‎Journal d’agriculture pratique ‎
‎ agriculture‎

‎ N° année complète de 1878 - demi basane marron‎

Reference : 3511


‎ bon état ‎

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Librairie Le Père Pénard
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‎SERRES, Olivier de‎

Reference : LCS-18477

‎Le Théâtre d’agriculture et Mesnage des champs. D’Olivier de Serres Seigneur du Pradel. L’édition originale de « l’extrêmement remarquable Théâtre d’agriculture d’Olivier de Serres » (Pierre Larousse).‎

‎Précieux exemplaire relié en vélin ivoire vers 1660. Paris, Iamet Metayer 1600. Imprimeur ordinaire du Roi Henri IV. In-folio de (8) ff. dont 1 frontispice gravé, 1004 pp. et (10) ff. Plein vélin ivoire, dos à nerfs orné de fers proches de l’Atelier Pierre Rocolet-Antoine Padeloup, vers 1638-1662 selon Raphaël Esmérian. Exemplaire relié vers 1660.‎


‎Edition originale rare de «l’extrêmement remarquable Théâtre d’agriculture d’Olivier de Serres». (Pierre Larousse), le premier traité moderne d’agriculture mettant à l’honneur la langue française. Tchemerzine, V, p. 817; Pritzel 8630; Mortimer French Books, 494; Thiebaud 840; Schwerdt II-156/157; Kress 236; En français dans le texte 79. «La prose de Serres, dans le sillage de Montaigne et de Saint François de Sales, est claire et belle. Le titre du Théâtre d’Agriculture, composé de deux groupes de mots usuels unis de façon heureuse et inattendue, dénote une haute maîtrise de la langue. Plus de vingt éditions successives en attestent le succès.» (En Français dans le texte, B.n.F.). Gentilhomme protestant d'Ardèche, Olivier de Serres, dans sa jeunesse, milite dans les rangs des réformés et on le trouve encore, en 1573, au siège de Villeneuve-de-Berg, qui fut suivi d'affreux massacres. Il reprend ensuite, pour un quart de siècle environ, la culture de son domaine du Pradel, pratiquant méthodiquement l'assolement. Son intérêt s'étend à l'irrigation, à l'élevage, aux forêts, à la vigne. Le jardin médicinal ou bouquetier le requiert particulièrement. Il connaît le maïs et la betterave et, près de deux siècles avant Parmentier, la pomme de terre qu'il compare à la truffe et nomme cartoufle. Il s'intéresse à l'utilisation et à la conservation des produits de la terre et découvre d'ingénieuses recettes. Il étudie les ruches et les vers à soie et acquiert une grande maîtrise en matière de sériciculture. En 1599, il publie un petit volume de cent pages, aussitôt traduit en Angleterre et en Allemagne, sur la Cueillette de la soye par la nourriture des vers qui la font. Henri IV lui écrit et lui demande son aide pour l'une des grandes entreprises économiques du règne consistant à planter d'immenses quantités de mûriers. À soixante ans, l'agronome devient le conseiller royal. Il réunit dans son Théâtre d'Agriculture les fruits de son expérience et y prodigue un vaste enseignement inconnu jusqu'alors. Il s'agit là du premier grand traité français d'agronomie. Le livre est orné d'un titre frontispice gravé par Mallery et de figures sur bois dans le texte ; en tête de chacun des huit chapitres, un bandeau, également gravé sur bois, montre des scènes de la vie champêtre. ». (En Français dans le texte. B.n.F.) Son «Théâtre d'agriculture et Ménage des champs», où il consigne avec une simplicité savoureuse les résultats de 40 ans de recherches et de pratique, lui apporta une gloire qui ne s’éclipsera qu’à la fin du XVIIe siècle, devant la vogue, alors, de «La