Tours, Ad Mame et Ce, imprimeurs-libraires Bibliothèque morale de la jeunesse Cartonnage Romantique 1863 In-8 (14 x 22,5 cm.), cartonnage romantique papier de l'éditeur avec illustrations dorées aux plats, 186 pages, illustration noir et blanc en frontispice, tranches dorées ; coiffes manquantes, coiffes, mors, bords et coins frottés, menus incidents aux plats, assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Reference : vm2189
Abraxas-Libris
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( Beaux-Arts ) - Gisèle d'Assailly - Jacques Ménétrier - Paul Charlot - Camille Hilaire - Jean Marzelle - Marcel Mouly - Daniel Ravel - Maurice-Elie Sarthou - Claude Schürr.
Reference : 27399
(1908)
Editions René Julliard 1963. In-8 broché carré de 206 pages au format 19 x 20 cm. Couverture à rabats, illustrée. Dos carré. Plats et intérieur frais. Complet de la rare bande annonce avec texte de Jacques Prévert. Complet du carton d'invitation pour la séance de dédicaces, qui eut lieu à la Librairie Galerie Gérard Mourgue le mercredi 27 février 1963. Contient 7 entretiens entre l'auteure et les 7 artistes, accompagnés de 7 illustrations en couleurs et 21 en noir, hors texte. Préface de Jacques Ménétrier. Superbe état général. Edition originale. Précieux exemplaire enrichi d'une cordiale dédicace de Gisèle d'Assailly, accompagnée des 7 signatures de Paul Charlot, Camille Hilaire, Jean Marzelle, Marcel Mouly, Daniel Ravel, Maurice-Elie Sarthou et Claude Schürr.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres
Editions Les Auteurs Associés 1943. In-12 broché de 156 pages au format 11,5 x 18,2 cm. Couverture avec titre imprimé. Dos resté carré avec pâles petites taches au bas. Premier plat avec infime manque au bas inférieur droit et petites taches éparses. 4ème plat avec pâles rousseurs. Intérieur très frais. Exemplaire non coupé. Un des 50 exemplaires du tirage de tête numéroté sur vélin pur fil Lafuma, et signés par l'auteur ( n° 19 ). Rare exemplaire orné d'un belle dédicace autographe de Marcel Mariën à l'écrivain surréaliste belge, Camille Goemans et à son épouse Lou Cosyn. Provenance idéale.
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Editions Gallimard / Collection " Le Chemin " 1969. In-8 broché de 266 pages au format 14 x 20,5 cm. Couverture rempliée avec titre imprimé. Dos bien carré, légèrement insolé. Plats et intérieur frais. Complet de la feuille publicitaire pour " Les Cahiers du Chemin ". Superbe état général. Edition originale ornée d'une belle dédicace autographe, signée, de l'auteur à Camille Bryen et son épouse. Provenance idéale.
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Paris Editions du Grenier 1934 in-12 broché un volume, broché marron (paperback) in-douze Editeur (16,5 x 12,7 cm), dos muet, 1ère de couverture imprimée en noir, toutes tranches non-rognées, orné d'un collage de l'Auteur contrecollé en frontispice, Couverture un peu usagée, intérieur en bon état, 45 pages, 1934 Paris, Editions du Grenier Editeur,
Camille Bryen, pseudonyme de Camille Briand, né à Nantes le 17 septembre 1907 et mort à Paris le 8 mai 1977 est un poète, peintre et graveur français. Dans les années 1925-1927, Camille Briand fait partie de la bohème nantaise, utilisant le pseudonyme d'« Aristide », sans doute par allusion à son illustre homonyme, lui aussi d'origine nantaise. Il apparaît notamment en couverture de la Revue nantaise d'avril 1927, portraituré par Henri Bouyer, avec le commentaire : "Type nantais, le Bohème Aristide". Camille Bryen s'installe peu après à Paris. Attiré par les surréalistes, il publie en 1927 un premier recueil de poèmes, Opopanax puis, en 1932, Expériences, mêlant poèmes, dessins et collages. Il présente en 1934 sa première exposition personnelle...........Note : ÉDITION ORIGINALE tirée à 500 ex. sur vélin numérotés de 56 à 555 (N°350), outre 55 ex. sur papier alfax-navarre + 5 ex. H.C. sur japon....... Bel exemplaire.....RARE......en bon état (good condition). bon état
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...