Ollendorff Paul Broché In-8, (19x12 cm), broché, 194 pages, sans date, recueil de lettres politiques ; plats jaunis, pliures sur le dos, coiffes usées, bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
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Paris, Librairie Garnier Frères 1933, 1934, 1935, 1937, 1938, 1939, 185x120mm, broché. Bon état, hormis tome I des Lettres à Atticus fendus et tome III des Lettres familières avec petits accrocs sur les bords des couvertures insolées.
X - 410 + 405 + 394 + V - 464 + 416 + 428 pages, édition bilingue: français - latin, Cachet de possesseur. Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Florence et Paris Vincent et Durand 1767, in-12, fX-titre, titre, "Avis de l'éditeur" p.IX à XV-(1 p. blanche)- p. XVII à XXIII-(1 p. blanche)-237 pages-144 pages (partie II "Réponses aux observations sur l'Esprit de loix". Basane marbrée époque, dos orné, tranches rouges; usure des coiffes et coins, mors fendus, rares rousseurs. (300 gr)-(LXVII).
L'EO est donnée par l'abbé Guasco sans nom d'éditeur, ni de pays,imprimé en Italie à Floence avec un titre gravé. Ce volume plusieurs fois réimprimé la même année contient LX lettres sans compter deux lettres de M. de Secondat. Les lettres LIV,LV et LVII sont des plus désagréables pour Madame Geoffrin qui avait rompu avec l'abbé Guasco; les notes de l'abbé Guasco sont plus que satyriques. Il paraitrait que la bonne dame et ses amis auraient été profondement blessés de ces attaques et que pour éviter un scandale on aurait publié une nouvelle édition des "Lettres familières" dont on aurait retranché les lettres concernant madame Geoffrin et sa querelle avec l'abbé. C'est cette nouvelle édition que nous vous proposons; elle contient LXIII lettres, non compris les 2 fragments de M.de Segondat, le "Portrait de madame la duchesse de Mirepoix", et les "Adieux à Cenes" (deux pièces de Montesquieu). Les lettres sont suivies de la "Réponse aux observations". Extrait de l'article concernant les lettres familières de l'édition Laboulaye Garnier 1875.
Edition originale définitive des Leçons hebdomadaires de la langue italienne à l’usage des Dames, enregistrée à la chambre royale le 9 janvier 1778 par l’Abbé Bencirechi. Paris, chez l’Auteur et Fetil, 1778. In-12 de (1) f., vii pp., (1) p., 324 pp., vii pp., (3) pp. Plein maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, dos à nerfs fleurdelysé, filet or sur les coupes, roulette intérieure, doublures et gardes de papier à décor floral doré, tranches dorées. Reliure armoriée de l’époque. 168 x 92 mm.
Edition originale définitive des Leçons hebdomadaires de la langue italienne à l’usage des Dames, enregistrée à la chambre royale le 9 janvier 1778 par l’Abbé Bencirechi. L'abbé Bencirechi, originaire de Toscane, était membre l'Académie des Apatistes de Florence, et de celle, non moins célèbre, des Arcades de Rome. Il aimait se dire « connu et protégé par plusieurs personnes d'un rang distingué » car ses manuels s'adressaient surtout à des dames de qualité, comme on peut le voir dans ses Dédicaces. Il a, pendant huit ans, résidé à Vienne en Autriche où il enseignait la langue italienne aux Dames de la Cour, et à d'autres « personnes de distinction » dans cette ville. Arrivé à Paris aux environs de 1771, il y fut également professeur d'italien pendant de nombreuses années. L’abbé Bencirechi semble donc avoir une expérience plutôt mondaine de l’enseignement. Les Leçons hebdomadaires de la langue italienne à l'usage des Dames, parues en 1772, sont dédiées aux Dames françaises, tout comme l'édition de 1778, peu différente de la précédente. L'auteur déplore que, contrairement à tant de pays d'Europe où les femmes ne dédaignent pas de parler italien, le public féminin français boude encore une langue pourvue de tant d'attraits. Le souci de ne pas lasser ses élèves se retrouve dans le plan même de son livre. Par peur d’ennuyer les Dames avec une nomenclature trop sèche, il la donnera insensiblement, aux endroits nécessaires. Il commence par quelques explications sur la prononciation italienne, pendant deux semaines, suivies des neuf parties du discours ou de l’oraison présentées tour à tour, tout au long des semaines suivantes : l’article, le nom, le pronom, le verbe, le participe, l’adverbe, la préposition, la conjonction et l’interjection. Toujours dans un souci de ne pas trop fatiguer les Dames, et leur éviter d'avoir à se