‎Licciardello Enrico‎
‎L'Epouse et la mort‎

‎Editions Subervie Broché 1962 In-12 (14,2 x 19,5 cm), broché, 81 pages, 1 de 100 exemplaires sur pur lin des papeteries Montgolfier, envoi de la traductrice Solange de Bressieux ; pliures au dos, jaquette usée (salissures et frottements sur les plats, micro déchirures sur le bord supérieur), par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎

Reference : ve545


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‎DELARUE (J. G.).‎

Reference : 16593

(1803)

‎Quelques Idées sur le mode de constater les délits, suivies du précis historique du procès d'E. Pacot, ex-curé d'Heuilley-le-Grand, déclaré coupable du prétendu empoisonnement de Prêtot et de son épouse, condamné à mort le 14 prairial an 10, par jugement du tribunal séant à Dijon, cassé le 24 thermidor suivant, par le tribunal régulateur. Discours recueilli par le sténographe, et prononcé à la barre des Juges suprêmes, par Dufriches-Foulaines. Débats devant le tribunal du Jura, qui, d'après la déclaration unanime du jury spécial, a prononcé la mise en liberté. Par J. G. Delarue , membre du Conseil général de l'Orne.‎

‎Paris, C. F. Patris, 1803. In-8 de (4)-281 pp., veau blond, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin vert, roulette dorée d'encadrement sur les plats, ex-dono au centre du premier plat, tranches marbrées (reliure de l'époque). ‎


‎Au début du XIXe siècle, Étienne Pacot, ex-curé d'Heuilley-le-Grand, fut condamné à mort pour avoir empoisonné un cabaretier de son village et son épouse. Cette affaire connut un grand retentissement à l'époque. Les déboires du prêtre s'achevèrent après qu'il se fut pourvu en cassation : un nouveau procès eut lieu devant le tribunal criminel de Lons-le-Saunier et il fut innocenté.Provenance : Exemplaire offert au colonel Jean Le Marois, Aide Camp de Napoléon Ier. Jean Léonor Le Marois (Lemarois) est né le 17 mars 1776 à Bricquebec dans la Manche. Engagé à 16 ans dans la garde nationale, il devint lieutenant l'année suivante. Affecté à l'état-major de l'armée de l'Intérieur en 1795, il participa au 13 vendémiaire et devint aide de camp de Bonaparte. Il le resta jusqu'à la chute de l'Empire. Celui-ci le choisit pour être témoin de son mariage avec Joséphine de Beauharnais. En 1803, il fut nommé général de brigade. En 1805, après la bataille d'Austerlitz, il devint général de division à vingt-neuf ans. Titré comte de l'Empire en 1808, il acheva sa carrière militaire par une résistance héroïque à Magdebourg. Bel exemplaire. ‎

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Phone number : 33 01 46 33 57 22

EUR2,500.00 (€2,500.00 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10085896

(1963)

‎PARIS MATCH N° 764 - Mort de Kennedy, L'épouse au coeur pur, Ce beau jeune homme qui vient de Nice, Le Clézio, Pourquoi cela va mal a l'université, Une ile nait sous nos yeux, Le destin fulgurant de John Kennedy, mort au service de son pays, Le monde‎

‎PARIS MATCH. 30 novembre 1963. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 152 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Mort de Kennedy, L'épouse au coeur pur, Ce beau jeune homme qui vient de Nice, Le Clézio, Pourquoi cela va mal a l'université, Une ile nait sous nos yeux, Le destin fulgurant de John Kennedy, mort au service de son pays, Le monde entier soudain inquiet, Il était l'enfant chéri des américains Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎[ORLEANS (Ferdinand-Philippe d')]‎

Reference : 26867

‎Album funéraire établi par la reine Marie-Amélie, épouse de Louis-Philippe, roi des Français, à l'occasion de la mort de leur fils, Ferdinand Philippe successeur légitime au trône de France, en 1842.‎

‎1842-1843. 1 vol. in-folio, demi-maroquin noir, dos à nerfs muet orné de listels à froid. Reliure de l'époque, coins fortement émoussés et accidents aux plats. 55 pièces manuscrites et 42 pièces imprimées contrecollées soigneusement sur 79 feuillets.‎


