‎Beigel Christine,Korkos Alain‎
‎Le Livre des Si‎

‎Editions de la Martinière Cartonné 2010 In-4 (17,8 x 32 cm), cartonné, 91 pages, illustrations en couleurs de Bruno Liance ; très bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎

Reference : xs1474


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‎Maxime DU CAMP - (envoi à Jules JANIN)‎

Reference : 89305

(1853)

‎Le Livre posthume. Mémoires d'un suicidé recueillis et publiés par Maxime Du Camp‎

‎Victor Lecou | Paris 1853 | 13.6 x 21.5 cm | Relié‎


‎Edition originale, un des 20 exemplaires de tête sur Hollande, seul grand papier, réimposé au format in-8 (l'édition commune se présentant au format in-12). Cf. Vicaire III, 305-306. Carteret I, 222. Reliure en plein vélin ivoire rigide, dos lisse, gardes et contreplats de papier à la cuve, reliure de l'époque. Bel exemplaire. Les bibliographes donnent 25 exemplaires, ce qui ne s'explique guère, la justification étant précisée au verso du faux-titre. Le procédé était habituel pour l'auteur (Les Six aventures, de 1857, connaîtront le même type de deux tirages). Précieux envoi autographe signé de Maxime Du Camp au célèbre critique Jules Janin (1804-1874), qui a fait ensuite apposer sa vignette ex-libris sur les premières gardes. * Le premier roman de Maxime Du Camp, et son troisième livre. Pour ce récit, l'auteur a abondamment puisé dans les souvenirs de son voyage en Orient effectué en compagnie de Gustave Flaubert : cette fiction est en quelque sorte un écho et un prolongement romanesque des Souvenirs et paysages d'Orient, premier livre de Du Camp publié en 1848, suivi en 1852 de son célèbre album photographique Égypte, Nubie, Palestine et Syrie. "Ouvrage fortement empreint d'autobiographie, le Livre posthume est la confession romancée de la première jeunesse de Maxime Du Camp, celle de 1848. Par une belle nuit étoilée, notre écrivain se lie avec un jeune voyageur prématurément usé par les passions et qui promène dans le désert d'Égypte un incurable ennui et une hantise désespérée de la mort. Quelque temps plus tard, Jean-Marc (c'est son nom) se suicide non sans avoir écrit ces mémoires que Maxime Du Camp est censé publier. On ne peut manquer d'évoquer le Livre posthume sans rappeler l'importance du lien qui unissait Maxime Du Camp et Gustave Flaubert dans leur jeunesse. On sait qu'ils se rencontrèrent et devinrent de grands amis en 1843, qu'ils voyagèrent ensemble en Bretagne, à l'été 1847, puis en Orient, de novembre 1849 à mai 1851, et enfin, qu'ils commencèrent à s'éloigner l'un de l'autre à leur retour de voyage. Intimement lié au souvenir de cette longue aventure, à l'Orient qui domine alors la pensée de Du Camp et fascine son imagination, le Livre posthume n'est pas l'oeuvre qu'il dédia à son compagnon de voyage mais celle où le souvenir, l'influence et même l'imitation de Flaubert furent les plus manifestes. Tel est le point de vue d'Edmond Maynial qui, en 1927, à partir des Souvenirs littéraires, des Notes de voyage et de la correspondance de Flaubert, démontra que toute la partie orientale du récit de Du Camp était conforme à la réalité () Plus révélatrice, la comparaison avec Novembre de Flaubert, alors inédit, mais que Du Camp connaissait () Au milieu des déceptions que ne leur ménage point la réalité, le héros de Novembre comme celui du Livre posthume éprouvent de périodiques aspirations vers les terres de lumière, vers le mirage des antiques et pittoresques civilisations : Égypte, Inde, Chine" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André SALMON‎

Reference : 80765

(1954)

‎"... Ton livre, je te le dis tout net, était le meilleur et j'ajoute le mieux capable de "porter le prix" D'abord c'est un livre de poète servi par l'art d'un vrai romancier. J'attends sans patience le film que tu dois en tirer..." Lettre autographe signée adressée à Carlo Rim‎

