NRF Gallimard Du Monde Entier Dos carré collé 2003 In-8 (14 x 20,5 cm), dos carré collé, 30 pages ; très bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Reference : va1053
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Robert Laffont, collection Bouquins, 1985. In-8 broché (plus de 1000 pages), couverture illustrée, très légèrement défraîchie.
"Dans cette édition entièrement révisée de sa fameuse histoire de La guerre d'Espagne, Hugh Thomas présente une analyse objective d'un conflit dans lequel se trouvèrent engagés à la fois le fascisme et la démocratie, le communisme et le christianisme, le centralisme et le régionalisme, et qui fut une guerre civile internationale, tout autant qu'espagnole. C'est à juste titre, pensons-nous, que Michael Foot a écrit dans un journal anglais : "Un livre prodigieux. C'est avec une application sans bornes, littéralement inouïe, et une intelligence de tous les instants que l'auteur a su réunir et étudier toutes les connaissances possibles et imaginables sur l'épisode le plus héroïque et le plus pitoyable de ce siècle." Cyril Connolly, à son tour, dans le Sunday Times, écrivait : "Je l'ai lu de la première à la dernière page, tout simplement captivé... Hugh Thomas possède la plus haute qualité de l'historien, un formidable appétit de détails et le sens de l'essentiel... Dans ce superbe ouvrage, il n'est pratiquement aucun aspect de la guerre civile, aussi douloureux ou impopulaire soit-il, qui lui ait échappé." "
Genève, Zoé, 2014. Fort volume in-8 broché, couverture photographique, très légèrement défraîchie (quelques marques). Illustrations hors-texte, en noir et en couleurs.
"La guerre ? "Un paysage qui vous tire dessus." Guy de Pourtalès (1881-1941) rapporte ces propos, qui l'ont frappé, de son ami Valdo Barbey. L'écrivain genevois, devenu français, mobilisé en 1914, n'a pas connu la tranchée, mais il a passé quatre ans et demi sous les drapeaux comme interprète militaire, propagandiste au Quai d'Orsay, officier informateur. Il a vécu de près les événements de la Grande Guerre, particulièrement ceux qui ont affecté les relations entre sa patrie d'adoption et son pays d'origine. Tiraillé entre des appartenances et des loyautés qu'il entend faire tenir ensemble, Pourtalès donne l'impression d'être toujours en porte-à-faux avec le rôle qu'il se choisit, ou qu'on lui attribue. C'est précisément cette position d'intermédiaire - symbolisée par le statut d'interprète - qui crée l'intérêt du Journal de la Guerre, parce qu'elle décale le regard, l'enrichit, et donne lieu à un récit à la fois original, informé et communicatif."
Collectif - Léon-Paul Fargue, Jérôme et Jean Tharaud, Claude Roger-Marx, Jean Duché et al.:
Reference : 13963
(1945)
Lausanne, A. Held, 1945. Grand in-4 broché, couverture illustrée d'une composition de Galanis. Abondamment illustré, entre autres de nombreuses et parfois fort belles pages publicitaires. Petit manque en queue.
Au sommaire de ce numéro: Le coup de grisou sous le paillasson - Les hommes dans la guerre - La guerre et les peintres - Où les artistes vont-ils chercher le tragique ? - Un jour d'août 1944, Florence a faillir périr - Où la guerre a passé. . . ce qu'on voit en Italie / en France / En belgique - L'institu central de la restauration des oeuvres d'Art à Rome.
AEHMO & Editions d'En bas, Cahiers d'histoire du mouvement ouvrier 13, 1997. In-8 broché, couverture photographique.
"A maints égards, la Guerre d'Espagne et les événements sanglants qui l'ont marquée occupent une place centrale parmi les drames d'un XIXe siècle dont l'historiographie récente a établi qu il avait probablement pris fin avec l'implosion des régimes staliniens et de l'Empire soviétique. Aujourd'hui, les problématiques historiques que l'on aborde nécessairement en étudiant le conflit espagnol -la légitimité républicaine, la modernité, l'anticléricalisme, l'antifascisme, l'engagement pour des idées, les collectivisations rurales, la guerre révolutionnaire, la militarisation des milices, la répression stalinienne ou d'autres encore- paraissent en effet porteuses de sens. Elles mobilisent des enjeux qui ont marqué l'histoire séculaire de l'Europe, comme par exemple la lutte pour la démocratie et contre la barbarie, la force de certains espoirs sociaux et révolutionnaires, mais aussi la violence des trahisons et des déceptions dont ils ont pu être l'objet. Il nous a donc semblé utile d'évoquer quelques aspects de la réalité de cette guerre tels qu'ils ont pu alors être perçus au sein du mouvement ouvrier."
Le Promeneur, 1996. In-12 broché, couverture ornée d’une vignette couleurs. 4 illustrations à pleine page en noir.
"Présente dans le récit historique et par là même souvent déréalisée, la guerre est toujours considérée comme un moment inéluctable aux conséquences inévitablement désastreuses. Prenant appui sur les trois grandes campagnes menées aux frontières françaises par la monarchie du XVIIIe siècle, Arlette Farge saisit le conflit comme un objet spécifique, effet de mécanismes et de dispositifs explicables, c'est-à-dire, contrairement à l'opinion reçue, évitables. Elle inscrit la guerre dans des moments propres, retrouve sa scansion singulière : le recrutement, les marches, le campement, les malheurs et les ruines, la présence des femmes et leur désarroi... Fidèle à sa pratique, et à sa passion, de l'archive, elle le fait en s'appuyant sur les mémoires anonymes, les textes du quotidien et les correspondances retrouvées. Cette petite dramaturgie de l'ordinaire vient, dans Les fatigues de la guerre, prendre son sens dans la lecture tout à fait originale d'une suite de peintures peu connues de Watteau sur le thème de l'engagement militaire."