frappé d’apoplexie : il avait couvert la période allant de l'établissement du christianisme jusqu’à l'année 1414 et la réunion du Concile de Constance. La poursuite de la publication, à partir de 1726, fut prise en charge par l’oratorien Jean-Claude Fabre (1668-1753), avec l’aide de son ancien confrère Claude-Pierre Goujet (1697-1767). Seize volumes parurent encore par leurs soins à partir de 1726 jusqu’en 1738, mais les deux derniers furent saisis et Fabre sommé de renoncer à la publication des suivants. Pour cette raison, l’Histoire ecclésiastique ne fut pas poursuivie au-delà de l'année 1594. Cette "Histoire ecclésiastique" était regardée par Voltaire comme la meilleure histoire de l’Église connue. À partir de 1748 fut publié cet "Abrégé de l’Histoire ecclésiastique" (Cologne-Paris, Aux dépens de la Compagnie, 13 volumes), rédigé par un protégé de Mgr de Caylus, évêque d’Auxerre : il s’agissait de l’abbé Bonaventure Racine (1708-1755) que son jansénisme avait fait expulser de tous les collèges dans lesquels il avait tenté d’enseigner. La publication s’en poursuivit de manière posthume jusqu’en 1762, et l’abrégé assurait également la continuation de l’Histoire jusqu’au XVIIIe siècle.
P., Éditions Rieder, 1929, in-12, 269 pp, préface par F. Sartiaux, index, reliure demi-basane fauve mordorée, dos à 4 nerfs, pièces d'auteur et de titre basane havane, couv. conservée (rel. de l'époque), pt accroc au dos, bon état (Coll. Christianisme, sous la direction de P.-L. Couchoud)
"M. Sartiaux poursuit la publication des inédits d'Albert Houtin en nous donnant cette “Courte Histoire du célibat ecclésiastique” dont vingt chapitres étaient rédigés, qui menaient le sujet des origines jusqu'au seuil du XVIIe siècle, quand la mort interrompit brutalement l'inlassable activité de l'auteur. M. Armand Dulac a revu la rédaction de ce volume, y a inséré des documents réunis par Houtin et en a écrit les quatre derniers chapitres qui résument brièvement la suite de cette histoire. En outre, M. Sartiaux a très utilement extrait d'une collection de notes une cinquantaine de « réflexions » d'Albert Houtin sur le célibat ecclésiastique. Elles sont d'un intérêt que nous jugerions volontiers être au moins égal à celui du reste du livre. Elles montrent dans l'historien qui écrivit “Un prêtre marié” et “Du sacerdoce au mariage” non pas un détracteur, mais presque un apologiste du célibat ecclésiastique et même laïque..." (P. Alphandéry, Revue de l'histoire des religions, 1929) — "Un historien qui croit fermement qu'il faut considérer les faits tels qu'ils sont, accumule les preuves pour montrer qu'à aucun moment dans l'histoire de l'Église catholique romaine, celle-ci n'a été capable de maintenir un clergé célibataire. M. Houtin apporte la preuve que, pendant une grande partie de l'histoire de l'Église, les mariages publics ont été courants au sein de son clergé, et il n'avait pas besoin d'apporter la preuve, bien qu'il l'ait fait, qu'à toutes les époques de son histoire, la chair des prêtres a été faible. Un livre serein et bienveillant, en aucun cas hostile à l'Église ou même à l'institution du célibat en soi, mais résolument hostile à la tromperie et à l'évasion. L'auteur est mort alors qu'il avait poussé son enquête jusqu'à la fin du XVIe siècle, et les derniers chapitres sont dûs à Armand Dulac." (Books Abroad, 1930)