‎S. n. | s. l. 13 avril 1954 | 21 x 27 cm | une feuille‎


‎Lettre autographe signée d'André Salmon adressée à son grand ami Carlo Rim. 41 lignes écrites à l'encre noire. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli, une déchirure en marge gauche de la lettre au niveau de la pliure. Belle lettre dans laquelle Salmon s'excuse de son mutisme après la sortie d'un ouvrage, probablement Mélisande et l'automate : " Cher Carlo, tu entreprends assez, sans toujours trop d'aises, pour, je l'espère, me comprendre et me pardonner. Tu voudras bien aussi penser que ramant comme je rame, je le fais en vieux rameur. Tout ça pour t'exprimer, en quête d'excuses, ma confusion de ne pas t'avoir écrit plus vite mon ravissement à la lecture de ton livre. J'envie (mot illisible) d'avoir été plus libre que moi. Président malgré moi, j'ai dû m'incliner devant un règlement inexistant, mais certaines considérations : le temps manquait à la plupart de lire le livre non envoyé "au titre de la candidature" outre que deux membres non parisiens n'en pouvaient avoir aucune connaissance. Il y avait beaucoup à dire sur les votes par correspondance dont la valeur n'est à reconnaître, selon moi, qu'au premier jour. Ton livre, je te le dis tout net, était le meilleur et j'ajoute le mieux capable de "porter le prix". D'abord c'est un livre de poète servi par l'art d'un vrai romancier. J'attends sans patience le film que tu dois en tirer. Avec ce livre, cher Carlo, tu fais revivre tout un printemps poétique dont il reste ... quoi ?... Un vieux bourgeon, si j'ose cette image, ton vieil ami ! Il est malséant de parler de soi, pourtant c'est le plus commode pour s'exprimer sans phrase : quand, moins de trente pas, j'écrivis les Fééries ça n'était pas pour le Châtelet, mais les fééries du quotidien. A te lire, j'ai moins de trente ans... alors tu peux concevoir l'effet que ça me fait ! Et c'est bien joliment écrit. Nous allons partir aux champs, vers le midi, par un détour... à déterminer encore." Carlo Rim, auteur de "Ma belle Marseille", fut un écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste et l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi d'André Salmon et Max Jacob. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Erasme ALBERE‎

Reference : 17931

(1734)

‎L'Alcoran des Cordeliers. Tant en latin qu'en François. C'est à dire Recueil des plus notables bourdes & blasphemes de ceux qui ont osé comparer Sainct François à Jesus Christ: tiré du grand livre des Conformitez, jadis composé par frère Barthelemi de Pise, Cordelier en son vivant‎

‎Aux dépens de la Compagnie | Amsterdam 1734 | 10.50 x 17 cm | deux tomes reliés en deux volumes‎


‎Première édition illustrée d'un ouvrage qui fut initialement édité en 1542 à Wittemberg. 2 frontispices et 21 gravures de Bernard Picard représentant des épisodes hagiographiques de la vue de Saint François.. Cohen, 5. Pages de titres rouges et noires. Le faux titre dans un encadrement gravé de Picard porte la date de 1733. Reliures en plein maroquin marine d'époque. Dos lisse Janséniste. Série de hachures sur les coupes. Tranches dorées. Dos légèrement passés. Belle reliure, assez rare. Célèbre pamphlet, particulièrement violent, contre le livre de Barthelemi de Pise qui soulignait les similarités entre la vie de Jésus Christ et la vie de Saint François. Le livre débute par une préface de Conrad Badius et de Martin Luther, très insultant à l'égard des Papistes et des Cordeliers. L'ouvrage est en latin et en français, il reprend le récit hagiographique de Saint François en lui adjoignant des notes de bas de page, et des critiques extrêmement sévères et virulentes. Plus généralement, le livre est une attaque directe contre les Catholiques par les Protestants, les accusant d'hérésies, d'abominations, de satanisme... « Car il (ce livre) est tel, que quand hommes et diables dégorgeraient leurs poisons exécrables tous contre Dieu, ils n'en sauraient plus dire qu'un moine seul en a osé écrire » Conrad Badius. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Émile ZOLA‎

Reference : 79108

(1882)

‎"Je désire simplement toucher au sujet dans mon livre, pour le besoin du petit drame commercial qui me sert de fable." Lettre autographe signée inédite adressée à Léon Carbonnaux chef de rayon au Bon Marché et conseil pour l'écriture d'Au bonheur des Dames‎

‎Médan 23 juin 1882 | 13.40 x 21.60 cm | 1 page 1/2 sur un double feuillet - enveloppe jointe‎


