Wigwam Feuilles sous couverture 2005 In-8 (14,5 x 22,5 cm), exemplaire en feuilles sous couverture à rabats, non paginé, exemplaire n°80 sur 200 ; très bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
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[L'Edition Populaire] - DE KERLECQ, Jean ; [ CHANTEPIE, Robert-Frédéric-Louis ]
Reference : 50801
(1909)
1 brochure in-12, L'Edition Populaire, Paris, 1909, 40 pp. avec une L.A.S. rédigée recto verso, une carte de visite rédigée au verso et une carte rédigée.Rappel du titre complet : Le Secret de Salvayre. Comédie en deux Actes tirée d'une nouvelle de Jean Reibrach. Avec 3 billets autographes signés de l'auteur dont une L.A.S. datée du 1er avril 1913 : "Je vous adresse les épreuves de mon article ; en réduisant les blancs et en tassant bien j'espère que vous arriverez à caser tout cela. Je compte sur votre obligeance pour cela. Le "Messager" ne donne rien, rien... rien... et malgré son prix de revient peu élevé, c'est à peine si je couvre, pour ma part, le 1/4 de ce qu'il me coute ; aussi est-il a peu près certain que l'essai que je tente ce mois est, en ce qui me concerne, très probablement le dernier"
Bon exemplaire. L'un des premiers ouvrages publié (sous pseudonyme) par l'écrivain populaire Chantepie (1882-1969). On y ajoute 3 L.A.S. et billets autographes signés "Kerlecq", dont l'une très intéressante : "Je vous adresse les épreuves de mon article ; en réduisant les blancs et en tassant bien j'espère que vous arriverez à caser tout cela. Je compte sur votre obligeance pour cela. Le "Messager" ne donne rien, rien... rien... et malgré son prix de revient peu élevé, c'est à peine si je couvre, pour ma part, le 1/4 de ce qu'il me coute ; aussi est-il a peu près certain que l'essai que je tente ce mois est, en ce qui me concerne, très probablement le dernier". Né à Rouen, Jean de Kerlecq (pseudonyme de Robert Chantepie) clamait ses origines bretonnes et effectuait de nombreux séjours dans le Trégor.
Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique."
Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).
Antibes 9 mars 1948 | 21.80 x 27 cm | 2 pages sur un feuillet
Lettre autographe signée inédite d'André Breton adressée à Gaston Puel ; deux pages sur un feuillet rédigées à l'encre bleue d'une écriture fine et soignée, nombreux soulignements. Rousseurs et traces d'adhésif marginales. Très belle lettre, empreinte de bienveillance, dans laquelle le Pape du Surréalisme fait part de ses nombreuses et chronophages occupations à son jeune épistolier, tout en rassurant celui-ci sur son talent et son avenir. Gaston Puel commença à correspondre avec André Breton à la Libération. Ils ne se sont, au moment de cette lettre rédigée pourtant quatre ans plus tard, jamais rencontrés: «Je suis heureux que vous ayez pensé à m'adresser votre photographie. C'est un grand pas de fait pour rompre la distance et il ne se peut guère que nous ne nous rencontrions bientôt.» Les deux écrivains semblent pourtant très proches, comme en témoigne le ton paternel et rassurant de Breton: «Ne parlez pas comme à regret de ceux qui avancent: vous en êtes et j'en sais bien peu qui soient si loin que vous, déjà. Ce que vous m'écrivez - pas seulement cette fois - est toujours pour moi de haute importance...» Travailleur sans relâche, Breton fait ici part de sa frustration et de sa lassitude à Puel: «Mais il faut continuer à vivre et pour cela se réserver une part de solitude qu'avec angoisse aussi je vois diminuer chaque jour.» Gaston Puel, alors âgé de 24 ans, participe depuis quelques temps aux activités du groupe surréaliste autour de Joë Bousquet, d'André Breton et de René Char. Son mentor lui prédit ici un avenir tout tracé: «Mon cher Ami, je souhaite très vivement que vous preniez une part active à la rédaction de «Néon». Il suffirait d'une très légère transposition de ton pour que les pages que vous m'adressez puissent y trouver place et en constituer un des éléments primordiaux. Il en va, naturellement, de même pour «Supérieur inconnu» si cette revue peut voir le jour.» Cette dernière revue, censée réconcilier et unir les conservateurs et les novateurs du surréalisme, ne verra le jour que quarante-huit ans plus tard sous l'impulsion de Sarane Alexandrian. Gaston Puel intègrera en revanche bien la rédaction de Néon, mais finira par se détourner des surréaliste - tout en conservant son amitié pour Breton - en 1950. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
PARIS MATCH. 12 aout 1993. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 98 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Brigitte Bardot : ma fête était improvisée, c'est pour cela que Bernard n'était pas la, Pierre Richard : être grand père, c'est comme si le temps n'avait pas bougé, Balladur sauve l'honneur, le franc dans la tourmente échappe a la dévaluation en catastrophe, mais le compromis de Bruxelles menace la solidarité européenne Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
LA PECHE ILLUSTREE. 1927. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 26 pages illustrées de figures dans le texte.. . . . Classification Dewey : 799.1-Pêche
SOMMAIRE : L'épuration des Eaux usées. V. Dechamps.Est-ce aussi pour cela qu'ils ne mordent pas ? Henrijy.La Pêche au Pain dans les Grands Fonds.R. Gaglione.Quand le poisson boude, l'Asticot tourné, le Porte-Bois J. Boiton.Quelques précisions sur la Pêche du BrochetA. Gobinot.Une proposition intéressante..L. Matout.La Pêche de la Truite au ver et aux insectes naturels (suite et fin). . . .Maurice Laurens.Le Tech, fleuve méridional et ses affluents (suite).M. S.Renseignons-nous les uns les autres : A propos de la pêche de la Siège.. Concours International de Pêches d'Amateur en Mer.Une Excursion de Pêche du Fishing-Club en AngleterreConcours amical de pêche à la ligne du Fishing-Club de France en 1927.Le Concours de Faucardeurs de 1927.Fishing-Club de France : Partie officielle.Courrier entre Pêcheurs.Bibliographie. Petites Annonces.E.Vincent-Gen<F.C. F.De Neufbourg. Classification Dewey : 799.1-Pêche