2002 Editions Code - 26/024/2002 - Grand in-folio, cartonnage scellé par des coutures (jamais ouvert)
Reference : 116191
Bon état
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Payot, 1959, in-8 br. (14 x 23), 286 p., coll. "Bibliothèque scientifique", préface de J. Berlioz, 46 figures dessinées par Danielle Fischer, exemplaire non coupé, très bon état.
Bonne étude en quatre chapitres : La vie du renard - Le piégeage du renard - Modes de chasse du renard - Quand le renard est tué ou capturé. Voir le sommaire sur photos jointes.
Payot, 1954, in-8 br. (14 x 23), 192 p., coll. "Bibliothèque scientifique", 10 gravures h.-t., exemplaire non coupé, très bon état.
Bonne étude en quatre chapitres : La vie du renard - Le piégeage du renard - Modes de chasse du renard - Quand le renard est tué ou capturé. Voir le sommaire sur photos jointes.
Payot, 1953, in-8 br. (14 x 23), 339 p., coll. "Bibliothèque scientifique", 83 illustrations, 8 planches h.-t., exemplaire non coupé, dos un peu passé sinon très bon état.
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André Versailles, 2008, in-8 br., 239 p., coll. "L'Autre et l'Ailleurs", quelques illustrations, très bon état.
Pendant près de deux siècles, l'idée s'est imposée comme une évidence : l'abolition de l'esclavage a été un effet des Lumières. Les révolutionnaires de 1794 n'ont-ils pas été formés par la lecture des Philosophes dont leurs successeurs de 1848 se veulent les héritiers ? Tout au plus constate-t-on qu'il a fallu soixante ans pour que les principes de la Déclaration des droits de 1789 soient appliqués dans les colonies comme dans la métropole et l'on ne manque pas de souligner le poids des préjugés et des intérêts qu'il fallait secouer. Voici pourtant que cette évidence d'hier se trouve contestée, dans une configuration idéologique où il arrive aux extrêmes opposés de se rejoindre. Effectif ou supposé, l'antiesclavagisme du XVIIIe siècle français est soumis à la même contestation que les Lumières elles-mêmes : responsables de tous les maux du XXe siècle, selon de hautes autorités ecclésiastiques, celles-ci se voient aussi reprocher, au temps de la décolonisation, d'avoir inspiré l'idéologie coloniale. On met parfois l'accent, notamment chez les descendants des esclaves noirs des Antilles, sur les révoltes et la résistance d'esclaves qui, avant de recevoir de la métropole leur liberté, l'auraient conquise les armes à la main. On insiste aussi sur le contexte économique de l'abolition définitive : l'esclavage aurait disparu quand la révolution industrielle l'aurait rendu inutile. On souligne enfin, et pour s'en indigner, les hésitations des philosophes, jusqu'à accuser leur philosophie non plus seulement d'impuissance, mais de cynisme ou d'hypocrisie, et à les accuser parfois eux-mêmes (Montesquieu, Voltaire, Diderot) d'avoir été des profiteurs de la traite. Le propos de ce livre est de réagir à ce révisionnisme multiforme avec l'ambition de comprendre une réalité historique complexe, d'analyser les réalités idéologiques et mentales du XVIIIe siècle, hors toute simplification réductrice, dans leur élan réformateur comme dans leurs hésitations, leurs nuances ou leurs contradictions.On s'interrogera sur l'émergence relativement lente et tardive du thème de l'esclavage colonial dans la pensée et la littérature. On questionnera l'attitude des Églises chrétiennes. On montrera comment le débat naissant interfère avec beaucoup d'autres (politiques, économiques, moraux) qui le nourrissent et le compliquent. Voir le sommaire sur photos jointes.
Saint-Jean-de-Braye, Editions Dangles, 1991, in-8 br., 389 p., coll. "Horizons ésotériques", nombreuses illustrations, bon état.
Cet ouvrage nous plonge dans les abîmes de nos origines et tente de répondre aux questions essentielles : qui est l'homme ? d'où vient-il ? où va-t-il ? C'est en millions d'années, que l'on chiffre la lente émergence d'une humanité balbutiante. La première étape vit la fabrication des outils, puis vint la découverte du feu et sa maîtrise. Ensuite, l'homme s'inscrit dans un environnement à quatre éléments (terre, eau, air, feu) et se considère à la fois comme le centre de son propre univers, et de l'univers tout entier. Alors, apparaît un homme nouveau, maniant la parole et l'abstraction : l'Homo sapiens, c'est-à-dire nous-même. Art, sens du sacré, ésotérisme... la tradition primordiale sort brutalement de la nuit de la caverne où les hommes anciens l'ont soigneusement cachée sous des symboles qui sont, aujourd'hui, les mêmes qu'il y a 50 000 ans. Des secrets immémoriaux sont dévoilés, tellement simples et évidents que personne ne pouvait — ou n'osait — les voir. Malheureusement, le Déluge met fin à ce vert paradis de l'enfance de l'homme qui, dès lors, perd son unité, sa langue, sa tradition, pour s'entre-déchirer en tribus rivales, en langues multiples, en religions diverses, en traditions concurrentes. À travers la préhistoire de l'humanité, on voit naître le symbole — origine de toute pensée abstraite et, en même temps, racine du sacré. C'est peut-être ici que se situe la différence entre l'humanité et l'animalité : seul l'homme est capable d'exprimer sa conscience du sacré, que ce soit par la parole, le dessin, la sculpture, la musique ou l'extase. Il est grand temps de redresser l'échelle, qui permettait aux hommes anciens de changer de plan de réalité et de passer, instantanément, de la Terre au Ciel. Il est urgent de retrouver cette simplicité et cette unité de nos origines, d'ouvrir enfin les yeux et de voir. Voir le sommaire sur photos jointes.