Maison rustique» de Ch. Estienne et Liébault. «Il est divisé en 8 « lieux » chacun illustré d'un bandeau gravé sur bois en rapport avec le titre : (1) connaissance et choix des terres, (2) labourage des terres à blé (pain et légumes), (3) culture de la vigne, (4) bétail à quatre pattes et pâturages, (5) poulailler, colombier, garenne, étang, rucher et ver à soie, (6) potager, verger, herbes condimentaires (dont safran), médicinales et tinctoriales (guède, garance), (7) eaux et bois dont coupes et entretiens, (8) usages des aliments dont recettes de divers pains, boissons (hypocras, malvoisie, hydromel, confitures, conserves de fruits ou viandes, sirops, choucroute, truffes, etc.), façon d'accommoder les maisons et les habits à la campagne, médecine des hommes et des bêtes et « de l'honneste comportement [à tenir] en la solitude de la campagne.» Mais pas un instant Olivier de Serres ne cessa de veiller sur sa propriété du Pradel, tout en employant ses dernières années à propager dans la région la culture de la soie. Il vint à un moment décisif de l'économie française, alors que la vie rurale reprenait son essor, que les pillages et les dévastations, suites de la guerre, permettaient un renouvellement des instruments et des méthodes de culture restés inchangés depuis le moyen âge. L’action d’Olivier de Serres, d’abord isolée, devint un symbole du relèvement économique qu’Henri IV s’efforça de susciter. « Il n'est pas besoin d'être un technicien de l'agronomie ni un historien pour trouver plaisir à lire Olivier de Serres : son livre, comme son action, marque bien le moment où la France retourne au calme, où elle retrouve un bon sens alerte, malicieux, la joie profonde d'être naturelle.» Dans son activité de propriétaire rural, Olivier de Serres ne perdait pas de vue l'intérêt national. Il désirait prêcher d'exemple et convaincre les gentilshommes de s'occuper eux-mêmes de leurs terres ; il lut les anciens traités d'agronomie, les trouva insuffisants et vieillis ; aussi, pendant 30 ans, consacra‑t-il ses loisirs à la composition d'un traité qui put rendre service de son temps. L’ouvrage est dédié à Henri IV, qui comprit aussitôt à quel point ce livre pouvait être un appui pour l’œuvre de pacification des esprits et de redressement économique qu’il entreprenait, aussi le roi ne lui ménagea-t-il pas ses éloges. L'utilité de cet ouvrage, la protection royale, son caractère d'actualité lui valurent un immense et durable succès, dont témoignent les nombreuses éditions qui en furent faites dans la première moitié du XVIIe siècle. Souvent l'expression est ingénieuse et raffinée ; il appelle le jardinier « l'orfèvre de la terre, parce qu'il surpasse d'autant plus le simple laboureur que l'orfèvre le commun forgeron ». Il y a parfois dans ce langage, qui n'a rien d'affecté, quelque chose de Montaigne et quelque chose de Saint François de Sales. Pendant plusieurs mois, Henri IV s’en faisait lire des passages, après chaque dîner, une demi-heure durant, et il y eut avant 1675, une vingtaine d'éditions. On l'a réimprimé en 1804. L’ouvrage est illustré d’un titre frontispice gravé par Mallery, de 16 figures sur bois de parterres dans le texte et de 8 bandeaux gravés sur bois en tête de chaque chapitre représentant des scènes de la vie champêtre. Les auteurs contemporains gardent le silence sur Olivier de Serres, excepté le président de Thou. «Deux frères, du nom de Serres dit cet historien, ont rendu ce nom très