2012 Editions Seuil, collection "Policiers" - 2012 - In-8, broché couverture illustrée - 725 pages
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Mills. Trace element metabolism in animals. In English /Mills. Trace element metabolism in animals. Mills. Trace element metabolism in animals. 1970. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalbabbba95d132f7a5c.
Chateauroux, Salviac; Paris, Gruner, 1853.
Seule édition. Rare manuel donnant les instructions pour tracer une route ou un chemin (et non pas un chemin de fer, comme il est curieusement indiqué au titre), qui traite principalement des travaux d'arpentage. - Description des instruments employés au tracé. - Opérations sur le terrain pour le projet d'un tracé. - Trigonométrie rectiligne. - Calculs pour le tracé des courbes en arc de cercle. Nombreux tableaux dans le texte. Illustré par 9 tableaux et 21 planches dépliantes hors-texte, dont trois sont des instruments d'arpentage. /// In-8 de 151, (1), IV, (6) pp., 30 planches ou tabl. hors-texte. Demi-basane marron, dos à nerfs, tranches mouchetées. (Reliure de l'époque.) //// /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET
conseil municipal du Bourg de VOID (Meuse) 3 pages.Août 1861.Chemin de fer de Chaumont à la ligne de Paris à Strasbourg près TOUL tracé par la vallée de la Meuse 9 pages.In 8 carré 26 août 1861.Avec une carte du tracé 60x 45,5cm Avec procès verbaux des séances du 25 juin et du 4 juillet 1862.6 pages in folio manuscrites.Très bon état. Rare
Château de Lutaines juin 1925 | 21 x 27 cm | 17 pages sur 5 doubles feuillets
Manuscrit original autographe de Paul Claudel, signé et daté, pour sa préface de A la trace de Dieu de Jacques Rivière. Dix-sept pages et demi à l'encre noire sur cinq doubles feuillets. Quelques mots biffés et réécritures. Pli horizontal, quelques rousseurs sur la première page, notes au crayon d'un bibliographe sur la dernière page vierge. La préface, datée de juin 1925 est parue une première fois dans le Correspondant le 25 septembre 1925, puis avec les Carnets de Rivière publiés la même année par sa femme sous le titreA la trace de Dieu (Gallimard, p. 9-24). Manuscrit complet de la belle préface de Paul Claudel pour la publication posthume descarnets tenus par Jacques Rivière lors de sa captivité pendant la Grande Guerre. L'écrivainrend hommage à travers ces pages à ce livre qui, si son auteur en avait eu le loisir et le temps - Rivière est mort à 39 ans - serait devenu un traité d'Apologétique Chrétienne. Dès 1907, Claudel avait joué un rôle important dans sa conversion et sonparcours religieux. Il entretint une correspondance avec le jeune critique devenu directeur de la Nrfjusqu'à sa mort brutale en 1924. Dans le manuscrit, ilfait l'introduction desécrits de Rivière datant de ses trois années dans les camps de prisonniers de Knigsbrück etHülseberg, après sa capture lors de la bataille d'Eton en août 1914.On y trouve, sous forme de notes qu'il destinait aux réunions entre prisonniers,une réflexion profonde sur la recherche de Dieu et les moyens d'aller à sa rencontre.Mais pour Jacques Rivière "Dieu reste un fait" : après une longue quête théologique et de nombreux revirements, il avait atteint l'apogée de sa foi lors de ces années de guerre. La mort d'Alain-Fournier et de Péguy, la certitude religieuse de sa femme Isabelle, la sensation d'être soutenu par Dieu pendant ces jours difficiles, tout concourraità lui donner une foi vivanteque célèbre le poète dramaturgedans ces belles pages. Il reconnaît la présence dans sa vie d'un Dieu personnel, croit à la valeur de la prière et de l'autodiscipline auxquels Claudell'avait exhorté dès leurs premiers échanges.Ces Carnets sont l'ultime preuve de l'influence de ce dernier : "la fin de Rivière fut toute illuminée par la doctrine que lui avait révélée le grand poète chrétien" (Paul Beaulieu). Claudel consacre demagnifiques passages à la communion de Rivière lejour de Noël 1913, qui marque publiquement son retour au catholicisme: "Tout ce que je peux dire est que la vie de Jacques Rivière me paraît une de celles qui ne s'expliquent pas seulement par elles-mêmes, mais par l'enseignement bon ou mauvais qu'elles comportent, parce qu'elles sont le type en qui se réalisent et s'informent une foule d'autres, qu'elles ont une valeur de parabole. Elle est la meilleure illustration de cette Providence dont il n'a cessé de sentir la main sur lui, de cette Providence humble, douce, toujours présente et toujours inattendue, infiniment patiente, ingénieuse et artiste, dont il a si bien parlé. C'est elle qui a conduit cette âme de bonne volonté à travers le pèlerinage de l'Intelligence depuis la confusion de l'adolescence jusqu'à ce jour de Noël 1913 où par un acte à l'égard des théories les plus extravagantes, depuis Darwin jusqu'à Freud, qui se présentent à elles avec le caractère de la dernière modeà quoi la noble délibération du jugement avait plus de part que l'exigence du sentiment, il vints'agenouiller aux pieds du saint curé de Clichy". La préface doublée d'un éloge funèbre est à l'image de leurs dialogues entre père et fils spirituels. Malgré leursdésaccords, Claudel admire la pensée de Rivière et sa vision objective des rapports de l'Eglise catholiqueet la société- sans laconsidérer comme la gardienne d'un conservatisme social, à l'inverse d'un Maurras ou d'un Barrès : "Parmi les maquettes de Jacques Rivière, celle dont l'étude a été poussée le plus loin et qui se dégage le mieux dans son ensemble est l'étude qu'il a intitulée : Le Catholicisme et la So
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Paris, Maison Bouasse-Lebel, Imp. Édit. et ancienne Maison Basset réunies, [circa 1865]. 485 x 614 mm.
