Librairie Gründ La Joie de l'enfance Cartonnage d'éditeur avec jaquette 1938 In-4 (23,5 x 31,5 cm), cartonnage papier de l'éditeur sous jaquette illustrée, 31 pages, illustrations en couleurs de Jean-Jacques Pichard ; dos et bords de la jaquette frottés, quelques petites traces et marques d'usage sur les plats de la jaquette, par ailleurs bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Reference : xl2411
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Paris, Imprimerie Royale, 1766. 2410 g In-folio (31.7x20.6 cm), pleine basane sous étui, dos orné à faux nerfs, médaillon au centre des plats, xvi-138 pp., [1] fb., 6 pp., [1] fb., 12 planches, 37 planches. A la suite du texte on trouve les 12 ''planches gravées d'après plusieurs positions ...'' constituées d'un titre frontispice, d'un feuillet d'explication avec cul-de-lampe et de 10 planches souvent dépliantes qui portent 36 figures de positions de soldats; l'ensemble est gravé par Guillaume de la Haye d'après Gravelot; le relieur a parfois divisé les figures. A la suite on trouve une autre suite de 37 planches souvent dépliantes décrivant les manoeuvres des bataillons et une position de soldat (planche 10); la première de ces planches porte la signature du graveur, Guillaume de la Haye. Rare ensemble contenant le texte et les deux suites de planches que l'on trouve rarement réunis. Cohen-Ricci, 457. Reliure postérieure signée de Durvand-Thivet. Le titre de l'ordonnance est ici en copie manuscrite très fidèlement exécuté. Petites traces d'humidité marginales. . (Catégories : Militaria, Costumes, )
Paris, Gibert et Fantin, 1809. 2850 g 6 volumes in-8, demi basane blonde, [2] ff., iv-474 pp.; [2] ff., 475 pp.; [2] ff., 467 pp.; [2] ff., 467 pp.; [2] ff., 475 pp.; [2] ff., 353-xcv pp.. Ex-libris de la famille d'Harcourt au château de St Eusoge, avec couronne de comte. D'après la base de l'Afcel il s'agirait d'Eugène (1786-1865), duc d'Harcourt. Reliure d'époque. Quelques salissures et frottements, petites traces d'humidité, un mors fendillé. . (Catégories : Militaria, )
Gallimard, 2013, in-8 br., 619 p., coll. "Essais", traduit de l'allemand par Olivier Mannoni, très bon état.
Pendant toute la guerre, les Britanniques ont procédé à des écoutes systématiques de milliers de prisonniers allemands et ont transcrit les passages de ces conversations qui leur paraissaient présenter un intérêt spécifique (stratégie, organisation de la chaîne de commandement, moral des troupes évoluant au fil de la guerre selon que les soldats étaient sous-mariniers ou marins, dans l’armée de l’air ou l’armée de terre, etc.). Ces procès-verbaux reposaient dans les archives sans que quiconque en saisisse l’importance décisive. Dans un premier temps, leur lecteur a l’impression d’entendre parler les soldats, avec la rude franchise de la camaraderie lorsque ceux-ci racontent leurs combats, la mort donnée et la mort reçue. Très vite, cependant, il comprend la nature inédite de cet ouvrage : jusque-là, les historiens, pour étayer leurs recherches sur la perception de la violence et la propension à tuer, utilisaient des sources très problématiques (dossiers d’enquête, descriptions dans les lettres de la poste aux armées, récits de témoins oculaires, Mémoires), car rédigées en toute conscience pour un destinataire – un procureur, une épouse restée au domicile, voire un public auquel on communiquait une vision propre des choses. Mais lorsque les soldats internés dans les baraquements britanniques parlent entre eux de la guerre en temps réel, c’est sans intention particulière, ils disent ce qu’ils pensent et ce qui les meut (course aux décorations, massacres des populations civiles et viols des femmes, mépris pour les soldats italiens et peur panique des représailles de l’Armée rouge, sentiment de l’inéluctable défaite et culte du Führer, etc.). Cette source brute, sans apprêt, conduit à porter un regard tout à fait neuf sur la mentalité de la Wehrmacht, fruit d’une éducation étrangère à l’humanisme libéral et porteuse de valeurs cimentées par l’appartenance de l’individu à un collectif, qui en tout lui sera supérieur. La nazification est alors une ultime couche idéologique, ce complément qui fit notamment basculer les soldats des crimes de guerre dans ceux contre l’humanité. Voir le sommaire sur photos jointes.
Books & Co, Paris 2001, in 4, cartonnage éditeur illustré, jaquette, 80 pages, nombreuses illustrations couleurs in texte. Jaquette un peu passée, sinon bon état.
Le guide du collectionneur pour identifier, acheter et présenter les petits soldats. Les soldats pleins ; les soldats creux ; les figurines composites ; les "Dimestores" ; les soldats en plastique ; la nouvelle génération ; les nouveaux métaux ; les autres matériaux ; souvenirs, souvenirs ; prendre soin de sa collection ; salons et enchères.
Autrement, coll. « Mémoires », n° 118 2005 In-8 broché, 203 p. Au large de l'Espagne, l'île désertique de Cabrera fut le théâtre de l'un des épisodes les plus tragiques des conquêtes militaires de Napoléon. Cinq ans durant, de mai 1809 à mai 1814, elle servit de prison à près de douze mille soldats des armées napoléoniennes, après la défaite de la bataille de Bailén. Oubliés des autorités espagnoles qui les laissèrent croupir dans des conditions inhumaines, ces soldats vaincus furent oubliés par la France, oubliés de l'Histoire.
Au large de l'Espagne, l'île désertique de Cabrera fut le théâtre de l'un des épisodes les plus tragiques des conquêtes militaires de Napoléon. Cinq ans durant, de mai 1809 à mai 1814, elle servit de prison à près de douze mille soldats des armées napoléoniennes, après la défaite de la bataille de Bailén. Oubliés des autorités espagnoles qui les laissèrent croupir dans des conditions inhumaines, ces soldats vaincus furent oubliés par la France, oubliés de l'Histoire. Très bon état d’occasion