‎Froud Brian‎
‎Les Fées‎

‎ Cartonné avec jaquette 2000 In-4 (22 x 31,5 cm), cartonné avec jaquette, non paginé, illustrations en couleurs ; coiffes un peu frottées, froissements et petites pliures sur les bords de la jaquette, petites marques d'épingle sur les plats de la jaquette, petite note manuscrite en première garde, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎

Reference : qi2333


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‎[Contes de fées]. [CAYLUS, Anne-Claude-Philippe de Tubières, comte de].‎

Reference : LCS-18020

‎Féeries nouvelles. Edition originale des 14 contes de fées du Comte de Caylus, inspirateur vraisemblable d’Andersen.‎

‎Rarissime exemplaire relié en élégant maroquin ancien.De la bibliothèque Cécile Eluard. A La Haye, 1741.2 tomes en 2 volumes in-12 de : (3) ff., 346 pp.; (1) f., 390 pp., (1) f. de table. Maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, dos lisses ornés, coupes et bordures intérieures décorées, tranches dorées. Reliure du XVIII' siècle.158 x 90 mm.‎


‎Edition originale de quatorze délicieux contes de fées, d’une insigne rareté en maroquin ancien : « Le Prince Courtebotte et la princesse Zibeline ; Rosanie; Le Prince Muguet et la princesse Zaza ; Tourlou et Rirette ; La princesse Pimprenelle et le prince Romarin ; Les Dons ; Nonchalante & Papillon ; Le Palais des Idées ; Lumineuse ; Bleuette & Coquelicot ; Mignonnette; L'Enchantement impossible ; Minutie ; Hermine. »Leur réimpression dans le Cabinet des fées suscita des réserves de la part de l'éditeur qui les estimait un peu trop licencieux.(Les Contes de fées, B.n.F., 2001, n° 32 ; Gumuchian, n° 1519: "Édition originale rare.").Barchilon (Le conte merveilleux français, 1690-1790, pp. 125-128) - qui fait un éloge dithyrambique de Caylus et de ses contes - a montré que Le Prince Courtebotte pouvait être une des sources d'Andersen pour La Reine des Neiges.« Caylus est l'ami des écrivains modernes, il est le mentor des fameux dîners du-bout-du-banc chez Mlle Quinault ; société où la libre-pensée et le goût des plaisirs réunissent des écrivains comme Crébillon fils, Voisenon, Moncrif, Duclos et quelquefois Maurepas ou Montesquieu. C'est là que naissent 1'« Académie de ces dames et de ces Messieurs » et l’« Académie des colporteurs », productrices collectives d'œuvres facétieuses et satiriques ; c'est là également que s'élaborent dans une sorte d'atelier d'écriture avant la lettre, toutes sortes d'œuvres brèves dans tous les genres, dont nous restent par exemple, le recueil des Étrennes de la Saint-Jean, certains textes attribués à Crébillon, ou encore la Reine Fantasque de Rousseau. Le style « poissard » qu'on aimait y pratiquer après Vadé, trouvait en Caylus un amateur doublé d'un collecteur, qui finit par rédiger en 1740 tout un roman dans ce style : Histoire de Guillaume (1740), sans compter de nombreuses parades. Ces fréquentations et ces amitiés ne lièrent pas pour autant le comte au milieu encyclopédiste dont il méprisait le sectarisme ; cet hôte habituel de Mme Geoffrin n'aimait ni Voltaire, ni d'Alembert et détestait Diderot. Concernant la production féérique de Caylus, Julie Boch défend une thèse originale : celle de la cohérence d'une esthétique qui s'actualise autant dans la production savante du comte que dans l'œuvre contée. Traducteur du fameux Tyran le Blanc (1737), auteur d'un essai : Sur l'origine de la chevalerie et des anciens romans (1756), cet ami du comte de Tressan doit être compté comme une figure à réévaluer dans la cohorte des théoriciens « classiques » et « modernes » du genre romanesque (et de sa composante merveilleuse), en compagnie de Chapelain, Huet, Perrault, Addison, etc., mais aussi de certains adversaires relativement intéressants du genre sur des bases moralisantes, de l'abbé de Villiers jusqu'à Moncrif. Concernant le conte et la féerie, Caylus est l'auteur de deux mémoires produits dans le cadre de l'Académie des Inscriptions, l'un Sur les fabliaux (1753), l'autre Sur la féerie des anciens comparée à celle des modernes (1756) : « ces deux