‎Cet album rassemble les témoignages de sympathie, surtout sous forme de poèmes de circonstance à l'égard de la reine Marie-Aélie à la suite du décès du prince Ferdinand Philippe le 13 Juillet 1842 à l'âge de Parmi les pièces manuscrites on remarque un joli poème autographe de Mélanie Walder (1796-1871), femme de lettres et ancienne maîtresse d'Alexandre Dumas. Les pièces imprimées sont les suivantes : Mandement de l'évêque d'Evreux (Evreux, Amelle, 1842) - Séance royale du 26 Juillet 1842, Discours du roi (Imprimerie royale, 1842) - Lettre de Monseigneur l'archevêque de Reims qui prescrit un service funèbre (18 Juillet 1842) - LIONNET (G.), La Mort du duc d'Orléans (Saint-Amand, 1842) - MORLOT (A.), Ode sur la mort du duc d'Orléans (Belfort, J. Clerc, 1842) - LAKE (J. W.), A monody to the memory of H.R.H. Ferdinand Philippe duke of Orleans (Paris, 1842) - Antoine DUPUCH (...) évêque d'Alger (adresse à son diocèse) - MERCIER (Th.), Le 13 Juillet (Paris, 14 Juillet 1842) - Mandement de Monseigneur l'archevêque de Paris qui prescrit des prières pour le repos de l'âme de S.A.R. Monseigneur le duc d'Orléans (Paris, A. Le Clere, 1842) - HUARD (F.), Le 30 Juillet 1842, élégie (S.l.n.d.) - GUTTINGER (U.), Le 13 Juillet 1842 (St Germain en Laye, Nov. 1842) - NANCEY (F.), Ode sur la mort... (Melun, Desrues, 1842) - JUBINAL (A.), Lettre au directeur du Courrier du Midi sur Monseigneur le duc d'Orléans (Paris, 1842) - SAINT-SAËNS (A.), Les Regrets, élégie (Paris, Rouzé, 1842) - FORSTER (Ch.), Le duc d'Orléans (Paris, 1842) - CHAS (Pauline), Le calvaire royal (1842) - PILARD (Héloïse), Elégie sur la mort de Mgr le duc d'Orléans (Paris, J.B. Gros, 1842) - DU MESNIL (Marie), Aux manes de son altesse royale (...) chant funèbre (Maubeuge, Levecque, 1842) - Théodore, Calamité (Versailles, Kiefer, 1842) - Is it not sweet to think hereafter (S.l.n.d.) - ROUSSY (V.), La France en deuil (Paris, Baudouin, 1842) - [STAMPINATU (Rosalie)], Mon dernier hommage au prince royal (Paris, Amyot, 1842) - Ode à la mémoire de (...) Monseigneur le duc d'Orléans (Paris, A. Hugot, 1842) - G (Eug.), Les Douleurs de Marie (Paris, 1842) - DUPERRET (P.), Mgr le duc d'Orléans (Paris, Brière, s.d.) - BERNARD (P.), Eloge sur la mort de (...) duc d'Orléans (Marseille, Achard, août 1842) - LOIZEROLLES, Daphnis (Paris, Dondey-Dupré, 1842) - LE FLAGUAIS (A.), La Mort du duc d'Orléans (Caen, Hardel, 1842) - MAILLARD (H.), Apothéose du prince royal de France (Paris, 1842) - Michel, Le Cri du Coeur (Paris, Simonet-Delaguette, juillet 1842) - REY (A. de), Ode (Paris, Appert, 1842) - PAILLET, Elégie (Paris, L. Bocquet, 1842) - LAISNE (P.), Le chant de deuil de la France (Paris, Adde, 18412) - BREANT (A.), Evénement du 13 Juillet 1842 - Le Duc d'Orléans (Paris, Rousset, 1842) - CUREZ (L.), A la mémoire de S.A.R. (...) le duc d'Orléans (Paris, Daguin, 15 Juillet 1842) - MARTIN-PASCHOUD (J.), La Mort du duc d'Orléans (Paris, Baudouin, s.d.) - ROLLAND (A.), La Mort du duc d'Orléans (Paris, Tresse, 1842) - SANSON (J.), Le prince royal est mort !!! (Paris, Ledoyer, Juillet 1842) - GRISIER, A la mémoire du duc d'Orléans ! (Paris, 1842) - MULLER (A.), Adieux à son royal élève (Paris, s.d.) - MAUBERT G.), Apologue (Paris, s.d.).‎

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Phone number : 02 47 97 01 40

EUR2,500.00 (€2,500.00 )

‎[De l'Imprimerie de la Veuve J.B. Cavazza, De l'Imprimerie de Fernel, ] - ‎ ‎Collectif ; LYNCH ‎

Reference : 45450

(1814)