procurer un dictionnaire, il rédige, à la suite de chaque leçon, deux petits vocabulaires français-italien et italien-français. Ainsi tous les mots nécessaires à chaque version seront expliqués progressivement et au moment opportun. Le choix des mots aussi, pris dans leurs préoccupations et leur vie quotidienne, plaira aux Dames en mêlant les connaissances utiles et agréables. Avec une telle méthode, la présence d'un Maître ne sera pas nécessaire, tout au plus une fois par semaine, pour la correction de la traduction hebdomadaire, et pour acquérir une bonne prononciation et l'habitude de parler la langue. Pour Bencirechi, les trois traités qui suivent les Leçons paraissent indispensables et seront présentés entièrement en italien car il suppose les Dames assez avancées maintenant dans la connaissance de la langue. 1 - Il est nécessaire quand on parle de savoir choisir les termes justes : l'abbé Bencirechi offre donc à ses élèves le Recueil des Synonymes français de l'abbé Girard, appliqués à l’italien. 2 - L'art épistolaire, tout comme celui de la conversation, est pratiqué souvent avec brio, et de façon naturelle, par les femmes qui pourront lire avec profit le Discours sur les lettres familières. De nombreuses Grammaires des Dames en France proposent des Conseils pour les Lettres, ou des Modèles de Lettres, pour chaque occasion de la vie. 3 - Le Précis des Règles de la versification italienne leur permettra d'apprécier la poésie. » (Madeleine Reuillon-Blanquet). Précieux et fort rare exemplaire du « dernier enfant de Louis Dauphin » relié en maroquin à ses armes, ses « volumes, selon Olivier, étant en général reliés simplement en veau marbré ou granité. » Elisabeth-Philippe-Marie-Hélène de France, huitième et dernier enfant de Louis, dauphin, fils de Louis XV, et de Marie-Josèphe de Saxe, et sœur de Louis XVI, appelée Madame Elisabeth, naquit à Versailles le 3 mai 1764 et vécut le plus souvent loin de la cour, dans sa petite maison de Montreuil, uniquement occupée d'œuvres de bienfaisance ; à partir de 1789, cette vertueuse princesse vint partager les dangers de Louis XVI, refusa d'émigrer et fut enfermée au Temple avec la famille royale. Accusée d'entretenir des relations avec ses frères émigrés, elle fut condamnée à mort par le tribunal révolutionnaire le 10 mai 1794 et guillotinée le même jour sur la place de la Révolution. « Sa bibliothèque, qui contenait des ouvrages de piété, d'histoire et de science, fut transportée à la Bibliothèque Nationale ; les volumes sont en général reliés simplement, en veau marbré ou granité. » (Olivier-Hermal). L’exemplaire porte non seulement ses armoiries mais aussi son rarissime ex-libris dessiné par Dezauche présent dans ses quelques livres préférés.
Avec les Titres dont on qualifie les Rois, les Princes, les Princesses, & les autres grands Seigneurs, 1 vol. in-12 reliure de l'époque pleine basane marron, dos à 5 nerf orné, Chez Théodore Le Gras, Paris, 1728, frontispice, xxiv-liv-490 pp. : Le Nouveau Secrétaire de la Cour contenant des Lettres Familières sur toutes sortes de sujets, avec des Réponses, Une Instruction pour se former dans le Stile Epistolaire : le Ceremonial & les Regles de bienséance qu'il faut observer dans les Lettres que l'on écrit à différentes personnes
Rare édition, parmi les premières publiées. Etat satisfaisant (rel. un peu frottée avec mq. en coiffes, petite tache d'encre sur une tranche, bon état intérieur)
[Chez Vincent, Durand Chez de Bure fils aîné] - MONTESQUIEU, Charles de Secondat Baron de
Reference : 53155
(1783)
1 vol. in-12 reliure fin XVIIIe demi-basane marron à petits coins, dos à 5 nerfs orné, A Florence, et se trouvent à Paris Chez Vincent, Durand, 1768, xvij-245 pp., 1 f., 239 pp. et 1 f. et Chez de Bure fils aîné, A Londres et se trouve à Paris, 1783, iv-239 pp. et 1 f.
Etat très satisfaisant (petit mq. en coiffe sup., petite faiblesse discrète en mors vers le milieu de l'ouvrage, très bon état par ailleurs). Seconde édition des Lettres familières (publiées en 1767) et édition originale des "Oeuvres Posthumes". "Arsace et Isménie avaient déjà paru séparément la même année : le Discours au Parlement de Bordeaux avait déjà été publié en 1725. Les deux autres morceaux, "Réflexions sur les causes du plaisir qu'excitent en nous les ouvrages d'esprit et les productions des Beaux-Arts" et "L'Ebauche de l'Eloge du maréchal de Berwick" sont inédits". Tchemerzine, VIII, 464 :