illustre dans le XVIe siècle: le premier était Jean de Serres, qui s'est fait une grande réputation dans les belles-lettres. L'autre était Olivier, qui a fait un écrit sur la cueillette des vers à soie, pour seconder le désir que le roi Henri IV « avait de propager en France les vers a soie et les mûriers.» Olivier de Serres s’exprime ainsi dans la préface de son Théâtre: « Mon inclination et l'estat de mes affaires m'ont retenu aux champs en ma maison, et faict passer une bonne partie de mes meilleurs ans durant les guerres civiles de ce royaume, cultivant ma terre par mes serviteurs, comme le temps l'a peu supporter. En quoi Dieu m'a tellement béni par sa sainte grâce, que m'ayant conservé parmi tant de calamités, dont j'ai senti ma bonne part, je me suis tellement comporté parmi les diverses humeurs de ma patrie, que ma maison ayant été plus logis de paix que de guerre, quand les occasions s'en sont présentées, j'ai rapporté le témoignage de mes voisins, qu'en me conservant avec eux, je me suis principalement adonné chez moi à faire mon mesnage. Parmentier, si zélé pour la propagation des produits de l'agriculture, profita de la publication d'un Mémoire sur les avantages que le Languedoc pouvait retirer de ses grains (1786) pour retracer le mérite d'Olivier, en faisant observer que plusieurs modernes l'avaient mis à contribution. Broussonnet saisissait toutes les occasions de rappeler au souvenir de la postérité le nom de De Serres. De plus, il fit le fonds d'un prix à l'académie de Montpellier pour le meilleur éloge de cet auteur ; et ce prix fut décerné en 1790, à un discours dans lequel Dorthès fit un bon extrait du Théâtre d’Agriculture. Faujas de St-Fond, toujours zélé pour les entreprises honorables, avait rassemblé des matériaux pour rendre à la mémoire d'Olivier le même service qu'il avait rendu à Bernard Palissy, en faisant une nouvelle édition de ses œuvres. Enfin les étrangers eux-mêmes concoururent à cette sorte de réparation, entre autres Arthur Young, qui comptait au nombre des circonstances les plus heureuses de son voyage agronomique en France d'avoir pu respirer l'air du Pradel, antique manoir d'Olivier. « Je contemplai, dit-il, la résidence du père de l'agriculture française (qui était sans doute un des premiers écrivains sur ce sujet qui eût encore paru dans le monde) avec cette espèce de vénération qui ne peut être sentie que par ceux qui se sont fortement adonnés à quelque recherche favorite, et qui se trouvent satisfaits de la manière la plus délicieuse. » Le voyageur anglais ne s'en est pas tenu à ces simples expressions : dès qu'il connut le projet d'élever, par souscription, un monument à la mémoire d'Olivier, sur la place de Villeneuve de Berg, il s'empressa de s'inscrire sur la liste. Ce n'est qu'en 1804 que ce monument a été exécuté, par les soins de Caffarelli, alors préfet de l'Ardèche. La société d'agriculture a fait aussi frapper une médaille à l'effigié de De Serres. Edition originale rare en reliure ancienne. Le 8 novembre 2006 la Librairie Sourget cataloguait et vendait 50000 € un exemplaire en reliure restaurée du XVIIIe siècle (Cat XXXIII n° 51). Le présent exemplaire nettoyé anciennement avec délicatesse, revêtu de son élégante reliure du XVIIe siècle, est en condition bibliophilique plus désirable. Le 21 mai 2003, il y a 21 ans, la même Librairie Sourget cataloguait et vendait 350000 € l’exemplaire relié en vélin de l’époque aux armes du roi Henri IV.‎