‎[ Recueil de brochures politique et historiques, impressions bordelaises de l'année 1814 ] Constitution donnée par le Roi au Peuple Français. 4 Juin 1814 / Testament de Louis XVI, Mort le lundi 21 janvier 1793, âgé de 38 ans cinq mois moins deux jours [ 1814 ] / Nouvelles Officielles de Paris. Adresse du Gouvernement provisoire au Peuple Français. Détail de ce qui s'est passé à Fontainebleau, dans la journée du 5, et la conversation de Nicolas Buonaparte avec ses maréchaux, après la prise de Paris / Rapport de la Commission Extraordinaire fait au Corps Législatif, le 28 Décembre 1813 par M. Lainé Rapporteur / Proclamation du Ministère de la Guerre, aux Armées. Départ de Bonaparte [ 1814] / Journal des Dames et des Spectacles, 9 Pluviôse an 9 n°5 15 de la Lune / Supplément au Mémorial Bordelais du 14 Avril [ 1814 ] Entrée de l'armée Anglaise à Toulouse / Gloria in Excelsis ou La Joie des Français de posséder leur Roi / Le Jardinier Fleuriste ruiné par le Froid [ Par le Comte Lynch ] / Nouvelles de Londres, relatives à une prétendue machination tramée par Napoléon ; avec des nouvelles de l'épouse et des filles de Lucien Bonaparte / Nouvelle Constitution décrétée par le Sénat, dans sa séance du 6 avril 1814, et publiée solennellement le 8 courant dans tous les quartiers de la Capitale / Traité de Paix conclu entre la France, l'Autriche, la Russie, l'Angleterre et la Prusse.‎

‎1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane marron, mention Lavau Fils portée en queue. Contient : Constitution donnée par le Roi au Peuple Français. 4 Juin 1814, De l'Imprimerie de la Veuve J.B. Cavazza, Bordeaux, s.d. [ 1814 ], 15 pp. / Testament de Louis XVI, Mort le lundi 21 janvier 1793, âgé de 38 ans cinq mois moins deux jours, De l'Imprimerie de la Veuve J.B. Cavazza, Bordeaux, s.d. [ 1814 ], 7 pp. / Nouvelles Officielles de Paris. Adresse du Gouvernement provisoire au Peuple Français. Détail de ce qui s'est passé à Fontainebleau, dans la journée du5, et la conversation de Nicolas Buonaparte avec ses maréchaux, après la prise de Paris, De l'Imprimerie de Fernel, Bordeaux, s.d. [ 1814], 4 pp. / Rapport de la Commission Extraordinaire fait au Corps Législatif, le 28 Décembre 1813 par M. Lainé Rapporteur, De l'Imprimerie de Fernel, Bordeaux, s.d. [ 1814], 7 pp. / Proclamation du Ministère de la Guerre, aux Armées. Départ de Bonaparte, De l'Imprimerie de Fernel, Bordeaux, s.d. [ 1814], 4 pp. / Journal des Dames et des Spectacles, 9 Pluviôse an 9 n°5 15 de la Lune, De l'Imprimerie d'Audibert et Burkel, s.d. [1801 ], 8 pp. / Supplément au Mémorial Bordelais du 14 Avril [ 1814 ] Entrée de l'armée Anglaise à Toulouse, Chez Lavigne Jeune, s.d. [ 1814 ], 2 pp. / Gloria in Excelsis ou La Joie des Français de posséder leur Roi, De l'Imprimerie de Fernel, Bordeaux, s.d. [ 1814], 2 pp. / Le Jardinier Fleuriste ruiné par le Froid [ Par le Comte Lynch ], De l'Imprimerie de la Veuve J.B. Cavazza, s.d. [ 1814 ], 2 pp. / Nouvelles de Londres, relatives à une prétendue machination tramée par Napoléon ; avec des nouvelles de l'épouse et des filles de Lucien Bonaparte. Londres, le 30 août, De l'Imprimerie de Fernel, Bordeaux, s.d. [ 1814], 4 pp. / Nouvelle Constitution décrétée par le Sénat, dans sa séance du 6 avril 1814, et publiée solennellement le 8 courant dans tous les quartiers de la Capitale, De l'imp. de Moreau, Bordeaux, s.d. [ 1814], 8 pp. / Traité de Paix conclu entre la France, l'Autriche, la Russie, l'Angleterre et la Prusse, De l'Imprimerie de P. Coudert, s.d. [ 1814], 40 pp.‎


‎Très intéressant recueil rassemblant 12 impressions bordelaises témoignant des débuts de la Première Restauration (rel. frottée, qq. griffonnages du copiste n'affectant pas le texte). Ces 12 imprimés sont insérés entre de très nombreuses pages manuscrites (plus d'une cinquantaine de feuillets) copiant d'autres titres du même type. ‎

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