essais théoriques postérieurs à la rédaction de trois des quatre recueils de contes, écrit Julie Boch, éclairent de façon rétrospective la conception à la fois historique et esthétique que Caylus se fait du genre qu'il pratique ». On y trouve un retour à l'esthétique de la 'ligne claire' exemplifiée par Perrault : élégance, naïveté, brièveté, simplicité ; mais surtout un recentrage sur la dimension axiologique qui oppose Caylus à la tendance satirique et libertine qui prévaut depuis 1730. Génériquement, Caylus travaille le conte dans une perspective large, comme un élément du muthos (apologues, récits fabuleux divers, paraboles bibliques) ; il situe le conte merveilleux dans la filiation du roman médiéval, pose des jalons pour la transmission de certains éléments depuis l'Antiquité, et remonte encore en arrière vers l'Inde (serait-il l'un des premiers porteurs de la théorie indianiste?) ; contrairement à Huet, il insiste sur la continuité d'une transmission depuis la culture arabe jusqu'à La Fontaine. Julie Boch montre bien comment cette réflexion vient s'inscrire en fiction dans certains de ses contes. Elle montre aussi la précision de sa culture relativement à l'histoire moderne du genre, notamment par rapport aux grandes conteuses du XVIIe siècle, qu'il cite ou dont il reprend onomastique ou situations. Elle confirme après J. Barchilon et R. Robert, que «l'entreprise littéraire de Caylus se présente doublement comme un retour aux sources », soulignant sur ce plan ce qu'il partage avec le conte éducatif à la façon de Fénelon.La partie consacrée aux Féeries nouvelles, concerne le double jeu de Caylus entre « convention et parodie » dans ses contes de fées. Julie Boch épingle formules et procédés, accessoires et métamorphoses magiques, contes étiologiques et contes à gageures, contrastes et parallélismes plus ou moins sophistiqués, pour montrer que Caylus tente de renouveler le genre en finesse. Quant à sa forme de parodie, elle recourt aux compétences supposées des amateurs pour couper court, susciter le burlesque, inscrire une intertextualité affichée, démythifier rois et fées, les premiers faisant les frais d'une intention satirique qui signe bien l'époque où ces contes s'écrivent. Touchant l'édition des textes eux-mêmes, il faut souligner la pertinence et la qualité de l'annotation littéraire : rapports citationnels ou intertextuels avec les conteuses antérieures (Aulnoy, Lhéritier, Murat, de la Force, Lintot), avec Perrault, Fénelon, Galland, Bignon, Hamilton, Crébillon, le Montesquieu des Troglodytes (La Belle Hermine et le prince Colibri), avec le roman baroque, le roman arthurien et les Amadis, la poésie de salon, le monde de la pastorale, les moralistes classiques, etc., ou encore la filiation fo1klorique à travers certains contes-types. On vérifie ainsi tout ce que gagne le conte merveilleux d'auteur à être lu comme texte de part en part littéraire.Dans les Contes de fées de Caylus ressortent au plan moral : critique politique (relativement délimitée mais féroce à l'égard des rois ou des collecteurs d'impôts), satire de mœurs (très prononcée, dans la lignée de La Bruyère et Montesquieu), rejet des valeurs liées au matérialisme et au libertinage ainsi qu'à une certaine approche « bourgeoise » du monde ; construction morale des personnages à l'épreuve de l'expérience, dans un contexte où le personnel féerique perd de sa toute puissance au profit d'une plus grande humanité. Au plan esthétique : retour à l'idée classique du naturel, rejet des éléments baroques du genre : « tout le fracas devenu si commun dans les histoires de féerie » (Rosanie), réévaluation du genre pastoral, mais aussi « contamination du genre féerique par une esthétique réaliste » que Julie Boch rattache selon sa thèse de la cohérence de l'ensemble du projet caylusien, au goût du détail concret, des usages ordinaires, de la couleur locale caractéristiques de l'érudit et de l'amateur d'art.Délicieux et rarissime exemplaire de l’édition originale relié en élégant maroquin ancien.De la bibliothèque Cécile Eluard.‎

