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DRAHOS (Tom).
S.O.S.
Luxembourg, Édition et Galerie Lucien Schweitzer, 2005, in-4, br., n.p. (GI16B)
Reference : 1347298
Catalogue d'exposition Tome Drahos - S.O.S., à Luxembourg, 2005. Très nombreuses photographies en couleurs.
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Lettre dans laquelle le maire de Dijon nomme Monsieur Louis Legrand élève pensionnaire à l’Ecole Nationale des Beaux- Arts de Dijon.
1 feuillet in-4, plié, petites déchirures aux bords.
Copie conforme au carbone, signée Lory, avec Cachet, à en-tête de la Mairie de Dijon.Mr Devosge, ancien directeur de l’Ecole des Beaux-Arts de Dijon, a, dans son testament du 20 mars 1849, fondé une pension en faveur d’un élève « qui aura le mieux dessiné d’après le modèle vivant ».Ce prix fut attribué à Louis Legrand le 19 octobre 1883, pour qu’il soit pensionnaire de l’Ecole des Beaux-Arts de Dijon, et qu’il bénéficie pendant 3 ans de 784 francs annuellement.
Autoportrait de Louis Legrand assis pied sur une chaise dans son atelier.
Fusain. 455 x 610 mm. Signature en bas à gauche.
Contrecollé sur un carton avec au dos l’inscription au crayon : 1276. « Legrand dans son atelier » (1884). Ce dessin a figuré à l’Exposition du Musée de Dijon 1953, sous le n°65.Superbe autoportrait de Legrand à 21 ans!
Ensemble de 10 dessins originaux.
10 dessins à l’encre de Chine, avec parfois rehaut de bleu, de divers formats (de 110 x 150 à 165 x 250 mm). Certains signés Legrand.
Dessins de presse, sans doute pour le Courrier français, avec lequel il collabora fréquemment à partir de 1887. Parfois humoristique avec légende et indication de taille.Cet ensemble, un peu éloigné du Legrand connu, montre bien l’évolution du travail de l’artiste. Papier parfois un peu sali, avec déchirures en marge.
Le livre d’Heures de Louis Legrand.
1898 Paris. Gustave Pellet. 1898. 1 volume in-8, brochage insolé.
Edition originale tirée à 160 exemplaires numérotés sur vélin, celui-ci n°26.Illustré de 13 eaux-fortes à pleine page de Louis LEGRAND, dont celle de la couverture, et de 200 bois dans le texte.A la suite, sont jointes 4 épreuves refusées.Exemplaire unique enrichi de toutes les matrices originales des eaux-fortes (13), rayées après tirage, sauf celle de la page 108. Traces de rouille et cuivre apparent à plusieurs endroits.Exemplaire unique enrichi de 157 dessins originaux àl’encre,crayon, deprojets de lettres, que l’on retrouvent dans l’ouvrage. Ces dessins, sur feuilles blanches de divers formats (de 115 x 75 à 170 x 220 mm), comprennent souvent des indications manuscrites et sont contrecollés sur 43 feuillets de papier fort (245 x 320 mm).On joint également une planche représentant le bandeau de la page 15.Ces essais de lettres et ornements, avec repris, collage... sont un émouvant témoignage illustrant parfaitement le sens du détail et le long travail préparatoire de Louis Legrand.« Le livre d’Heures était une intéressante tentative bibliophilique. Appliquer à un sujet sacré, à un texte mi-latin, mi-français, le libre commentaire de la vignette et du croquis jetés à travers les pages, y introduire l’eau-forte à pleine page, y conserver l’apparence négligée et séduisante du crayonnage en marge, y fixer toute vive l’impression de lecture de l’artiste, c’était nouveau, hardi.... Le Livre d’Heures fut donc composé par Legrand et édité par Pellet en dehors de tout préjugé professionnel, et il réalise à sa façon un résultat d’art bibliographique très neuf et très curieux ».« Legrand a lu les textes sacrés dans le calme de sa maison de Bretagne... Il semble que nous assistions à sa lecture et à ses réflexions, crayon aux doigts. Il ne s’agit pas d’une oeuvre composée et concertée, mais d’un bloc-notes de liseur fantaisiste qui se trouve être un admirable dessinateur et qui, ingénument... traduit ce qui l’a frappé, par des analogies très simples : et le volume édité par M. Pellet garde cette saveur d’improvisation, malgré les eaux-fortes en plusieurs états, le mélange de vernis mou, de lithographie, le soin apporté à la mise en page. C’est en quoi il est tout à fait réussi ».
Femme accoudée.
Dessin au pastel sur papier bleu. 480 x 620 mm.
Contrecollé sur carton avec au dos « 1272 Femme accoudée ». Etiquette Maurice Robinot emballage objets d’art pour M. Exteens, Liège.Ce dessin a figuré à l’Exposition du Musée de Dijon 1953, sous le n°65.