Beau plan illustré de Paris en 1856, issu de l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et publié par la Maison Bouasse-Lebel et l'ancienne Maison Basset réunies vers 1865. La première édition a été publiée par la Maison Basset en 1858. Le plan est illustré de plusieurs vignettes figurant des monuments de Paris. Il montre également le tracé des quatre enceintes historiques de la ville. La première, aquarellée en orangé, est l'enceinte de Philippe Auguste, qui régna entre 1180 et 1223. C'est sous le règne de Philippe Auguste que débutèrent véritablement les projets d'agrandissement de Paris, notamment en intégrant les petits bourgs qui environnaient la ville. Afin de protéger la ville d'éventuelles attaques, Philippe Auguste entreprit de faire construire une enceinte autour de la ville avec ces nouveaux bourgs. L'enceinte de Philippe Auguste est aujourd'hui la plus ancienne dont on connaisse le tracé avec précision. La seconde, aquarellée en vert, montre les limites de Paris entre 1307 et 1383, sous les règnes de Charles V et Charles VI. C'est sous le règne de Charles V que fut construite une nouvelle enceinte par le prévôt Hugues Aubriot entre 1367 et 1383. C'est au cours de ces travaux de fortification que fut bâtie la Bastille en 1371. L'agrandissement de la ville imposa la construction de deux nouveaux ponts : le pont Saint-Michel en 1384, et le pont Notre-Dame en 1414. La troisième, aquarellée en rouge, indique les limites de Paris entre 1422 et 1589, sous les règnes de Henri III et de Louis XIII. C'est au cours de cette période que le Louvre fut reconstruit par François Ier (1530), que le quai de la Tournelle fut créé (1554), que le château des Tuileries fut construit sous l'impulsion de Catherine de Médicis (1564), et que commencèrent les travaux de construction du Pont-Neuf (1578). La dernière enfin, appelée enceinte du mur d'octroi, aquarellée en jaune, est connue sous le nom de Mur des Fermiers Généraux. Le Mur des Fermiers généraux est une enceinte construite entre 1784 et 1790, dont l'objectif était de permettre la perception aux points de passage, appelés barrières d'octroi, d'un impôt sur les marchandises entrant dans la ville. Il fut détruit en 1860 lors de l'extension de Paris jusqu'à l'enceinte de Thiers, construite entre 1841 et 1844. On trouve, tout autour du plan, une notice sur les monuments représentés, la superficie de Paris et le nombre d'habitants à diverses époques, ainsi que des représentations de monuments anciens : ancienne abbaye de Saint-Germain-des-Prés en 1370 ; pyramide de Jean Chastel ou Châtel et des Jésuites, place du Palais de Justice, construite en 1595 (et non en 1505 comme indiqué) et démolie en 1604 (pyramide commémorant la tentative d'assassinat d'Henri IV par Jean Châtel) ; pierres druidiques sur la terrasse de Meudon ; pompe de la Samaritaine, détruite en 1812 ; ex-voto de la corporation des Nautes de Paris (corporation des bateliers de la Seine), dédié à l'empereur Tibère (Pilier des Nautes conservé aujourd'hui au Musée de Cluny) ; autel dédié à Jupiter par les Gaulois ; thermes gallo-romains construits par l'empereur Constance vers l'an 300 ; autels représentant les divinités gauloises Ésus et Tarvos Trigarinos ; tombeau de Frédégonde, reine des Francs et épouse du roi mérovingien Chilpéric Ier ; entrée des Catacombes de Paris, et salle du memento (salle de l'ossuaire). Paris est représentée en 1856, tel que mentionné dans l'avis au lecteur en bas à droite. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque. Petit défaut au niveau du titre. Bibliographie de la France ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 20 mars 1858, 1858, p. 160, 599 (pour l'édition publiée en 1858).