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Phone number : 01 42 84 16 68

EUR5,900.00 (€5,900.00 )

‎FELIX-FAURE-GOYAU (Lucie).‎

Reference : 18378

‎La Vie et la Mort des Fées -Essai d'histoire littéraire.‎

‎Paris, Perrin & Cie, 1910. In-12 de 430 pages. Deuxième édition. Bon état intérieur. Toile rouge. Nombreux tampons de Radio France et ORTF. Couvertures conservées.‎


‎Les fées du cycle breton - les fées dans l'épopée carolingienne - les fées dans les poèmes de Marie de France - le Dolopathos et la féerie des cygnes blancs - les fées dans le jeu d'Adam de la Halle - le mythe des saisons et les belles endormies du moyen-âge - Mélusine - les dernières fées du moyen-âge - les jardins féeriques de la renaissance italienne - la féerie polémiste - fées et féeries dans l'oeuvre de Shakespeare - la féerie napolitaine - les fées de la France classique - la féerie vénitienne - la féerie allemande - la féerie poétique en Angleterre au 19e - la féerie romantique en France - la féerie chez Andersen - etc. ‎

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Phone number : 02 35 70 79 96

EUR40.00 (€40.00 )

‎CONTES de FÉES] ‎

Reference : 9724

(2007)

‎L’Age d’Or du Conte de Fées : De la Comédie à la Critique (1690-1709). La fée Bienfaisante et autres comédies - Edition critique de N. Rizzoni. Entretiens sur les Contes de Fées et autres Textes critiques - Edition critique de Julie Bosch. ‎

‎Paris, Honoré Champion, 2007. In 8 (145 x 225) de 621 p. Cartonnage toilé beige de l’éditeur. Etat neuf. ‎


‎Edition critique de trois pièces suivantes : Les Fées ou Les Contes de ma mère l’Oie de Dufresny et Brugière de Barante - Les Fées de Dancourt - La Fée bienfaisante attribuée à un certain Chevalier de La Baume. Suivie d’analyse et extraits de différents conteurs de l’époque, puis de résumés de certains contes (dont ceux de Madame d’Aulnoy, Mlle de La Force, Madame de Murat, Perrault, Fénelon, Préchac, Choisy, etc.). ‎

Phone number : 02 47 93 28 50

EUR45.00 (€45.00 )

‎AULNOY, Marie-Catherine d' / CAUMONT DE LA FORCE, Charlotte Rose de [et alii]‎

Reference : 7795

(1731)