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EUR35,000.00 (€35,000.00 )

‎LE BLANC (inspecteur des manufactures du Languedoc).‎

Reference : 4146

(1770)

‎Manuscrit. [Sur l'agriculture].‎

‎, , 1770 ca. In-4 manuscrit de (132) ff., table. Relié à la suite :Mémoire sur la culture de la pimprenelle. Par M. Le Blanc inspecteur des manufactures. In-4 de (4) ff.Ensemble deux pièces reliées en 1 vol. in-4, vélin vert, dos à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque). ‎


‎Ce recueil manuscrit constitue un précieux témoignage sur l’agriculture et les pratiques agronomiques à la fin du règne de Louis XV. Compilé par Le Blanc, inspecteur des manufactures à Montpellier et dans le Languedoc, cet ensemble d’articles et de mémoires reflète l’état des connaissances et des débats agronomiques de son époque. Connu pour son Mémoire sur la culture de la pimprenelle et ses Observations sur les foires de Montagnac et de Pézenas (1774), Le Blanc s'inscrit dans le mouvement des Lumières, où l'agriculture était perçue comme un pilier du progrès économique et social.Structure et contenu.Le recueil est organisé en plusieurs cahiers thématiques, chacun dédié à un aspect spécifique de l’agriculture. Les sujets abordés témoignent de la diversité des préoccupations agronomiques de l’époque, allant des techniques de culture aux soins vétérinaires, en passant par les innovations mécaniques et les réflexions sur l’aménagement des terres.Premier cahier : Fondements et instruments agronomiques. Ce cahier introductif propose un discours préliminaire sur l'agriculture, un catalogue d'ouvrages essentiels, et une analyse comparative des charrues et machines agricoles. Il reflète l'importance accordée à la diffusion du savoir agronomique et à l’expérimentation.Deuxième cahier : Élevage et soins des animaux. Une large place est accordée à l’élevage, avec des observations pratiques sur la prévention des maladies du bétail, l’alimentation des troupeaux, et les remèdes vétérinaires. Ces éléments soulignent le rôle central de l’élevage dans l’économie rurale.Troisième cahier : Cultures spécifiques et gestion des prairies. Les textes traitent notamment de la culture de plantes comme le trèfle, le timothy et la pimprenelle, ainsi que des moyens d’améliorer les prairies humides ou dégradées. Ces réflexions traduisent une volonté d’optimisation des terres agricoles.Quatrième cahier : Drainage et aménagement des terres. Ce volet aborde les méthodes de dessèchement des marais et l’amélioration des bas prés. Il met en lumière l’attention portée à la gestion des eaux et à l’aménagement du territoire pour accroître la productivité agricole.Cinquième cahier : Fertilisation et engrais. Les articles ici rassemblés explorent des méthodes pour produire et utiliser efficacement le fumier et d'autres amendements, comme les cendres ou l’argile calcinée. Ces observations révèlent une recherche constante de la fertilité des sols.Sixième cahier : Défrichement et utilisation des terres. Le cahier traite des défrichements, une thématique essentielle dans un contexte de croissance démographique et d’expansion agricole. Les échanges entre différents auteurs montrent des débats sur les avantages et les risques de ces pratiques.Septième cahier : Sylviculture et arboriculture. Cette dernière section examine la culture des bois et des arbres, tels que le saule, l’orme et le peuplier, et propose des techniques pour le transport des grands arbres. Ces réflexions reflètent l’intérêt croissant pour la gestion forestière et l’arboriculture comme complément à l’agriculture.Appendices et documents associés.Le recueil inclut également un inventaire manuscrit des plantes, arbres et graines, ainsi qu’un mémoire complémentaire sur la culture de la pimprenelle. Ces documents renforcent la valeur encyclopédique de cet ensemble, à la fois outil pratique et réflexion théorique.Portée historiqueCe manuscrit illustre la volonté des agronomes du XVIIIe siècle de transformer les pratiques agricoles grâce à l’expérimentation, la circulation des savoirs et l’innovation technique. Il reflète également les échanges entre érudits et praticiens, et leur quête commune d’une agriculture rationnelle, inscrite dans le projet des Lumières.On joint : Arbres, arbustes, plantes et graines. In-4 manuscrit en feuilles de (2) ff. ; Mémoire sur la culture de la Pimprenelle par MR Le Blanc Inspecteur des manufactures. In-folio en feuilles de 4 ff. ‎

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EUR1,500.00 (€1,500.00 )

Reference : 3900

(1798)

