...édition revue et corrigée avec un appendice, 2 planches h.t., 11 cartes dans le texte et 1 h.t. Paris, Albin Michel, 1951. In-8 broché de XV - 503 p. Très bon état. Non coupé.
Reference : 17872
Librairie Ancienne Laurencier
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<p>François Cadiou et Sylvie Pittia : Avant-propos 11 Nicole Belayche : Aborder «la religion« dans le monde romain aujourd'hui : paradigmes renouvelés et nouveaux outils 19 Yann Berthelet : Religion et vie politique sous la République romaine - L'exemple de la divination publique 41 Alberto Dalla Rosa : Les aspects religieux de l'exercice du pouvoir impérial 65 Gabrielle Frija : Cultes impériaux et pouvoir impérial : diffusion et simulation des cultes des empereurs dans le monde romain 77 Daniele Miano : Divinités conceptuelles et pouvoir dans le polythéisme romain 95 Christophe Schmidt Heidenreich : L'armée romaine et le culte impérial 113 Françoise Van Haeperen : Cultes publics, agents cultuels et pouvoir à Rome 137 Sylvia Estienne : De la création des Ludi Apollinaresà la célébration sévérienne des Ludi saeculares : aspects religieux et politiques de la célébration des jeux à Rome 153 Marie-Odile Charles-Laforge : Les cultes privés chez les Romains (IIIe siècle avant - IIIe siècle après J-C) 171 Valérie Huet : Images, rituel sacrificiel et pouvoir dans le monde romain 199 Audrey Bertrand : Si loin, si proches ? L'horizon romain des colonies italiennes et provinciales au prisme de la religion, de la deuxième guerre punique à l'empire des Sévères 227 Pierre Assenmaker : Choisir ses dieux en temps de guerre civile La légitimation religieuse du pouvoir dans le monde romain vue à travers le monnayage 245 Résumés 267.</p> Marseille, 2019 300 p., broché. 16 x 24
Neuf
BERTHELET Yann (dir.), VAN HAEPEREN Françoise (dir.).
Reference : 23862
ISBN : 9782356133540
<p>Collection Scripta Antiqua 141.<br>Ce volume présente les résultats d'investigations menées par une équipe de chercheurs européens et propose une approche renouvelée des dieux de Rome et du monde romain, en mettant l'accent sur les réseaux dans lesquels ils s'insèrent. Dans le sillage des études sur le polythéisme grec et des analyses de G. Dumézil, les dieux sont considérés selon une perspective anthropologique qui vise à éclairer leurs terrains et modes d'action, ainsi que les facettes de leur identité et fonctions.<br>Les dieux formant une "société divine", il s'agit de montrer qu'une telle approche gagne à recourir à l'outil heuristique du "réseau", en faisant porter l'analyse des dieux de Rome et du monde romain sur les systèmes de relations qui les unissent et les font interagir. Nombreux sont en effet les documents qui connectent plusieurs divinités, tissant entre elles des liens dynamiques et multidirectionnels et hiérarchisant ou non les noeuds de la section de toile panthéonique qu'elles forment.<br>Aussi, même si les réseaux qui font interagir les dieux sont difficilement quantifiables ou modélisables, la métaphore du réseau se révèle opératoire. Ce terme reflète, mieux que celui de panthéon, le caractère partiel et polycentrique de toute combinaison de divinités. Il peut ainsi rendre compte à la fois de la relative stabilité des structures relationnelles entre les dieux et du dynamisme interactionnel qui les fait évoluer selon les contextes.<br>L'analyse des réseaux divins à Rome et dans le monde romain est déclinée à partir de différents cas d'études. Une attention particulière a été portée au caractère dynamique et contextualisé de ces interactions divines qui peuvent varier dans le temps et dans l'espace. Le caractère exploratoire des investigations et de la démarche qui les sous-tend est mis en exergue dans les trois premières contributions, qui proposent des pistes de réflexion pour penser les dieux romains et leurs réseaux.<br>Les quatre contributions suivantes s'attachent à l'étude de réseaux divins en un contexte donné et visent à éclairer les systèmes de relations polycentriques qui se nouent entre différents dieux et ce, à différentes échelles, qu'il s'agisse d'une province ou d'une cité. Les quatre derniers articles sont davantage centrés sur l'étude d'une divinité, dont sont explorés l'identité plurielle, les modes et champs d'action, la question des réseaux divins permettant d'enrichir significativement la réflexion sur les dieux envisagés.</p> Bordeaux, 2021 Ausonius 277 p., broché. 17 x 24
neuf
Gallimard - Larousse. 1985. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 462 pages. Couverture toilée recouverte d'une feuille plastique transparente et autocollante. Photo en couleur en frontispice. Illustré de nombreuses photos en couleur et en noir et blanc dans et hors texte, de plans en noir et blanc, et de cartes en couleur sur planche dépliable en fin d'ouvrage. Etiquettes de code sur le dos et le 1er plat. Tampons et annotations de bibliothèque en pages de garde et de titre.. . . . Classification Dewey : 930-Histoire générale du monde ancien jusqu'à 499 apr. J.-C.
'L'Univers des formes', XII, Collection créée par André MALRAUX. Le Monde Romain, 800 av. - 410 ap. J.-C. Exemplaire numéroté: Collection n° 2551. Classification Dewey : 930-Histoire générale du monde ancien jusqu'à 499 apr. J.-C.
Picard, 2002, gr. in-8°, 294 pp, un portrait en frontispice, bibliographie de Claude Lepelley, broché, bon état
17 études érudites. — La cité est un élément essentiel de la compréhension du monde romain, de sa civilisation et du phénomène de la romanisation. Les contributions rassemblées ici en l'honneur de Claude Lepelley, le maître des études historiques sur les cités romaines d'Afrique du Nord, mettent en évidence l'importance centrale des valeurs et des idéologies civiques dans le monde romain.
<p>Le monde romain n'a pas connu la fascination des modernes pour les ruines. Les vestiges de constructions dégradées ou écroulées étaient pourtant une réalité présente dans les villes antiques. Les catastrophes naturelles, la violence des hommes ou le simple passage du temps, dans cet empire qui dura plusieurs siècles, concouraient à endommager ou à détruire les édifices. Que faisait-on alors des ruines qui, immanquablement, subsistaient dans le paysage ? À partir d'un examen de la documentation textuelle, en particulier épigraphique et juridique, mise en regard des données archéologiques, cet ouvrage se propose d'étudier comment les bâtiments ruinés, publics comme privés, étaient perçus par les populations, les autorités municipales ou le pouvoir romain et quel traitement leur était réservé. État intermédiaire entre la construction et la disparition, discontinuité dans le tissu bâti, les ruines posent toujours problème. Les pouvoirs publics et les juristes romains invitent à ne pas démolir les édifices, en particulier en ville, tandis que les textes littéraires et les inscriptions célèbrent les bienfaiteurs qui restaurent des monuments endommagés par une catastrophe ou maltraités par le temps. Les bâtiments délabrés sont toujours présentés comme une défiguration du paysage urbain et les villes détruites rappellent ou annoncent des temps troublés. La pérennité de la cité exige au contraire la conservation des édifices et leur restauration régulière. Les ruines forment alors un contre-modèle, qui permet de révéler, par contraste, l'idéal d'une architecture qui participe à l'ornementation de la cité et contribue à l'âge d'or garanti par l'empereur.</p> Bordeaux, 2021 Ausonius 430 p., broché. 16 x 24
Neuf