‎LE CABINET DES FEES. Contenant tous leurs ouvrages en huit volumes.‎

‎ 1731 A Amsterdam: Chez Michel Charles le Cène, Libraire, 1717-1731. Ouvrage en 8 volumes in-8. 8 x 13,5 cm. Vol. I - t. I [1731] / 6 ff. [page de titre, Au lecteur], 320 p. [Florine ou la belle Italienne, Le Parfait amour, Anguillette, Jeune & Belle]. Vol II - t. II [1731] / 6 ff. [non chiffrés], 268 p. [Le Palais de la vengeance, Le Prince des feuilles, L'Heureuse peine, Les Aventures de Finette, Sans Parangon, La Reine des fées]. Vol. III - t. I [Michel Charles le Cène, 1717]/ 6 ff. [page de titre], 2 ff. n. chif. [Epître à Son Altesse Royale Madame], 423 p. [Gracieuse et Percinet, La Belle aux cheveux d'or, L'Oiseau bleu, Le Prince lutin, La Princesse printanière, La Princesse Rossette, Le Rameau d'or, L'Oranger et l'abeille, La Bonne petite souris], 9 ff. n. chiffrés. Vol. IV - t. I [Estienne Roger 1719] / t. II, 440 p. [Dom Gabriel Ponce de Leon, Le Mouton, Finette Cendron, Fortunée, Babiolle, Don Fernand de Tolède, Le Nain jaune, Suite de Don Fernand, Serpentin vert]. Vol. V - t. I [Estienne Roger 1719], 222 p., t. II [Michel Charles le Cène 1725], 230 p. [A la mode ou le nouveau bourgeois gentilhomme]. Vol. VI - t. III [Estienne Roger 1717], 232 p., t. IV [Michel Charles le Cène 1725], 216 p. [A la mode ou le nouveau bourgeois gentilhomme]. Vol. VII - t. VII [Estienne Roger 1717], 308 p., t. VIII [Michel Charles le Cène, 1731] 240 p. [Blanche, Belle, Le Roi magicien, Le Prince Roger, Fortunio, Le Prince Guerini, La Reine de l'île des Fleurs, Le Favori des fées, Le Bien-faisant, etc.]. Vol. VIII - t. VIII [Estienne Roger 1717], 260 p., t. II [ [Michel Charles le Cène, 1730], 200 p. [Dédicace à Madame la Duchesse de Bourgogne, Les Chevaliers errans, La Tirannie des fées détruite].Volumes reliés en plein veau d'époque, les plats sont encadrés d'un filet doré avec une fleur de lys dans chaque angle et sont frappés d'armoiries non identifiées; dos à cinq nerfs, caissons fleuronnés, pièces de titre en maroquin rouge, pages de garde en papier marbré. Les volumes sont en bon état, les mors, les coiffes, les coins et les coupes sont parfois frottés selon les volumes. Deux taches et traces de réparation sur les plats. A l'intérieur, quelques rares mouillures et rousseurs, deux pages sont déchirées avec petit manque et une page porte une restauration artisanale d'époque. Pour le reste, le papier est propre et frais. Exceptionnelle édition illustrée, inconnue des bibliographes, des fameux Contes de fées de Marie Catherine Jumel de Berneville, comtesse d'Aulnoy (1651-1705). Ces 24 contes, écrits à la manière de Perrault, sont ici complétés par les écrits de plusieurs autres femmes de lettres, dont Charlotte Rose Caumont de la Force (1650-1724). Il s'agit ici d'un ensemble unique en son genre qui se distingue en effet par un mélange inhabituel dans les pages de titre des volumes, trahissant la reprise d'un tirage ancien (Amsterdam, Estienne Roger, 1717-19) par un autre éditeur (Amsterdam, Michel Charles le Cène, 1717-1731). Une pareille édition est extrêmement rare. L'ensemble comprend 17 frontispices et 89 gravures d'une grande délicatesse de trait. Ces illustrations ne sont pas signées. Bel exemplaire. (Source: Aurélie Zygel-Basso et Amélia Belin, Figures du recueil : les contes de fées en leurs Cabinets au XVIIIe siècle, 29, 2010). ‎


‎ Langue‎

Phone number : 021/312 85 42

EUR4,000.00 (€4,000.00 )

‎Gros Christophe et al.: ‎

Reference : 17063

(1996)

‎L'âge des illusions: Au pays des fées. ‎

‎ Ville de Carouge, 1996. In-8 broché, couverture à rabats. Illustrations en couleurs, contrecollées. ‎


‎Au sommaire: Les fées aujourd'hui - Les fées dans l'histoire - Les fées dans la nature - Les fées dans les arts. Publié à l'occasion de l'exposition éponyme au Musée de Carouge. ‎

La Bergerie - Carouge
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