‎Société d'Agriculture, Commerce, Sciences et Arts de la Marne. Compte annuel et sommaire des travaux de la Société d'agriculture, commerce, sciences et arts du département de la Marne.‎

‎A Châlons, Imprimerie de Boniez, 1798-1846. 11 vol. in-8, demi-basane havane marbrée, dos lisses ornés, pièce de titre en maroquin rouge et de tomaison en maroquin bleu (reliure de l'époque). ‎


‎Créée en 1798, la Société d'agriculture, commerce, sciences et arts de la Marne est l'héritière de l'Académie de Châlons, reconnue d'utilité publique en 1775. Elle regroupe ceux qui se livrent à des recherches et sont en mesure de les exposer et une majorité d'adhérents qui portent un intérêt à ses investigations ; les travaux peuvent revêtir un caractère extra-régional, mais ils concernent plus généralement un objectif départemental ou local. Chaque année depuis sa création et jusqu'à nos jours, cette société savante publia un compte rendu de ces activités. Remarquable ensemble réuni par Charles-Marie Caquot (1789-1857), magistrat, associé durant quarante ans aux travaux de la Société ; élu membre titulaire en 1818, il remplissait les fonctions de secrétaire, et fut élu 4 fois président. Les onze volumes sont composés de compte-rendus annuels, mémoires, publications des membres, sur l'agriculture, les sciences, les lettres ou les arts, ainsi que quelques lettres manuscrites adressées à C.-M. Caquot. Parmi ces mémoires, on trouve : Discours sur les avantages qu'assure à la France le rétablissement des Bourbons, prononcé le 25 août 1814, par M. l'abbé Brisson. Notes sur le Saugier ou poirier de sauge, considéré par rapport à l'économie rurale et domestique par M. Piérard. (1819). De la Carie des blés. (1822). Rapport sur le Buttoir économique de M. Canard, cultivateur à Jonchery-sur-Suippes ; par M. Chapon. VERRIERES (Claude-Remy Buirette de). Les Etats de Champagne. A Châlons, chez Seneuze, 1788. In-8 de 61 p., BOURGEOIS DE JESSAINT (Claude-Laurent). Description topographique du département de la Marne. A Paris del' Imprimerie des Sourds-Muets, 1798. GERUZEZ (Jean-Baptiste-François). Flore médicale du département de la Marne. A Chaalon-sur-Marne,1819. JOPPÉ (C.). Chanson pour le jour de la publication du sénatus-consulte organique de la Constitution, imprimé par ordre du Préfet, par le citoyen Joppé, bibliothécaire à l'Ecole centrale du Département de la Marne. A Chaalons, Chez Mercier, 1802. HERICART DE THURY (Louis-Etienne-François). Rapport sur les fosses mobiles et inodores de MM. Cazeneuve et Cie, fait à la Société royale et centrale d'agriculture. FRANCOIS DE NEUFCHÂTEAU (Nicolas). Supplément au rapport sur le service des fosses mobiles et inodores, contenant des recherches sur l'utilité de l'urine par rapport à l'agriculture. A Paris, De l'imprimerie de Madame Huzard, 1818. CAMUS-DARAS (Nicolas-René). Les Six premier livres de l'Énéide en vers français. A Rheims, De l'Imprimerie de Le Batard,1820. ANOT DE MAIZIÈRE (Cyprien). Démontrer que les intérêts des Français de toutes les classes sont attachés au maintien de la Charte constitutionnelle. A Chaalons, Chez T.-J. Martin, 1819. PARIS (Jean-Joseph). Essai sur cette question : Quels sont les meilleurs moyens de prévenir, avec les seules ressources de la France, la disette des blés et les trop grandes variations dans leurs prix ? Mémoire. A Paris, Chez Mme Huzard, 1819. CHAILLOU DES BARRES (Claude-Étienne). Essai historique et critique sur la législation des grains jusqu'à ce jour, ou Mémoire sur cette question proposée par la Société d'agriculture, commerce, sciences et arts du département de la Marne Quels sont les meilleurs moyens de prévenir, avec les seules ressources de la France, la disette des blés et les trop grandes variations dans leurs prix ? Ouvrage qui a obtenu une médaille d'or. A Paris, De l'Imprimerie de Firmin Didot, 1820. JOLLY (Paul). Essai sur la statistique et la topographie médicale de la ville de Châlons-sur-Marne. A Châlons, De l'Imprimerie de Boniez-Lambert, 1820. In-8 de 84 pp. LAMBERT (Louis-Amable-Victor, abbé). Vie de Messire Antoine-Eléonore-Léon Leclerc de Juigné, archevêque de Paris. Paris, AD. Le Clère, 1823. PARIS (Jean-Joseph). Mémoire sur cette question : Quelle est, dans l'état actuel de la France et dans ses rapports avec les nations étrangères, l'extension que l'industrie, dirigée vers l'intérêt national, doit donner aux différents genres d'inventions qui suppléent le travail des hommes par le travail des machines. Paris, Chez Madame Huzard, 1821. PARIS (Jean-Joseph). Considérations sur la crise actuelle de l'empire Ottoman, les causes qui l'ont amenée , et les effets qui doivent la suivre. Paris, De l'Imprimerie de A. Bobée, 1821. DELAVAU (F.) Rapport sur le procédé vinificateur de Mlle Gervais, suivi d'expérience comparative. Par F. Delavau, propriétaire. A Bordeaux, Chez Pierre Beaume, 1822. PAGEZY DE BOURDELIAC (Louis). De l'Emploi des loisirs du soldat français en temps de paix. Paris, Anselin et Pochard, 1823. BENIT (Anne François). Idées d'un jeune officier sur l'état militaire. Paris, Chez tous les Marchands de Nouveautés, 1820. Réflexions sur les Consultations de Vauchassy. Par un ami de l'Humanité. Se vend chez les principaux libraire du département de la Marne et des départemens voisins, De l'imprimerie de T.-J. Martin, 1818. Histoire des convultionnaires du XVIIIme siècle et des miracles du Diacre de Paris. Sans lieu ni date. In-8 de 16 pp. Extrait du Dictionnaire des Reliques et des Images de M. Collin de Plancy. JACOB-KOLB (Gérard). Recherches historiques sur les Antiquités d'Augst, ancienne colonie romaine, située près de Bâle en Suisse. Rheims, Imprimerie de Delaunois, 1823. PAYEN (Anselme). Mémoire sur les bitumes leur exploitation, et leurs emplois utiles, publié à l'occasion d'un rapport à la société d'encouragement sur les produits bitumeux des mines de Lobsann, au nom des trois comités réunis : des arts chimiques, économiques et d'agriculture. A Paris, De l'Imprimerie de Madame Huzard, 1824. TERNAUX (Louis-Guillaume). Recueil des pièces sur l'importation et la naturalisation en France, par MM. Ternaux et Jaubert, des chèvres de race tibétaine ou chèvres à duvet de cachemire. Paris, De l'Imprimerie de Madame Huzard, 1822. PAGEZY DE BOURDELIAC (Louis). De la Prérogative royale et du ministère de la Guerre en matière de recrutement. A Montpellier, De l'Imprimerie de Mme Vve Picot, 1829. JOLLY (Jules). Du Duel et de sa législation, mémoire couronné par l'Académie de Châlons-sur-Marne. Paris, Chez Wittersheim, 1838. In-8 de XXXI-95 pp. Rapport sur les moyen propres à éteindre la mendicité à Rheims. Rheims, Imprimerie de E. Luton, 1841. Notice sur les champignons trouvés aux environ de Reims, avec indication des espèces comestibles ou vénéneuses, par M. Saubinet aîné. Reims, Imprimerie de L. Jacquet, 1842. LAMBERTYE (Léonce de). Catalogue raisonné des plantes vasculaires qui croissent spontanément dans le département de la Marne. Paris, Chez Chamerot, 1846. ROYER-COLLARD (Pierre-Paul). Opinion de M. Royer-Collard député de la Marne, sur la septennalité. Paris, De l'Imprimerie de Hacquart, (1824). ROYER-COLLARD (Pierre-Paul). Opinion de M. Royer-Collard, député de la Marne, sur le projet de loi relatif a la police de la presse (Séance du mardi 14 février 1827). Paris, Baudoin frères, (1827). ROYER-COLLARD (Pierre-Paul). Opinion de M. Royer-Collard, député de la Marne, sur le projet de loi relatif au sacrilège (Séance du mardi 12 avril 1825). Paris, Imprimerie de A. Henry, (1827). ‎