‎Lettre autographe signée d'Emile Zola- apparemment inédite -adressée à Léon Carbonnaux, rédigée à l'encre noire sur un double feuillet.Pliures inhérentes à l'envoi. Enveloppe jointe. Important témoignage du colossal travail de documentationet du rôle capital des informateurs d'Emile Zola dans la peinture de son immense fresque naturelle et sociale. Cette lettre a été envoyée à Léon Carbonnaux, chef de rayon au Bon Marché qui transmit à Emile Zola de précieuses informations pour la création du onzième volume des Rougon-Macquart: Au Bonheur des Dames. On ne connaît que deux lettres de Léon Carbonnaux à Emile Zola: elles sont consultables dans la numérisation du dossier préparatoire du Bonheur des Dames mis en ligne par la Bibliothèque nationale de France. On sait cependant grâce à ce même dossier, dans lequel figure une longue section intitulée «Notes Carbonnaux», que ce chef de rayon au Bon Marché fournit un nombre important d'informations à Zola, notamment sur les murs des employés et leur rémunération. Les deux hommes se sont sans doute rencontrés alors qu'Emile Zola, avide de renseignement quant au fonctionnement des grands magasins, mena une enquête de terrain en février et mars 1882. Cette réponse serait donc la toute première que l'écrivain adressa au chef de rayon, en réponse à sa lettre du 19 juin 1882. Bien loin d'imaginer le vif succès que remportera ce nouveau roman, Zola semble même le prendre à la légère: «Je désire simplement toucher au sujet dans mon livre, pour le besoin du petit drame commercial qui me sert de fable. Vos notes sont excellentes.[...] Enfin, me voilà au travail. Le sujet est à la fois bien vaste - et bien ingrat pour un roman. On devra me tolérer un peu de fiction, car il faut bien que je passionne la matière. Mais je tâche de m'en tenir le plus strictement possible à mes notes. » Il faut dire que Carbonnaux prend son rôle d'informateur très à cur et, n'ayant aucun doute quant au succès du livre, il écrit: «Dans le bâtiment chez nous d'ailleurs, partout on attend votre livre. Les lecteurs ne vous manqueront pas. Soyez-en sûr. Vous n'en êtes plus à compter les succès celui-là s'annonce comme devant dépasser les autres.» (lettre du 19 juin 1882) Car un autre ouvrage, sur le même sujet, vient de paraître: «J'ai lu le volume de Pierre Giffard. Il me paraît comme vous injuste et même faux dans plusieurs parties. C'est bâclé. Il aurait fallu, pour un pareil ouvrage de documents purs, une entière exactitude. Moi qui écris une uvre d'imagination, je ne me permettrai pas de tels écarts.» C'est Carbonnaux qui avait signalé l'ouvrage à Zola: «Pierre Giffard du Figaro vient de faire paraître chez Havard un vol de 300 pages intitulé « Les Grands bazars de Paris ». [...] On sait que le Figaro est inféodé au Louvre [magasin concurrent au Bon Marché] & on peut assurer que ce livre a été commandé et bâclé dès que votre intention de traiter le même sujet a été connue. [...] Il fallait déguiser un peu la réclame pour le Louvre.» (lettre du 19 juin 1882) On voit bien ici à quel point les grands magasins fascinent et l'on comprend l'immense succès que remportera ce roman de Zola décrivant leur avènement et leur suprématie. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR2,800.00 (€2,800.00 )

‎HORTENSIUS Flamel,‎

Reference : 20333

(1841)

‎Le livre rouge. Résumé du magisme, des sciences occultes et de la philosophie hermétique d'après Hermès Trismégiste, Pythagore, Cléopâtre, Artéphius, Marie-l'Egyptienne, Albert-le-Grand, Paracelse, Cornélius Agrippa, Cardan, Mesmer, Charles Fourrier, etc.‎

‎Paris, Lavigne, éditeur, 1841, E.O. In-12°, 204 pp., illustré de sceaux et de talismans dans le texte, intérieur frais (pp. brunies uniformément). Reliure cartonnée, plats de papier marbré, étiquette bordeau avec titres (titré Eliphas Lévi au lieu d'Hortensius Flamel) en lettres dorées (manques aux coiffes, reliure et mors frottés). Bel exemplaire d'un ouvrage peu commun.‎


‎ Selon nous, il s'agit plus que probablement d'une erreur d'attribuer ce livre à Eliphas Lévi car ce dernier était en prison à la sortie de ce livre et qu'il ne commença à s'intéresser à l'occultisme que des années plus tard... # Caillet 3971 : ouvrage du plus grand intérêt, enrichi de nombreuses gravures de talismans et de caractères cabalistiques. # Guaita 1377 : "Ce serait là le premier ouvrage dEliphas Lévi sur les matières. Du moins cest ce que prétend Chuquet. Ce qui tend à faire croire quil a raison, cest la traduction de lAsch-Mezareph, publiée ensuite par Eliphas dans la clef des grands mystères. Mais le style du livre rouge nest guère de labbé Constant. Jai tout lieu de croire que lauteur (un enthousiaste de Fourrier) nest autre que le F. Ragon. Des pages entières de lorthodoxie maçonnique sont transcrites dici". De son côté, Paul Chacornac est persuadé quHortentius Flamel est en réalité lécrivain P. Christian (1811-1881), alias Jean Baptiste Pitois, un ami dEliphas Lévi. Cette piste semble la plus probable. (Voir article de Philippe Audoin, revue La Brêche, Volumes 1-8, 1965).‎

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