‎Champsaur Félicien‎
‎Le Coeur‎

‎C. Marpon et E. Flammarion, éditeurs Relié In-12 (10,5 x 16,3 cm), reliure demi-toile, dos lisse orné d'une pièce de titre noire et d'une fleur dorée, sans date, IV-243 pages ; quelques traces sur la toile dont une petite mouillure au dos/premier plat, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎

Reference : yd1380


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‎BERTHOUMIEU (Abbé G.-V.).‎

Reference : 1917

‎L'église du Sacré-Coeur de Moulins. Précis historique, architectural et religieux. ‎

‎ Moulins, Etienne Auclaire, 1894 ; in-12, broché. 1f.-IV-115pp. Une vue hors-texte sur double pages, un plan et quelques illustrations in-texte. Couverture bleue un peu défraîchie. ‎


‎Origine de la paroisse Saint-Nicolas. Construction du nouvel édifice sur les plans d'Esmonot puis de J.B. Lassus. Création de la paroisse du Sacré-Coeur. Description archéologiques. Les confréries. Neuvaines et prières. ‎

Phone number : 04 70 98 92 23

EUR20.00 (€20.00 )

‎BOUDANT (Abbé Gilbert).‎

Reference : 8165

‎Chants du coeur. Deuxième édition, revue, corrigée et considérablement augmentée par l'auteur.‎

‎ Moulins, P.-A. Desrosiers, 1839 ; in-18 (14,5 x 9,5 cm). Broché. 2ff.-356pp. Couverture bleue imprimée. Petite étiquette papier en tête du dos. Rousseurs sur les 3 premiers feuillets ‎


‎Recueil de 80 poèmes exaltant les valeurs religieuses, la piété et le dévouement maternel, suivis d'hymnes à la Sainte Vierge et de chants appropriés aux maisons d'éducation, par le curé de Chantelle (Allier), orné de nombreux petits bois gravés en culs-de-lampe. L'ouvrage porte l'ex-libris (cachet humide) de la bibliothèque de l'historien et érudit moulinois Francis Pérot. Les "Chants du coeur" seront mis en musique par Charles-henri Plantade et publiés par Desrosiers. La première édition date de 1836. ‎

Phone number : 04 70 98 92 23

EUR30.00 (€30.00 )

‎[André des Gachons] - ‎ ‎ESTIENNE (Aristide) - [GACHONS (Andhré Des)].‎

Reference : 6517

‎Bréviaire du coeur. Poésies. ‎

‎ P., La Plume, 1893 ; in-12, broché. Front.-VIII-88pp.-5pp. (catalogue du libraire)-1f. n. ch. Couverture légèrement poussiéreuse. Bon état. ‎


‎Edition originale avec un envoi autographe de l'Auteur à Numa Barbier. Frontispice dessiné par André Des Gachons et préface de Léon Deschamps (créateur en 1889 de la revue littéraire et rtistique "La Plume"). Tiré à petit nombre sur vergé d'Arches. Aristide Estienne était originaire de Landreville (1851-1926, Aude). Erudit et poète, il était aussi vigneron ; il est peut être plus connu aujourd'hui par une cuvée de Champagne qui porte son nom que par ses poésies, à propos desquelles, pourtant, le préfacier dit : "Le coeur du poète et celui du lecteur battent à l'unisson, tressaillent des mêmes émotions, vibrent des mêmes enthousiasmes ; mystérieusement fleurit entre eux une amitié forte et douce, éclose de cette double communion idéale en l'Art..." Quant à André des Gachons, il était natif d'Ardentes dans l'Indre (1871). Il exposa ses premières oeuvres en 1891 au salon du Champs de Mars à Paris. Peu après, avec son frère Jacques, il créa le "Théâtre minuscule" où sur des décors d'André, Jacques interprètait ses poèmes sur fonds musical. Après son service militaire à Laon, André rencontra une demoiselle Guelle qu'il épouse et ils s'installèrent dans la maison familialle de sa femme à la Chaussée sur Marne (Marne). Passionné de sciences et de météorologie, il mis son talent de peintre et d'illustrateur au service "du ciel" et releva de 1913 jusquà sa mort en les températures et transcrivit dans des dizaine de milliers d'aquarelles l'apparence changeante du ciel. ‎

Phone number : 04 70 98 92 23

EUR90.00 (€90.00 )

‎Collectif‎

Reference : R320135675

(1948)

‎Pages Documentaires - Paray le Monial le message du sacré coeur - ils travailleront avec succès - la dévotion au sacré coeur - la révélation du sacré-coeur - les promesses du sacré-coeur - le sacré coeur - l'actualité de la dévotion au sacré-coeur etc.‎

‎Secrétariat des oeuvres du sacré-coeur. 1948. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 12 fascicules - 4 + 4 + 4 + 8 + 4 + 2 + 2 + 4 + 4 + 12 + 4 + 6 pages.. . . . Classification Dewey : 230-Christianisme. Théologie chrétienne‎


‎Paray le Monial le message du sacré coeur - ils travailleront avec succès - la dévotion au sacré coeur - la révélation du sacré-coeur - les promesses du sacré-coeur - le sacré coeur - l'actualité de la dévotion au sacré-coeur - la réparation comment la comprendre ? - la dévotion au sacré coeur synthèse de toute la religion - le sacré-coeur et l'action catholique - quelle sera notre réponse ? - la grande demande du sacré-coeur. Classification Dewey : 230-Christianisme. Théologie chrétienne‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎DE SCIBOR RYLSKI, Comtesse ; DENTU, Edouard‎

Reference : 44505

(1872)

‎Mystérieuse correspondance d'une jeune femme exaltée avec l'éditeur Edouard Dentu [ 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est (sic) votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"‎

‎3 lettres signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, 1872, format in-12 de 2 ff. (4 pages), 2 ff. (4 pages), et 4 ff. (7 pages) et 1 brouillon autographe d'Edouard Dentu, s.d., format in-12, 1 f. (une page) : Suivent qq. extraits : 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"‎


‎Etonnante correspondance dont on ne sait s'il faut réellement l'imputer à la Comtesse de Scibor Ryslki (Agnès Veth ?) qui signe par la suite "Augusta". Mais curieux lot, révélateur de la passion que pouvait alors (toujours ?) susciter un éditeur célèbre du temps. Un mystère à élucider...‎

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