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EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎[AGRICULTURE ].‎

Reference : 3872

‎Exposition universelle à Vienne en 1873. Cartes, plans, dessins, documents historiques et statistiques composant l'exposition de la direction de l'agriculture dans les groupes 2 (Agriculture) et 26 (Enseignement). ‎

‎ Paris, Imprimerie nationale, Ministère de l'Agriculture et du commerce, 1873 ; in-folio oblong (37 x 51 cm). Pleine percaline brique d'éditeur, titre doré au dos et sur le plat sup. Plats tâchés, fente à la charnière du second plat. Plis sur les 3 premiers feuillets (gardes et les 2 faux-titres). 82 feuillets non chiffrés. - frontispice litho. en deux tons - 3 cartes dépliantes - 11 cartes en couleurs - 11 planches de vaches et taureaux (héliogravures en couleurs), 5 planches d'ovins (lithographies teintées), 3 planches de vigne comportant 46 figures (gravure sur bois), 7 planches lithographiées illustrant des écoles d'agriculture ou vétérinaires, 3 planches lithographiées représentant des vacheries et bergeries, 2 planches de prix et trophées, et quelques dessins dans le texte. ‎


‎L'Exposition universelle de 1873 s'est déroulée du 1er mai 1873 au 31 octobre 1873 à Vienne en Autriche, sur le thème de l'Éducation et de la Culture. ‎

Phone number : 04 70 98 92 23

EUR350.00 (€350.00 )

‎BERTRAND (Jean) & CARRARD (Benjamin).‎

Reference : 2714

(1766)

‎De l'Esprit de la Législation pour encourager l'Agriculture, &c. Deux dissertations, dont l'une a été couronnée par la Société oeconomique de Berne, l'autre a mérité l'accessit.‎

‎Berne, chez la Société typographique, 1766. In-8 de (2)-VI-380 pp., basane havane, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin brun (reliure de l'époque). ‎


‎Édition originale. Recueil de deux mémoires sur l'agriculture décorés en 1764 par la Société Economique de Berne : « On ne pouvait poser de question plus importante dans une Société formée pour encourager l'agriculture, les arts et le commerce que celle dont Monsieur le comte Mniszech a fait choix, quel devroit être l'esprit de la législation pour favoriser l'agriculture, & relativement à ce premier objet la population, les arts, les métiers et le commerce ? La Société oeconomique de Berne a été appellée à juger définitivement sur les mémoires présentés pour concourir à ce prix ». Esprit de la législation pour encourager l'agriculture, la population, les manufactures & le commerce, par M. J. Bertrand Pasteur à Orbe membre de la Société oeconomique de Berne ; Mémoire, que plusieurs membres de la Société ont jugé digne de remporter le prix, par M. Benjamin Carrard d'Orbe, ministre du St. Évangile.Ex-libris manuscrit à l'encre du temps « N. Wouken ». Coiffes usées, mors fendus.INED, 466 ; Einaudi, I, 472 ; Coquelin et Guillaumin, I p. 47 ; inconnu de Kress. ‎

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